L’UMP a tranché mardi soir en optant de justesse pour le « ni-ni » (ni PS, ni FN) à la législative partielle du Doubs, contre l’avis de son président, Nicolas Sarkozy, qui plaidait pour une inflexion avec un texte appelant à faire clairement barrage au Front national.
Concrètement, le parti d’opposition appelle ses électeurs à exprimer une « double opposition » en « votant blanc ou en s’abstenant » dimanche lors du second tour de la législative partielle dans la 4e circonscription du Doubs, qui oppose Sophie Montel (FN) à Frédéric Barbier (PS), le candidat UMP ayant été éliminé au soir du premier tour.