Ce message est destiné aux gens des médias.
Pardonnez-moi, mais je n’ai donné aucune interview pour Johnny et je ne dirai rien sur France. Après avoir été le témoin privilégié des années 60, je n’ai pas envie d’en devenir le fossoyeur. Et je refuse de faire partie de la meute de ceux qui se ruent pour passer la tête dans le poste afin de parler surtout d’eux-même.
J’évoquerai ces deux amis-là plus tard, mais pour l’instant, en ce qui me concerne, ce sera leurs chansons et du silence.
Amicalement.
Jean-Marie Périer