30 Avr

Le conseil municipal de Belfort demande à l’Etat d’entrer au capital d’Alstom

Damien Meslot et les conseillers municipaux belfortains (©villedebelfort)

Damien Meslot et les conseillers municipaux belfortains (©villedebelfort)

Les élus du conseil municipal de Belfort, dont le maire est le député UMP Damien Meslot, ont adopté à l’unanimité hier soir une motion demandant à l’Etat de « s’engager pour Alstom ». Rappelant que Belfort est à la fois le « berceau historique d’Alstom » et le « siège européen de General Electric », les élus municipaux considèrent que l’Etat « doit impérativement entrer au capital de l’entreprise de façon significative pour peser sur les décisions à venir, sur la base d’un projet industriel crédible ». « L’Etat doit se donner les moyens de garantir le maintien de l’activité et des centres de décision d’Alstom en France », écrivent les conseillers municipaux. Le texte en intégralité.

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28 Avr

« Alstom doit rester français » pour le député PS Jean-Michel Villaumé

Jean-Michel Villaumé

Jean-Michel Villaumé propose un « partenariat d’entreprises françaises » pour reprendre la filière énergie d’Alstom

Alors que François Hollande reçoit à l’Elysée les dirigeants de General Electric et de Siemens pour évoquer le rachat d’Alstom, le député socialiste de Haute-Saône Jean-Michel Villaumé estime dans un communiqué qu’ « Alstom doit rester français ». « Ma préférence ne va donc à aucune des propositions formulées par Siemens et General Electric. S’il s’avère qu’Alstom se sépare de sa filière énergie, il faudra que l’Etat pèse de tout son poids pour mettre en place un partenariat d’entreprises françaises, elles aussi expertes dans le domaine énergétique, capable de reprendre la filière », écrit le parlementaire. Alstom emploie pour de 3000 salariés en Franche-Comté, à Belfort et Ornans.

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27 Avr

Vente d’Alstom: Yves Ackermann, le président PS du Territoire de Belfort, veut connaître la stratégie du gouvernement

Yves Ackermann (©f3fc)

Yves Ackermann (©f3fc)

Alors qu’Alstom est convoité par l’Américain General Electric et désormais l’Allemand Siemens (pour tout savoir des tractations sur le site de francetv.info), Yves Ackermann, va « saisir Arnaud Montebourg, Ministre de l’économie et du redressement productif, pour qu’il nous précise la stratégie du Gouvernement sur ce dossier. » Le président socialiste du conseil général du Territoire de Belfort aimerait que l’Etat trouve « une solution où la majorité des capitaux resteraient français comme pour PSA ». Alstom et General Electric sont tous les deux implantés à Belfort, où les deux groupes emploient près de 4200 salariés.

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26 Avr

Le PCF demande à l’Etat de « priver les patrons d’Alstom de leur droit divin »

Alstom et General Electric emploient près de 4200 salariés à Belfort

Alstom et General Electric emploient près de 4200 salariés à Belfort

Alors que l’Américain General Electric envisage de racheter tout ou une partie du Français Alstom, les communistes du Territoire de Belfort, où les deux groupes emploient près de 4200 salariés, estime dans un communiqué qu’ « Alstom est un outil incomparable pour notre indépendance et pour développer des coopérations avec tous les pays qui le souhaitent. »  Le PCF propose notamment l’entrée au capital de « grands clients du groupe comme EDF, la SNCF, la RATP, AREVA ».

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Pour Jean-Pierre Chevènement, la vente d’Alstom à GE est « hors de question »

Jean-Pierre Chevènement (©f3fc)

Jean-Pierre Chevènement (©f3fc)

Dans une lettre datée du 25 avril adressée au Premier ministre, Jean-Pierre Chevènement demande une « prompte intervention » de Manuel Valls dans le dossier de reprise du groupe Alstom, convoité par l’Américain General Electric. Le sénateur du Territoire de Belfort, qui fut ministre de l’Industrie entre 1981 et 1983, considère que « la reprise de la branche énergie d’Alstom porterait un coup fatal à l’indépendance de notre filière électronucléaire. » « A travers les marchés publics, l’État a les moyens de se faire entendre », assure Jean-Pierre Chevènement au Premier ministre. Découvrez ce courrier en intégral.

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28 Mar

Revoir le débat entre les candidats à la mairie de Belfort

debatbelfortCe jeudi soir, France 3 Franche-Comté accueillait sur son plateau les quatre candidats présents pour le 2e tour des élections municipales à Belfort, la 2e ville de la région: Etienne Butzbach, maire PS sortant, Damien Meslot, député UMP, Marc Archambault (Front national) et Bastien Faudot (Mouvement Républicain et citoyen). Un débat d’une demi-heure à revoir en intégralité ici.

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27 Mar

Besançon – Belfort : deux débats très tendus sur France 3 Franche-Comté

débatentre2tours

C’est peu de dire que ça a chauffé. Aussi bien entre les quatre candidats de Belfort qu’entre les trois prétendants à la mairie de Besançon, le débat a été virulent cet après-midi. Avant le second tour dimanche, France 3 Franche-Comté a réuni les candidats encore en lice dans les deux plus grandes villes de notre région.

A Belfort, le maire PS sortant Etienne Butzbach, le député UMP Damien Meslot, Marc Archambault du Front national et Bastien Faudot du MRC, le mouvement chevènementiste.

A Besançon, le maire PS sortant Jean-Louis Fousseret, l’UMP Jacques Grosperrin et le FN Philippe Mougin.

Découvrez un extrait de chacun de ces débats, diffusés ce soir à 23h.

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20 Mar

Nouvelle plainte du Front national contre l’UMP à Belfort

Damien Meslot (UMP) et Marc Archambault (FN) (©f3fc)

Damien Meslot (UMP) et Marc Archambault (FN) (©f3fc)

Et de deux. Hier, le candidat du Front national à Belfort, Marc Archambault, avait déposé plainte contre son concurrent UMP, le député Damien Meslot, pour « utilisation irrégulière » des panneaux d’affichage. Rebelotte aujourd’hui. Le Front national dépose une nouvelle plainte contre l’UMP, cette fois pour « dénonciation calomnieuse ». Hier après-midi, Damien Meslot a écrit hier au Procureur de la République pour l’informer qu’un des colistiers de Marc Archambault aurait été inscrit sur la liste FN « contre sa volonté ».

Dans un communiqué, le Front national affirme disposer d’éléments « très concrets » prouvant « sa bonne foi ». Le FN précise que le candidat en question « était encarté au FN depuis 2010… Plusieurs témoins pourront d’ailleurs, le cas échéant, attester du fait que « M. G » savait très bien qu’il figurait sur la liste FN et qu’il était en réalité plus que volontaire et ravi… »

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