15 Avr

Pierre Moscovici, son duplex à Montbéliard et son compte à découvert

Pierre Moscovici sur France Inter ce matin

Comme il s’y est engagé avec l’ensemble du gouvernement, Pierre Moscovici, élu du Doubs et ministre de l’Economie et des Finances, a rendu public son patrimoine cet après-midi. Contrairement à certains de ses collègues du gouvernement, Pierre Moscovici ne paie pas l’ISF, l’impôt sur la fortune. Locataire de son appartement parisien, il possède un duplex à Montbéliard, une assurance-vie, et trois comptes-chèques, dont un est… à découvert de 230 euros !

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Nos politiques ont-ils une éthique en toc? Notre débat

Jean-Pierre Michel, Jean-Marie Sermier et Sophie Montel étaient les invités de La Voix est libre

La Voix est libre accueillait trois élus de Franche-Comté samedi matin pour débattre de la moralisation de la vie politique et des suites de l’affaire Cahuzac. « Une goutte d’eau qui a fait déborder le vase » pour la conseillère régionale FN Sophie Montel. Autour de la table, le sénateur PS Jean-Pierre Michel, qui a déjà eu à faire à la commission de transparence et à ses lettres « assez méchantes », et le député UMP Jean-Marie Sermier, qui dénonce l’ « émiettement des mandats ». Ce qu’il faut retenir du débat.

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Jean-Luc Mélenchon ne fait "pas rire du tout" Pierre Moscovici

Pierre Moscovici veut bien comparer son patrimoine à celui de Jean-Luc Mélenchon

Alors que Jean-Luc Mélenchon, le coprésident du Parti de Gauche, a tourné en dérision les déclarations de patrimoine des ministres, dévoilant jusqu’à ses mensurations, Pierre Moscovici n’a pas apprécié cette nouvelle sortie de l’ancien candidat du Front de Gauche à la présidentielle. Invité de BFM ce dimanche, le ministre de l’Economie a vertement réagi: « En ce moment Jean-Luc Mélenchon ne me fait pas rire du tout (…) Il y a chez lui une forme de dérive, peut-être préoccupante, à laquelle il faut faire très attention. » L’élu du Doubs a également proposé à Jean-Luc Mélenchon de comparer leurs patrimoines respectifs.

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Jean-Louis Fousseret: "Le rôle d'un maire, c'est de prendre des risques"

Jean-Louis Fousseret veut que "Besançon bouge, rayonne, attire..." (©f3fc)

Une semaine après Jacques Grosperrin, qui mènera la liste UMP aux élections municipales l’an prochain, le maire PS et président de l’agglomération de Besançon Jean-Louis Fousseret était l’invité de France 3 Franche-Comté dimanche soir. Répondant aux questions de Florence Cicolella, il a voulu montrer l’image d’un maire « aux commandes », « à la barre » dit-il. Confirmant qu’il sera « candidat à la candidature » pour se succéder à lui-même, il a donné sa vision du rôle de maire: « J’aurais eu un mandat beaucoup plus calme, beaucoup plus tranquille si je n’avais rien fait. Et on continuerait de dire « Besançon la belle endormie ». Je n’ai pas été élu pour que Besançon dorme. » Il a également prôné l’application rapide du non cumul des mandats.

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Pierre Moscovici est le ministre le moins populaire du gouvernement

Pierre Moscovici (©f3fc)

C’est la preuve s’il en était besoin que l’affaire Cahuzac est redoutable pour l’image du gouvernement en général et de Pierre Moscovici en particulier. Selon le baromètre Clai-Metro-LCI réalisé par Opinion Way, le ministre de l’Economie est celui qui recueille le moins d’opinions favorables (26%). Sa popularité est en baisse de cinq points, comme celles du Président de la République François Hollande et du Premier Ministre Jean-Marc Ayrault.

Le ministre le plus populaire reste le titulaire du portefeuille de l’Intérieur, Manuel Valls, avec 54% d’opinions positives.

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Affaire Cahuzac: Jean-Marc Ayrault soutient Pierre Moscovici

Jean-Marc Ayrault a assuré ce matin que Pierre Moscovici "n'avait pas d'information" sur le compte suisse de Jérôme Cahuzac (DR)

Invité de RTL, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a apporté ce matin un soutien appuyé à son ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, accusé par certains à droite d’avoir tenté de protéger Jérôme Cahuzac. « Il n’avait pas d’information », assure le Premier ministre à propos de l’élu du Doubs, contrairement à ce que révélait hier l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

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11 Avr

"Quand on a rien à se reprocher, on affronte les reproches avec fermeté"

Pierre Moscovici répond aux accusations de l'UMP et de Valeurs Actuelles

Pierre Moscovici a eu beaucoup de travail cet après-midi au Sénat. Lors des questions au gouvernement, le ministre de l’Economie et des Finances a été interpellé par pas moins de quatre sénateurs en une heure. Parmi ces parlementaires, l’UMP Philippe Mariani, qui en sa qualité de président de la commission des Finances se rendra à Bercy cet après-midi pour vérifier les accusations de Valeurs actuelles. L’hebdomadaire assure que Pierre Moscovici connaissait l’existence d’un compte suisse de Jérôme Cahuzac dès le mois de décembre. L’élu du Doubs s’est à nouveau défendu, se présentant comme « un ministre intègre » qui « n’a rien à se reprocher ».

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Cahuzac: Moscovici savait dès décembre selon Valeurs actuelles, le ministre dément "avec la plus grande force"

Pierre Moscovici et Jérôme Cahuzac (AFP)

Nouveau rebondissement dans l’affaire Cahuzac. Selon l’hebdomadaire Valeurs actuelles, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici connaissait depuis décembre l’existence d’un compte suisse au nom de Jérôme Cahuzac. Des « allégations sans fondement » pour l’élu du Doubs, qui va porter plainte contre l’hebdomadaire.

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10 Avr

Accord sur l'emploi: Barbara Romagnan s'explique sur son abstention

Barbara Romagnan lors du débat sur l'accord sur l'emploi

Elle fait partie des 35 députés PS à s’être abstenus lors du vote sur l’accord sur l’emploi. Barbara Romagnan a tenu à expliquer son vote aujourd’hui dans un communiqué. Rappelant qu’elle considérait initialement ce texte issu d’une négociation entre partenaires sociaux comme « pas assez favorable aux salariés », la députée du Doubs est à l’origine d’une soixantaine d’amendements, notamment sur la mobilité des salariés ou les contrats à temps partiels. Tous n’ont pas été adoptés. Mais c’est surtout « la philosophie de ce texte (…), qui laisse supposer une nécessité de flexibilité du marché du travail, » qui « à tout le moins (l)’interpelle ».

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