Condamnée mi-décembre à 5000 euros d’amende et 1 euro de dommage et intérêts, Mireille Péquignot avait fait appel de la décision du tribunal correctionnel de Besançon. Lors d’une nouvelle audience aujourd’hui, l’élue municipale d’opposition s’est donc expliquée à la barre. « On a pu refaire le dossier de A à Z », se réjouit-elle. En première instance, la justice avait donné raison au maire socialiste Jean-Louis Fousseret.
Dans sa profession de foi, l’élue municipale et régionale, candidate aux législatives, indiquait qu’elle s’opposait « fortement à un cadeau de 400.000 euros accepté par Jean-Louis Fousseret ». Une « accusation de corruption » inacceptable pour le maire de Besançon. La cour d’appel rendra sa décision le 30 avril.
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