Les élus français et suisses sont montés à Paris hier, pour remettre aux patrons de la SNCF une pétition de plus de 20.000 signatures demandant le maintien de la ligne Paris-Berne. La liaison, déficitaire à hauteur de 2,3 millions d’euros selon Lyria, pourrait être supprimée. La décision, prévue initialement à la mi-mars, est reportée de quelques mois. « On doit se battre jusqu’au bout », lancent de concert élus de la ville et du canton de Neuchâtel et élus locaux français, parmi lesquels les UMP Patrick Genre, maire de Pontarlier, Annie Genevard, députée-maire UMP de Morteau, et Alain Fousseret, vice-président EELV du conseil régional. Reportage.
27 Fév