25 Fév

CLUB/ Le CC Etupes en stage au Castellet

Le CC Etupes a fait lui aussi ses bagages pour quelques jours au Castellet dans le Vaucluse.

Les juniors du CC Étupes en stage dans le Sud de la France/ PHOTO © CC Etupes 2013

Après les deux belles victoires de Thomas Bouteille et Pierre Bonnet en DN1 depuis la reprise, le Club prépare son rendez vous du 3 mars. « Le criterium du Printemps » organisé conjointement par le CCE, le CCINO et le VC Montbéliard aux abords de la base de loisirs de Brognard. JLG

CLUB/ Le Guidon Bletteranois en stage sur les routes espagnoles

Comme de nombreux clubs Franc-Comtois, le Guidon Bletteranois avait organisé un stage de début d’année pour préparer la nouvelle saison de cyclisme. Un moment privilégié dans la vie du club qui s’est déplacé à Roses, en Espagne pendant ce mois de février. 45 licenciés et bénévoles ont arpenté les routes ensoleillés espagnoles. (Oui, bon !… c’est pas la peine non plus d’en rajouter, pendant que d’autres essayaient se se réchauffer comme il pouvaient sur les routes « polaires » de la région. Veinards !…)

10 adultes ont mis en place différents ateliers adaptés a chaque niveau sous la houlette du président Roger Chevalier.

La photo du stage à Roses/ PHOTO © Le Guidon Bletteranois

« Le Guidon », qui  a profité de son voyage pour disputer une course à Peratallada (Catalogne) où les petites catégories ont pu s’exprimer avec la réussite qu’on leur reconnait déjà à la maison. JLG (avec Aurélie Lanquetin).

RÉSULTATS à PERATALLADA (Catalogne)
CADETS :
1er GABIN TISSOT, 2eme MATHEO SORGUE, 3eme EVAN PATOZ, 4eme SAMUEL CONTE, 5eme BENJAMIN PUGET
MINIMES : 1er ADRIEN CASSABOIS, 2eme CEDRIC GRANDVAUX.
JUNIORS : 15eme au scratch et 1er junior BENJAMIN PERRIN, 2eme junior REMY BOUVIER , 3eme junior BENJAMIN LABONDE, 4 eme junior ALEXIS TRIAS.
SENIORS : 27 eme LASZLO BODROGI, 54 eme STEPHANE BASIN

(VIDEO) Morgan Kneisky : Lendemain de victoire à Besançon

Au lendemain de la victoire de Morgan Kneisky et de son coéquipier Vivien Brisse sur le vélodrome de Minsk, Gisèle (la maman du champion) et Martial (son papa) ont refait la course pour notre caméra sous les yeux encore très humides du « Belge » (Pierre Yves Bordy), le premier entraineur du champion du monde sur piste au scratch en 2009 et de l’Américaine cette année 2013.

Reportage © France TV 2013 (France 3 Franche-Comté) / JL Gantner, JM Baverel, Pascal Gomez

24 Fév

INTERVIEW/ MORGAN KNEISKY/ « c’était mon rêve… »

Morgan KNEISKY était encore sous le coup de sa course avec son coéquipier Vivien BRISSE.  Un titre de champion du monde dans la spécialité qu’il convoitait depuis longtemps. Une médaille d’or à Minsk (Biélorussie). La quatrième médaille Française de ces mondiaux 2013. Un exploit dont le Bisontin interrogé au téléphone par le Blog cycliste ce dimanche soir 24 février, ne semblait pourtant pas encore tout à fait réaliser l’importance et la portée. Alors qu’à plusieurs milliers de kilomètres de là par exemple, quelques jeunes coureurs répétant leurs gammes sous le même maillot que lui (celui de son club amateur où Morgan Kneisky est encore licencié aujourd’hui) ; une vingtaine de juniors les pieds et les doigts gelés sur les routes comtoises explosait de joie à l’annonce de la nouvelle par leur accompagnateur Romuald Lefèvre klaxonnant à tue tête en remontant le peloton.

Hervé Dagorne, Vivien Brisse et Morgan Kneisky à Minsk (24/02/2013)

« On s’est serré dans nos bras, Vivien et moi, et puis tout le staff Français, ensuite j’ai appelé ma copine qui n’avait pas pu voir la course et mes parents… Lorsque j’ai passé la ligne je n’ai pas tout de suite réagi en levant les bras. Je cherchais mon coéquipier pour voir si lui avait les bras levés et j’ai regardé la tableau pour vérifier. (NDLR : La paire Française avait pourtant « course gagnée » depuis plusieurs dizaines de tours…). Je ne réalise pas encore vraiment à vrai dire, mais c’est une sensation bien plus grande qu’en 2009 lorsque j’ai décroché l’or pour la première fois au scratch. Je n’avais que 21 ans et ma victoire était alors une surprise totale. Cette fois tout a été construit dans cet objectif.

Depuis les championnats de France qu’on avait remporté à Roubaix le 21 février dernier, c’était l’ultime objectif sur la piste. Remporter un jour l’Américaine. J’y pensais depuis des années. J’ai senti cette fois que le titre était à notre portée. Avec Vivien (Brisse), on s’entendait très bien. Tout marchait parfaitement entre nous. À vrai dire, lorsque j’ai appris que Bryan Coquard se retirait (NDLR : Le coureur médaillé d’argent à Londres d’abord choisi pour accompagner le Franc-Comtois à Minsk), je me suis senti rassuré. J’ai tout de suite appelé Vivien pour lui proposer de venir avec moi. On a passé 4 semaines ensemble et disputé tous les « 6 jours » ». Aujourd’hui, je savais qu’on avait toutes nos chances. Je me sentais bien, j’avais de bonnes jambes et je me disais qu’on pouvait certainement gagner à la pédale s’il le fallait.

Depuis l’annonce officielle de la victoire de Morgan sur le vélodrome de Minsk-Arena dans l’après-midi, la maison familiale des Kneisky ne désemplit pas. La presse, les amis, les coups de téléphone. (La maman) tente de répondre à toutes les sollicitations. « Cette médaille d’or » explique Gisèle « c’était son rêve. Le titre mondial à l’Américaine. La course reine de la piste ! On est tous fiers de lui. On va faire la fête dans quelques jours pour son retour. Ce sera encore pire qu’en 2009 ! »

Un titre mondial à l’Américaine. Le rêve « ultime » du pistard Franc-Comtois formé à l’école rigoureuse du « Belge » (Pierre Yves Bordy), celui qui fut son coatch à ses débuts avec son papa Martial à l’Amicale Cycliste Bisontine. Un club où Morgan a toujours sa licence. Le lendemain du Scratch déjà… (vendredi matin) l’entraineur des jeunes coureurs Bisontins ne perdait pas un tour de piste en replay sur l’ordinateur commun de l’association cycliste amateur hébergée aux Prés de Vaux. « Un gamin de 12 ans à l’époque, qui regardait les plus grands tourner sur le vélodrome Léo Lagrange. Il est un des derniers coureurs à avoir fait ses débuts sur la structure Bisontine avant que la municipalité ne décide de le foutre en l’air comme un vulgaire bout de ciment. « On ne cessait de lui dire : Tu n’as pas l’âge ! mais rien n’y faisait. Alors on avait fini par le surclasser chez les minimes pour qu’il puisse disputer sa première compétition. Morgan avait déjà toutes les caractéristiques d’un grand compétiteur. Très vite, il a su lire la piste. C’était inné chez lui. Peu d’athlètes ont cette faculté de sentir aussi bien, de tout voir en course. Morgan était comme ça et bosseur. Je suis super content pour lui. C’est tellement rare de voir un coureur réussir aussi loin, aussi bien. Les gens ne s’imaginent pas tout le travail que ça représente. Morgan ne s’est jamais découragé, c’est aussi un de ses traits de caractère. Chez les cadets comme en junior, Morgan passait toujours à côté du titre de champion de France. Mais ça ne l’a pas démotivé pour autant. C’est un garçon modeste. Encore aujourd’hui, alors qu’il ne dispose chez lui d’aucun outil d’entrainement malgré les promesses politiques de la région et de la municipalité Bisontine, il me demande toujours si j’accepte de l’emmener avec l’équipe lorsqu’on se déplace en Suisse pour nous entrainer. Il demande ça comme si c’était une grosse faveur qu’on lui octroierais. Alors que Morgan est maintenant monté 4 fois sur un podium mondial depuis 2009 et qu’il représente un immense modèle pour les plus jeunes aujourd’hui. C’est en grande partie sa force. Il est de ces champions pour qui rien n’est jamais acquis. »

Derrière Morgan Kneisky, c’est dorénavant toute une génération de gamins dans sa roue en Franche-Comté. Kevin Mosner et Vincent Gérard par exemple, ont permis au comité de Franche-Comté de prendre la deuxième place de la coupe de France de l’Américaine à Vincennes en 2012. Soline Lamboley est devenue championne de France cadette cette même saison. Et d’autres encore… qui n’attendent plus qu’un équipement adapté, même modeste… (Que faudrait-il de plus après toutes ces performances comtoises sur la scène cycliste nationale et l’or mondial rapporté par un gamin du pays. Morgan Kneisky, tout juste 25 ans ?!) Un anneau cycliste qui serait on ne peut plus mérité, n’est-il pas ? De quoi faire briller les couleurs Bisontines et Comtoises sur les pistes de toute la France et du monde entier.
Jean-Luc Gantner

MORGAN KNEISKY/ Il l’a fait !…

CHAMPIONNATS DU MONDE DE CYCLISME SUR PISTE À MINSK

MORGAN KNEISKY
CHAMPION DU MONDE !

Il l’avait rêvé, espéré et préparé comme jamais… Le pistard Bisontin l’avait même annoncé ici même dans les colonnes du Blog Cycliste il y a 2 jours… « J’y serais, à 100 % » avait lâché Morgan KNEISKY juste après sa 6e place au Scratch pour se mettre en jambes avant la course de sa vie.

Morgan Kneisky & Vivien Brisse/ PHOTO © AFP – Kirill Kudryavtsev

Ce dimanche 24 février 2013, à Minsk (Biélorussie), le coureur toujours licencié à l’Amicale Cycliste Bisontine, aujourd’hui professionnel au sein du Team de Cyril Guimard (Roubaix Lille Métropole) a décroché l’or « à l’Américaine » avec son coéquipier Vivien Brisse. JLG

23 Fév

FFC/ Deux Franc-Comtois élus à paris

Ce samedi 23 février où sévissait partout en France une météo exécrable. (Ce sursaut hivernal commenté dans toute la presse comme l’information incontournable de la journée. « -14° à Mouthe » ! relevé dans le journal de 13H France 2… « Non ?! moins 14 !!!!!!… À Mouthe. Et en plein hiver ?! »)
Ce début de week-end, oui, où des milliers de coureurs cyclistes se gelaient les miches sur toutes les routes de France comme dans le Beaujolais où l’Amicale Cycliste Bisontine entrainait ses juniors sur des sommets recouverts de neige, ou encore à Dignes avec son équipe première. Ce même froid polaire qui dans la Drôme, s’est aussi invité sur la célèbre course provençale du début d’année obligeant les organisateurs à annuler l’épreuve au tout dernier moment. Ce samedi 23 février où, à Paris, dans les locaux du Comité National Olympique et sportif Français, une délégation Franc-Comtoise était tout à fait réchauffée par l’atmosphère « brûlante » d’une assemblée des représentants les plus importants du cyclisme Français, invitée à faire son choix stratégique pour les années à venir.

DAVID LAPPARTIENT RÉÉLU
Un président à élire à la tête de la FFC. David Lappartient, seul candidat à son propre poste, reconduit avec 86,89% des voix. Une élection facile… avant de vivre un vrai suspens pour l’adoption du bureau exécutif. Un bureau accepté pour seulement 55% des voix. Juste, mais suffisant pour passer à l’objet de toutes les attentions Franc-Comtoises. Le choix des 20 élus parmi la liste proposée pour encadrer le tout nouveau « Conseil fédéral ». Cette grande idée de Gilles Da Costa (le PDT du Comité régional de Franche-Comté), d’abord débattue et réfléchie au sein d’une commission spécifique nommée par le patron de l’instance nationale. Un conseil qui doit permettre d’apporter un véritable contre pouvoir au sein de la gouvernance fédérale. (L’annonce d’un changement de mœurs radical dans l’histoire du cyclisme Français !)

GILLES DA COSTA ET ERIC PIHET ÉLUS
Dans le milieu de l’après midi, 20 noms tombaient enfin, dont celui de responsable du cyclisme Comtois et celui du Haut-Saônois Eric Pihet, alors que le Jurassien Roger Chevallier n’a pas obtenu le nombres de suffrages nécessaires pour accompagner ses deux collègues. Une élection obtenue « de justesse » réagit Gilles Da Costa, qui ambitionne aussi de s’installer à la tête de ce nouveau collège dédié au renouveau politique qui se prépare au sein de la fédération. Une décision finale attendue le 9 mars prochain. JL Gantner

Et puis les Franc-Comtois noteront bien sûr avec intérêt qu’Ophélie Ambroise a reçu le Trophée « Julien Ditlecadet » pour son action bénévole au sein du comité Centre.

ELECTION FFC/ L’enjeu Franc-Comtois…

Gilles Da Costa, réélu cette année à la tête du Comité Régional de cyclisme, Robert Demoly, et Laurent Monrolin fonçaient droit sur la capitale ce début de week-end. Trois représentants du cyclisme Comtois bien décidés à prendre leur part dans cette grande réforme annoncée par l’instance nationale en préambule de son assemblée générale. Une réunion prévue ce samedi 23 février 2013 pour procéder à une première phase de travaux en commençant par le renouvellement du président David Lappartient, seul candidat déclaré à son poste.

Gilles Da Costa, PDT du Tour de Franche-Comté lors d’une interview pour France 3
PHOTO © Claude Jeannier

Sur la route, Gilles Da Costa s’est volontiers prêté au  jeu d’une interview dans laquelle le responsable de l’instance Comtoise a précisé son état d’esprit et ses motivations à la veille d’un changement de cap important dans le mode de gouvernance fédéral.

« Deux écoles se sont affrontées ces derniers mois » explique l’ancien coureur cycliste et Ingénieur de l’École nationale des Travaux publics de l’Etat, aujourd’hui chef de cabinet intérimaire à la présidence du Conseil Régional de Franche-Comté. Pour ma part, j’avais longtemps milité auprès du président Lappartient pour une réforme de l’instance qui prônerait l’ouverture et la mise en place d’un système de contrôle sur le modèle d’un conseil fédéral ». La grande idée de Gilles Da Costa, qui dit avoir trouvé un responsable « à l’écoute » pendant son dernier mandat. De quoi faire aboutir cette vision d’un cyclisme en France prêt à affronter les nouveaux enjeux qui l’attendent. cette idée d’une grande équipe nationale par exemple… Une « Sky » à la Française, lançait David Lappartient devant la presse. Cette campagne de constructions de vélodromes couverts pour redonner à la piste toute sa superbe d’antan. Roubaix, bientôt St Quentin en Yvelines, Rouen… Mais surtout cette volonté d’un changement radical dans le mode de fonctionnement politique de l’institution. Plus d’élus, plus de représentation de l’ensemble des comités et dans toutes les disciplines… « 45% des licenciés sont aujourd’hui des vététistes ou des pilotes de BMX ». explique encore le responsable du cyclisme Comtois. « Il faut nous adapter et devenir plus réactif. David Lappartient m’avait demandé de siéger dans une commission de 6 membres dans ce but d’une transformation en profondeur de notre système ». Au final, il est aujourd’hui question de ce « conseil fédéral », « un  véritable contre pouvoir du bureau exécutif. Une sorte de conseil de surveillance qui devrait voir le jour à l’issue de cette nouvelle réunion fédérale. Trois Franc-Comtois sont en liste pour siéger dans cette nouvelle structure dont Gilles Da Costa, lui-même candidat pour présider l’assemblée de 20 élus. Un homme un peu « surbooké ces derniers mois, (de son propre aveu) entre la politique cycliste et sa mission auprès de la présidente de Région. Le temps peut-être aussi « de faire des choix », avoue Gilles Da Costa qui avait encore prévu de s’embarquer dans une autre course cette saison. Quelques entrainements rigoureux sur la route avec sa bicyclette et son maillot vintage sur le dos. De quoi prétendre remporter quelques sprints en pass’ cycliste. La politique ou les beaux bouquets sur les lignes d’arrivées régionales… Gilles Da Costa a donc apparemment choisi ! JLG

22 Fév

PISTE/ Morgan Kneisky « Je serai à 100% pour l’Américaine »

Joint aujourd’hui à Minsk où le Bisontin séjourne avec l’équipe de France jusqu’à dimanche prochain pour les mondiaux sur piste. Morgan KNEISKY livre ses impressions au « Blog cycliste de France 3 » après sa 6e place au Scratch.

Morgan Kneisky lors des championnats de France à Roubaix le 4 février 2013

Une première journée disputée ce jeudi 21 février pour le coureur Franc-Comtois avant son véritable objectif dimanche à l’Américaine. « Dans l’ensemble, cette première journée s’est bien passée, la course à été difficile physiquement et très dure à gérer tactiquement et nerveusement. J’avais d’assez bonnes sensations pour prétendre un podium ».

Des bonnes sensations physiques qui n’auront pourtant pas permis au Bisontin champion du monde de la spécialité en 2009, de prendre l’avantage sur ses principaux adversaires le moment décisif.
« vers la mi course, j’ai fait un gros effort seul pour sortir du peloton, ça ma coûté cher pour la deuxième partie de course. Dans le sprint final, j’ai lancé de loin, car c’est ma façon de sprinter. Mais j’ai aussi lancé de l’avant. Je n’ai donc pas bénéficié de l’écart de vitesse que je peux avoir quand je débouche de l’arrière. Les autres coureurs ont donc pris ma roue et m’ont passé sur la ligne pour le bronze. Ce sprint sera ma seul « déception » de la course malgré que je sois venu pour l’or ».
« Les autres coureurs », en l’occurrence l’Irlandais Martyn IRVINE auteur d’une superbe victoire sur le Vélodrome de Minsk-Arena après avoir réussi à décroché tout le monde une première fois à quelques hectomètres de la ligne, et de remettre le turbo au retour dans sa roue d’Andreas MUELLER, l’autrichien, planté derrière la machine Irlandaise sur la photo finish. « Ces deux là ont été les plus fort sans contestation » commente Morgan.

« Je vais maintenant véritablement rentré dans mes championnats du monde avec mon objectif principal fixé dimanche. La course à l’Américaine. Je suis venu pour ça ! »

« Nous somme arrivés tard sur ce championnat (lundi). C’était peut-être un peu juste pour récupérer avant le scratch. Le voyage fut difficile (et le petit décalage horaire n’a rien arrangé) » explique le pistard Franc-Comtois. Mais Morgan KNEISKY, vers qui tous les amateurs de belles performances Françaises ont dorénavant les yeux tournés après le titre mondial de Jason Lamy-Chappuis en combiné nordique ce jeudi (encore un Franc-Comtois !) se dit carrément « confiant » pour sa course de dimanche.  « D’ici là, j’aurai récupéré et je serai à 100% ».
Propos recueillis par JL Gantner

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