Un feuilleton télévisé sur le thème du sport cycliste en Franche-Comté.
(LES 4 ÉPISODES DIFFUSÉS SUR FRANCE 3)
« Du » cyclisme sportif. Comme on pourrait écrire aussi : « De la question » d’une obligation à considérer la pratique d’une activité sportive dans nos histoires d’amour en général. « Du » cyclisme… Ou du principe d’une paire de roues qui tournent rigoureusement dans le même sens, au contraire de tout ce qui roule dans ce vieux monde avec le principe du « chacun pour soi ».
(1/4) France Télévision 2011
(2/4) France Télévision 2011
(3/4) France Télévision 2011
(4/4) France Télévision 2011
« Du » cyclisme sportif. Comme on pourrait écrire aussi : « De la question » d’une obligation à considérer la pratique d’une activité sportive dans nos histoires d’amour en général. « Du » cyclisme… Ou du principe d’une paire de roues qui tournent rigoureusement dans le même sens, au contraire de tout ce qui roule dans ce vieux monde avec le principe du « chacun pour soi ». Du cyclisme sportif dans le sens d’un tas de sentiments pour elle qui filent droit devant à toute allure, au lieu de tout ce qui persiste à marcher de travers entre nous. Oui, voilà. Du cyclisme, pour mesurer tout le temps qu’on perd sur le côté de la route à ne rien faire, en nombre de bidons vidés dans les cimetières. Voilà pour vous dire la vérité « vraie » et sans détour d’aucune sorte, comment tout a commencé. Une paire de roues toutes neuves montées sur un cadre déjà ancien avec un guidon bien profilé pour attaquer le vent de face dans la meilleure position. Des pneus gonflés à bloc pour filer sur le bitume bien sec, alors qu’on ne peut s’attendre qu’à une météo exécrable… Un feuilleton sur le vélo, pour parler des gens. Ceux-là, bien posés sur leur bicyclette ou d’autres qui piloteraient dans le noir sans aucun moyen de transport. Des gens installés à bord de leur vaisseau lunaire ou des gars aux commandes de leur engin militaire à côté des brasseurs d’air et des piliers de comptoirs ; des vendeurs de sornettes et des fabricants d’oboles de toutes sortes. Une multitude de fiers-à-bras, de Matamores bien en place. Un feuilleton… Et n’imaginez pas non plus une de ces expertises argumentées sur une sorte de condition humaine arqueboutée sur sa selle en Kevlar à l’entrée de quelques virages un peu serrés ! Une sorte de machin à suivre par un temps de chien, pour comprendre le sens de toute l’eau qu’on prend quelquefois dans les yeux à force d’un tas de changements de rythmes décisifs qui s’enchainent sur une route détrempée. Un feuilleton… plutôt dans l’ordre d’une tentative d’un contre la montre affligeant pour résister à l’accélération de l’air ambiant. Voilà tout. JLG