LA FLÈCHE WALLONNE / LE GRAND DIRECT (16H10 à 17H20)
LA RETRANSMISSION EST MAINTENANT TERMINÉE
MERCI D’AVOIR SUIVI LA FLÈCHE WALLONNE
SUR LE BLOG CYCLISTE DE FRANCE 3
17 Avr
16 Avr
La 77e édition de la « Flèche Wallonne » sera retransmise en Streaming et en Direct le mercredi 17 avril à partir de 16H10 sur le Blog Cycliste de France 3.
(À l’occasion de la diffusion du « Tro Bro Leon » dimanche dernier, cette page a reçu près de 8000 visites. L’occasion de vous remercier de votre fidélité, et de vous communiquer la poursuite de cette expérience de courses en Direct ici même.)
205 km entre « Binche « et le mur de « Huy ». Cette pente raide d’à peine plus d’un kilomètre qui servira d’ultime bataille pour une paire de coureurs capables de tirer le pompon dans le célèbre dénivelé. Une côte qu’il faudra passer trois fois au cours de la course, et qui sied habituellement au Liégeois Philippe GILBERT, chouchou chez lui dans son maillot de champion du monde. Roman KREUZIGER vainqueur de la dernière édition de « l’Amstel Gold Race » fera lui aussi un prestigieux favori avec l’inévitable Peter SAGAN. Une concurrence idéale avec la présence d’Alberto CANTADOR ou encore celle de Joaquim RODRIGUEZ tenant du titre, mais certainement diminué après sa chute dimanche dernier. Alejandro VALVERDE et Simon GERRANS respectivement 2e et 3e au Pays-Bas dimanche feront eux aussi l’objet d’un marquage à la culotte au pied du mur de Huy.
DES FRANC-COMTOIS AU DÉPART
Les Franc-Comtois auront plus particulièrement les yeux fixés sur Arthur VICHOT (FDJ). Le coureur de Colombier-Fontaine dans le Doubs, victorieux du Tour du Haut Var cette année, prendra le départ aux côtés d’un ancien d’Étupes, Kenny ELISSONDE ; comme Warren BARGUIL que l’on retrouvera au sein du (Team Argos Shimano) . Alexis VUILLERMOZ (Sojasun) tentera lui, d’épater ses supporters Jurassiens après sa 11e place sur la « Klasika Primavera » et son « Tour de Castille » où le spécialiste de VTT a réussi a se rapprocher des meilleurs terminant 24e de l’épreuve. JLG
14 Avr
APRÈS SA VICTOIRE SUR LE « TRO BRO LEON »
CE DIMANCHE 14 AVRIL 2013
Pour ceux qui en auraient peut-être douté ces dernières années, Francis MOUREY a montré ce dimanche sur les routes endiablées du « Tro Bro Leon », qu’il était non seulement ce grand cyclo-crossman Français qui réchauffe le cœur de ses supporters chaque hiver quelques soient les difficultés du calendrier, mais surtout ce grand coureur tout court !
Ce champion d’exception accroché à ses objectifs comme personne lorsqu’il s’agit d’aller chercher une victoire à la pédale, seul, « en costaud » selon la formule consacrée. Deux beaux bouquets en deux week-ends, et sans avoir rien à devoir à personne… D’abord le dernier round de « la Sarthe » empoché de la plus belle des manières, et puis ce « Tro Bro Leon » en personne. Ce « Roubaix » Breton sur ses routes cagneuses et corrigées de pièges grossiers ; ces « ribinoùs » comme on dit dans le Finistère. Un « enfer de l’ouest » dont le Franc-Comtois visait le nom prestigieux cette saison. « La course faisait partie de mes objectifs depuis novembre » expliquait au téléphone le septuple champion de France de la discipline hivernale alors qu’il terminait son enregistrement pour un vol en direction de Paris ce dimanche de conquête. Une étape obligée, pas forcément la plus drôle avant de rejoindre sa famille dans le Doubs.
PAS QUESTION DE FAIRE LA FÊTE…
La fête ? « Non » poursuit le coéquipier très apprécié des principaux leaders de son équipe. « Ni ce soir, ni plus tard dans la semaine…. Non. Pas question de foutre en l’air les prochains objectifs ! » Pas vraiment le genre à perdre les pédales sous les éloges et les dithyrambes de circonstance. Le métier et rien que le métier. Cette première place sur le prestigieux podium Breton ? Francis MOUREY l’a d’abord construit pierre par pierre, à partir d’un entrainement rigoureux débuté à l’automne dernier. Une saison dans la boue maitrisée comme il ne l’avait encore jamais aussi réussie jusque là. À tel point que les Belges s’étaient fait sérieusement des cheveux pour le titre mondial du dernier hivernage. Le bon graal accroché au maillot tricolore cette année, mais en oubliant d’accrocher les bonnes amulettes aux pneus. La guigne du champion de Chazot à Louisville face à un Sven NYS décidemment indéboulonnable ! L’empire des Flandres un temps ébranlé par sa façade Française : un comble ! Mais on ne refait pas l’histoire n’est-il pas ? Un pneu crevé au pire moment, après avoir un temps mené la bataille en lion au pays des lions, Francis n’avait même pas bronché ce jour là. « Vingt fois sur le métier remettre son ouvrage » dit le bon artisan. Une rigueur qui a fini par payer sur ce monument du cyclisme Armoricain.
FRANCIS, LE PREMIER LEVÉ !
« Depuis ma victoire sur la dernière étape du circuit de la Sarthe dimanche dernier, j’étais très confiant. Je savais que j’aurais les jambes pour faire quelque chose ». En professionnel sérieux, Les mécanos de la FDJ avaient d’abord vu Francis le premier levé ce dimanche matin. Une habitude de l’ancien maçon qui connaît le prix à payer pour espérer réussir dans la vie. À 6 heures le coureur de la « Française des Jeux » était déjà les pognes dans le mortier pour vérifier ses outils de forçat et s’imprégner du taux d’humidité dans l’air pour construire le bon plan d’évasion. « On est parti assez tôt pour reconnaître les derniers kilomètres de la course » commente le Franc-Comtois presque machinalement. « Ensuite, tout a fonctionné comme on l’avait prévu. C’est tout ! » Non, voilà. Pas le temps ni de s’apitoyer, ni de se régaler exagérément de quelques émotions passagères, fussent-elles de l’ordre de quelques réussites d’exception sur les plus prestigieux des promontoires sportifs. Juste ce regard qu’on devine chez ce « dur des durs » au boulot, déjà fixé sur ses prochaines échéances (Le Tour de Romandie où il accompagnera Thibaut PINOT et le Giro… son principal objectif sur route).
UN MAILLOT SUR ROUTE EN JUIN…
En attendant, le coureur doit couper « un jour ou deux » avant de remettre le nez dans le guidon du côté de Saône sur ses routes d’entrainements habituelles. Un sérieux coup d’œil sur une autre échéance qui commence de prendre forme depuis dimanche. Un championnat de France sur route disputé cette année à… Lannilis en Bretagne. Une course au maillot tricolore, organisée à la fin du mois de juin dans le pays des Abbers, sur les lieux même de la victoire du champion Franc-Comtois ». La perspective pour une fois, d’une grande fête en forme de toutes celles dont le coureur s’est consciencieusement privé depuis la fin de l’été dernier dans le seul but de faire honneur à son métier de coureur.
JL Gantner
Ce dimanche 14 avril 2013. Francis MOUREY (FDJ), le patron du cyclo-cross Français a remporté le « Tro Bro Leon » en Bretagne.
La deuxième victoire du coureur Franc-Comtois en quelques jours après sa magnifique réussite sur la dernière étape du Circuit de la Sarthe le 6 avril. Un superbe triplé pour la FDJ réalisé aujourd’hui sur la 30e édition de la course mythique surnommée « l’enfer de l’ouest », puisque Johan LEBON prend la 2e place et son coéquipier Anthony GESLIN termine 3e de l’épreuve. JLG
TRO BRO LEON / LE GRAND DIRECT (15H30 à 17H)
CE DIRECT EST MAINTENANT TERMINÉ !
12 Avr
La 30e édition du « Tro Bro Leon » sera retransmise en Streaming et en Direct à partir de 15H30 sur le Blog Cycliste de France 3.
La course des « ribinoùs » aura lieu ce dimanche 14 avril en Bretagne. Le « Tro Bro Leon ». L’épreuve, la seule en France que l’on peut rapprocher de cette « Srade Bianche » organisée en Toscane, pour ces chemins de campagne qui remplacent avantageusement le bitume sur le photos. De la terre et de la poussière… Un petit Paris-Roubaix pour certains. 203 km de pur plaisir pour les amateurs d’un cyclisme à la dur ! Une vraie « Bretonne » au départ de Lannilis remportée par Ryan ROTH en 2012 après un peu plus de 5H15 pour 206 km de course. Frédéric GUSDON, Samuel DUMOULIN, Thierry BRICAUD, Jacky DURAND, JÉRÉMY ROY… Les français se sont bien souvent illustrés sur le « Tro ».
DES FRANC-COMTOIS À SUIVRE…
Cette année encore, beaucoup de Français auront une véritable chance de l’emporter, dont quelques favoris du public Franc-Comtois comme Francis MOUREY (FDJ), le patron du cyclo-cross Français très en verve actuellement depuis sa victoire sur le Circuit de la Sarthe le week-end dernier. Le Bisontin Morgan KNEISKY prendra également le départ sous les couleurs de (Lille-Roubaix Métropole). 189 coureurs sont attendus dans le Nord Finistère et sous une météo annoncée comme « idéale » pour accueillir les spectateurs au bord du parcours. Un « Tro Bro Leon » qui pour l’anecdote, tourne dans le sens inverse pour cette 30e édition. De quoi agiter encore un peu plus le shaker des prétendants au bouquet. JL Gantner
MORGAN KNEISKY (ROUBAIX-LILLE MÉTROPOLE)
Morgan KNEISKY (Roubaix-Lille Métropole) doit se remettre d’une chute heureusement sans gravité sur le Grand Prix de Denain disputé ce 11 avril. Le pistard Bisontin prendra le départ du Tro Bro Leon ce dimanche 14 avril. (À noter que la course sera retransmise en streaming et en Direct sur le Blog Cycliste de France 3 entre 15H30 et 17H).
ALEXIS VUILLERMOZ (SOJASUN)
Le jeune coureur de St Claude, Alexis VUILLERMOZ a obtenu une 11e place lors de la Klassica Primavera. La nouvelle recrue de la Sojasun repart en Espagne pour disputer les 3 étapes du Tour de Castille-et-Leon. Le Vététiste Jurassien devrait ensuite courir dans la foulée la Flèche Wallonne.
GEOFFREY SOUPE (FDJ)
Le vosgien licencié au CC Étupes Geoffrey SOUPE revient lui aussi de Denain où son coéquipier Arnaud DÉMARE a remporté l’épreuve au sprint devant Bryan COQUARD et Nacer BOUHANNI. Une bonne reprise pour la FDJ si l’on compte aussi la victoire de Pierrick FÉDRIGO sur Paris-Camembert le 9 avril dernier. De quoi se rassurer alors que la formation des frères Madiot accusait encore le coup d’un Paris-Roubaix pour le moins raté cette année. Geoffrey SOUPE est attendu sur l’Amstel Gold Race dimanche 14 avril.
FRANCIS MOUREY (FDJ)
Après sa grande victoire sur la dernière étape du Circuit de la Sarthe Samedi dernier, Francis MOUREY sera au départ de la Tro-Bro-Leon ce dimanche 14 avril. Une course comptant pour le classement de la Coupe de France PMU. Au général, c’est la FDJ, qui pour l’heure domine son sujet devant l’équipe AG2R-La Mondiale.
ARTHUR VICHOT (FDJ)
Le temps de péter quelques records sur Strava pour gauger les copains, et Arthur VICHOT s’alignera lui aussi au départ de l’Amstel Gold Race.
LAURENT MANGEL (FDJ)
Le coureur de Rioz prépare son départ sur le Tour de Romandie où il accompagnera Thibaut PINOT du 23 au 28 avril prochain.
THIBAUT PINOT (FDJ)
Le coureur de Mélisey se repose d’un Tour du Pays Basque rendu particulièrement difficile par des conditions climatiques encore hivernales. Thibaut PINOT doit reprendre la compétition sur le Tour de Romandie avant d’enchainer sur le Tour de Bavière.
07 Avr
Dimanche 7 avril 2013. Fabian CANCELLARA (RadioShack) remporte la 111e édition de Paris-Roubaix. La 3e victoire du coureur Suisse sur « la dure des dures ». Après 254 km de course, le grand favori de l’épreuve après sa victoire sur le Tour des Flandres le week-end dernier a battu « d’à peine un vélo le Belge Sep VANMARCK. Un combat au sprint sur le vélodrome historique où Spartacus s’est imposé en ex pistard et en force devant son jeune rival. JLG
06 Avr
Le Suisse Fabian CANCELLARA (Radio Shack-Léopard) n’a jamais eu une pancarte aussi ostensible avant un rendez-vous d’une telle importance. Vainqueur du « Ronde » le week-end dernier et du GPE3 quelques jours plus tôt. Personne ne doute des capacités de Spartacus d’aller planter ses armoiries au bout de la « Dure des dures » ce dimanche… C’est en tout cas ce que la majorité des supporters de cyclisme répond lorsqu’on les consulte sur les réseaux sociaux qui multiplient les échanges interactifs avec le public.
Un grand numéro supposé d’un des coureurs les plus forts de sa génération ? Le Suisse déjà vainqueur de deux éditions en 2006 et 2010 ne rêve que de ça malgré ses deux chutes à l’entrainement ces derniers jours. La pression… qu’il faudra gérer, et les nombreux pièges qu’il faudra éviter sur la reine des Classiques ! Une meute d’outsiders est déjà à ses trousses… le Belge Jurgen ROELANDTS (Lotto-Belisol), l’Italien Filippo POZZATO (Lampre-Merida) ; les Australiens Heinrich HAUSSLER (IAM) et Stuart O’GRADY (Orica-GreenEdge) ; l’Espagnol Juean-Antonio FLECHA (Vacansoleil-DCM) ; le Norvégien Edvald BOASSON HAGEN (Sky) ou le Néerlandais Lars BOOM (Blanco). Mais aussi des Français bien sûr et plus que jamais ! Sylvain CHAVANEL en tête (Omega Pharma Quick Step) et Sébastien TURGOT 2e l’an passé ; Arnaud DEMARE, Yoann OFFREDO et Matthieu LADAGNOUS, trois coureurs de la (FDJ). Et puis Steve CHAINEL (AG2R-La Mondiale) pourquoi pas ? Des baroudeurs motivés pour faire barrage aux idéaux suisses dans l’Enfer du Nord. JLG
Comme s’en souvenait les « La Fleur » sous la plume de Dominique Julien… « Après le Tour des Flandres , une semaine passait et c’était le Paris-Roubaix, promesse de futurs bonheurs. Le dimanche de l’enfer du Nord ». Cette famille de supporters Bretons dont la vie et le calendrier furent rythmés par les morceaux de bravoure réalisés par d’Eddy Merckx avant celles de Bernard Hinault…
Ces jours de fête comme celui de ce sprint inoubliable du blaireau sur la « Dure des dures » face à Roger De Vlaeminck et Fransesco Moser l’année 1981… Un exploit, tapé sous les yeux d’un Louison Bobet épaté depuis la voiture du journal L’équipe dans laquelle il suivait la course. Bernard Hinault hissé au rang de « champion de légende » le lendemain de son exercice « hors série » sur les routes diaboliques de Paris-Roubaix. Les « La fleur » qui comme des milliers, des millions d’autres dimanche 7 avril prochain, règleront leur journée en fonction des heures de passage du peloton dans la Trouée d’Arenberg ou à l’endroit du Carrefour de l’Arbre. 254 km depuis Compiègne et 52,6 km de pavés pour savoir si le Suisse Fabian Cancellara déjà double vainqueur de l’épreuve (2006, 2010), réussira à en coller une 3e pour se rapprocher du palmarès d’un Roger De Vlaeminck, (1972, 1974, 1975 et 1977) ou de celui de Tom Boonen, (2005, 2008, 2009 et 2012). Le roi des Belges à terre cette année avec une côte cassée sur le Tour des Flandres le week-end dernier.
Paris-Roubaix, ces deux mots collés l’un après l’autre sur le papier, mais éloignés par un monument sportif célébré chaque année dans le monde entier. ASO annonce le chiffre de 186 pays qui recevront dimanche la reine des classiques grâce aux images de France Télévisions reprises sur 31 chaines dont NBC aux États-Unis. Ces 27 secteurs pavés dont bizarrement, aucun ne fait l’objet d’un quelconque classement au titre des Monuments historiques ! « À priori trop compliqué » déplore le président de l’Association des amis de Paris-Roubaix fondée en 2003. Mais le président Jean-Claude Vallaeys ne baisse pas les bras pour autant, espérant au moins réussir à obtenir une convention qui protégerait définitivement l’objet de culte pour tout un peuple cycliste. Depuis plusieurs années maintenant, l’association a entrepris sur le terrain la restauration des secteurs mythiques. Le formidable ring d’un combat où les Français semblent repointer le bout de leurs gants depuis Frédéric Guesdon (1997), Le doublé de Gilbert Duclos-Lassalle (1992, 1993) ; et la victoire de Marc Madiot (1991). Le patron de la FDJ aujourd’hui, qui emmène une des meilleures chances Française dans la course pour « le pavé ». Matthieu Ladagnous, 5e du Tour des Flandres la semaine dernière 3 places devant Sébastien Turgot (Europcar) lui aussi très attendu après sa 2e place sur l’édition 2012. Le premier podium Français depuis la victoire de Guesdon 15 ans plus tôt.
Deux coureurs favoris pour défendre les chances Françaises à Roubaix, mais il faut tout de même bien l’avouer, dans l’ombre d’un géant, indéboulonnable de son piédestal cette saison. Un artiste de la lutte à la pédale lorsqu’il s’agit de faire tourner le moteur à plein régime sur des fins de parcours toutes indiquées pour ce genre d’exercice. Tom Boonen l’an passé s’était de cette manière offert 50 km de raid solitaire en gros plan sur l’image de France TV.
Un scénario qui pourrait se répéter dimanche avec le coureur Suisse. Boonen out et Sagan absent des débats, personne ne voit objectivement qui est assez fort pour piquer le pavé à Fabian Cancellara sur le vélodrome. À moins, car tout le monde sait aussi qu’à Roubaix, rien n’est jamais écrit par avance. À commencer par un début de course où les impondérables peuvent tout bouleverser. « On va tout faire pour faire péter la hiérarchie le plus tôt possible » relève Sylvain Chavanel, bien décidé à monter le maillot en l’absence de son leader naturel. Chavanel, Ladagnous, Turgot. Mais pourquoi pas Yoann Offredo (FDJ), Damien Gaudin (Europcar), ou encore Arnaud Petit (Cofidis). Réponse ce dimanche 7 avril 2013. JL Gantner
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