15 Sep

Sénatoriales: la droite s’apprête à transformer l’essai des municipales

La gauche détient cinq des six sièges renouvelables en Franche-Comté (DR)

La gauche détient cinq des six sièges renouvelables en Franche-Comté (DR)

Les élections sénatoriales en Franche-Comté ne concerneront que trois départements sur quatre. Le Jura ne votera pas. Il l’a déjà fait en 2011. La droite y conservera donc ses deux sénateurs, Gilbert Barbier et Gérard Bailly. Ailleurs, il y aura du changement, forcément, puisque quatre des six sénateurs sortants ne se représentent pas. Et la gauche, malmenée lors des dernières municipales, a cinq sièges à défendre. La reconquête du Sénat par la droite pourrait donc passer par la Franche-Comté.

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12 Sep

Qui pour succéder à Jean-Pierre Chevènement? Les candidats aux sénatoriales dans le Territoire de Belfort

L'UMP espère conquérir le siège de sénateur de Jean-Pierre Chevènement

L’UMP espère conquérir le siège de sénateur de Jean-Pierre Chevènement

A 75 ans, Jean-Pierre Chevènement abandonnera son dernier mandat électif à la fin du mois. Ils sont sept candidats pour remplacer l’ancien ministre dans le fauteuil de sénateur du Territoire de Belfort. Forte de la conquête de la ville-préfecture en mars avec Damien Meslot, l’UMP mise sur le maire et conseiller général de Beaucourt, Cédric Perrin. La gauche présente quatre candidats, dont Yves Ackermann, le président du conseil général (PS), et Christian Rayot, le maire et conseiller général de Grandvillars, soutenu par le MRC du sénateur sortant.

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08 Jan

Les députés et sénateurs prennent cinq semaines de vacances… pour faire campagne !

© Patrick Kovarik / AFP

A partir du 28 février, l’Assemblée et le Sénat suspendent leurs travaux parlementaires. Aucune loi ne sera discutée ou votée pendant cinq semaines. La raison? Les élections municipales. Bah oui, nos parlementaires ont besoin de tout leur temps pour faire campagne. Un sacré paradoxe alors que le projet de loi sur le non cumul des mandats sera à nouveau examiné par le Sénat le 14 janvier. Cette « tradition républicaine », comme la nomme le ministre des Relations avec le Parlement Alain Vidalies, prouve surtout que la France est loin d’en avoir fini avec une autre tradition, celle des élus cumulards.

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