11 Fév

(VIDEO) TV/ France 3 dans la « Transju »

Cette 35e édition fut un événement. Une Transjurassienne, « historique » pour tous ceux, sportifs, bénévoles et spectateurs » qui auront eu la chance de prendre part à la course ce week-end du 9 et 10 février 2013.

Le départ des 76 km dimanche 10 février 2013

De la neige en abondance et des conditions climatiques presque optimales avec un grand soleil pendant deux jours et une température, certes un peu froide (-20° au départ de la course de 76 km dimanche matin), mais exactement celle attendue sur une épreuve nordique, la plus prestigieuse organisée en France. Pour couvrir l’événement, France TV avait déplacé sur place tout un commando de forces spéciales dédiées aux épreuves de force pour soutenir des heures de directs sans se soucier des aléas du thermomètre. Une quarantaine de personnes sur le terrain, (Cadres, régisseur, Journalistes, opérateurs de prise de vues, ingénieurs du son, monteurs, électros, machinos, scripte, maquilleuse ou webmaster…) et un vrai casse tête pour régler l’énorme machine audiovisuelle dans les moindres détails. Des équipes dispersées dans des hôtels éloignés de plusieurs dizaines de kilomètres, et qu’il faut rassembler à l’heure H sur les différents plateaux de départ ou d’arrivée. Un barnum un peu effrayant réglé au millimètre grâce au savoir faire, mais surtout à la passion des équipes de France TV rompues au plaisir d’offrir le plus beau des spectacles audiovisuel sur les écrans.

Sur le plateaux TV de la chaine, des journalistes (ici : Clément Jeannin, Aude Sillans, Jean-Luc Gantner et Jérémy Chevreuil) « à fond » pour commenter l’événement tout le we dans les JT, les magazines et sur Internet.

REVOIR LA « TRANSJU » SUR LE SITE DE FRANCE TV

5 caméras de plateau et 3 de reportages pour rapporter des images tout au long des 76 km du parcours. Des appareils de prise de vues  et… une caméra embarquée dans la course. Une spécialité de France 3 Franche-Comté depuis quelques années. L’idée de se faufiler au cœur de l’événement avec une caméra miniaturisée pour faire partager au téléspectateurs et aux internautes les sensations ressenties par les coureurs.

JL Gantner sur la Transjurassienne, et sa caméra embarquée/ PHOTO © France TV 2011

AU CŒUR DE LA COURSE AVEC UNE CAMÉRA EMBARQUÉE…

(En 2011), la neige manquait cruellement depuis plusieurs semaines sur les pentes du massif Jurassien. des conditions climatiques exceptionnellement « défavorables » pour accueillir les milliers de coureurs débarqués de la planète entière dans l’espoir de vivre une expérience hivernale unique entre Lamoura dans le Jura et Mouthe dans le Haut-Doubs. L’année certes était plutôt mal choisie pour le tournage d’un film de télévision censé proposer au public des décors de rêve dans l’hiver jurassien réputé rigoureux. Mais l’affaire était lancée, le jour de diffusion programmé, et nous ne pouvions plus reculer. Le film d’une « Transju » considérablement raccourcie cette année 2011, où seule une bande blanche de la largeur d’une piste rayait le paysage dans les tons vert clair et jaune sec. Une grande épreuve nordique, « sous le soleil exactement ! » Mais un chouette souvenir malgré tout, et des efforts à fournir quoi qu’il en soit de la météo presque estivale !

Film © France TV 2011 / Réalisation JL Gantner

Le film d’une « Transju » raccourcie en 2011 ; des images dans le peloton féminin depuis les Rousses en 2013 ; et le parcours intégral depuis Lamoura jusqu’à Mouthe, accompagné d’un sénateur en 2012. Pascal Bezin, un habitué de la « Transju » (voir le lien ci dessous).

TRANSJURASSIENNE : UN « SÉNATEUR » DANS LA COURSE

Pascal Bezin avait déjà participé 19 fois à la Transjurassienne quand il a accepté que France 3 le suive lors de l’édition 2012. De Lamoura à Mouthe, 6 heures d’effort pour venir à bout de la plus grande épopée nordique organisée sur le sol Français.