Le Parlement européen a imposé une nouvelle épreuve écrite au Français Pierre Moscovici, qui s’est heurté jeudi à l’hostilité d’une droite sceptique sur sa capacité à juger avec neutralité l’état des finances françaises. Pendant son audition devant les députés européens, l’ancien ministre des Finances, nommé commissaire européen aux affaires économiques, a promis qu’il ne serait ni « l’avocat, ni le procureur de la France ». Mais cela n’a pas suffi à convaincre ses opposants. Dans la soirée, la commission des affaires économiques du Parlement a demandé au député PS du Doubs de répondre « par écrit » d’ici le début de la semaine prochaine à de nouvelles questions. Continuer la lecture
03 Oct