Au lendemain de la validation de son élection par le conseil constitutionnel, qui a rejeté la requête en annulation de l’UMP Jacques Grosperrin, Éric Alauzet avait donné rendez-vous à la presse ce matin. Le député EELV de Besançon-est va désormais pouvoir s’engager pleinement dans son mandat législatif. Il n’avait pour l’instant ni permanence, ni équipe parlementaire: « Même si le risque était faible, il existait », justifie-t-il.
Éric Alauzet est d’abord revenu sur la façon « invraisemblable » dont il a dû répondre aux accusations de Jacques Grosperrin. Il a également évoqué les élections locales de 2014. Et celui qui va bientôt démissionner de son mandat municipal n’imagine pas que le PS et EELV ne s’entendent pas dès le premier tour à Besançon.