Après plus d’un siècle de pétarade et de règne sans partage, le moteur thermique, diesel et essence, n’est plus en odeur de sainteté : après Nicolas Hulot (horizon 2030 en France) et Anne Hidalgo (2024 dans Paris), c’est au tour de Valérie Pécresse d’envisager la fin du diesel, cette fois en 2025 et pour toute la zone à l’intérieur de l’A86 ! Interdictions programmées, normes de plus en plus restrictives… constructeurs et opérateurs sont bien obligés de se tourner vers d’autres modes de propulsion.
Et l’Ile de France n’est pas en reste : les bus zéro émission sont ainsi de plus en plus nombreux dans la région. Exemple avec la ligne 341 de la RATP, qui ne compte plus aucun bus essence ou diesel depuis plus d’un an. D’ici 2025, la RATP a même prévu d’être équipée à 100% de bus « propres », à savoir électriques ou biogaz. Une compagnie de taxi parisien roule, elle, à l’hydrogène depuis plusieurs mois. Quant aux centres de recherche des constructeurs français, pour la plupart situés en Ile de France, ils travaillent d’arrache-pied à développer des véhicules électriques plus performants et plus abordables.
Parigo vous dévoile les coulisses de cette transition énergétique majeure, à la fois du côté des transports en commun que des voitures individuelles.Bertrand Lambert @B_Lambert75