Certaines mesures étaient attendues, d’autres moins. Mais beaucoup posent question au regard du droit. Les voyageurs du métro et de la SNCF seraient-ils devenus des citoyens de seconde zone, à la vie privée sacrifiée sur l’autel de la sécurité ?
Désormais donc, qui que vous soyez, vous serez priés d’ouvrir vos sacs et bagages à qui vous le demandera (policiers, agents de la SUGE, de la RATP…). Si vous refusez, vous serez empêchés de monter à bord. Les voyageurs de la RATP et de la SNCF seront donc plus vulnérables aux contrôles et aux fouilles que les piétons dans l’espace public ou les automobilistes dans leur véhicule. Continuer la lecture