13 Mar
Vins
11 Mar
Coup de gueule d’un viticulteur du Beaujolais
A la suite d’un article relatant les difficultés actuelles du vignoble du Beaujolais et de la disparition probable de nombreux domaines (500 à 1000 dit l’article), David Large, jeune viticulteur réagit dans le blog « No wine is innocent » d’Antonin Iommi-Amunategui. Et il déchire quelques clichés : oui Duboeuf a fait et fait encore du bien au Beaujolais, non les Bourguignons ne sont pas fair-play, oui il y a de l’avenir à condition de se poser les bonnes questions… A lire pour ens avoir plus sur le malaise dans ce vignoble.
L’article : « Le nom fait beauf »
09 Mar
Vente des Hospices de Nuits
Elle est moins connue que celle de Beaune mais elle fonctionne à peu près de la même façon : c’est la vente des vins des Hospices de Nuits-Saint-Georges qui aura lieu le 17 mars. L’hôpital nuiton possède en effet lui aussi un domaine viticole, constitué de dons comme celui de son illustre voisin beaunois : 12 hectares répartis sur Nuits, Premeaux et Gevrey. Cette année, ce domaine proposera 117 pièces. La vente sera présidée par Sonia Rolland, ancienne Miss Bourgogne et Miss France 2 000. Continuer la lecture
06 Mar
Le vin, le resveratrol et les inflammations…
On savait le resveratrol bénéfique pour lutter contre le vieillissement des cellules. Mais peut-être est-il aussi intéressant sur les inflammations. C’est une des pistes de travail menées par le laboratoire de biochimie de l’université de Dijon. L’équipe du Pr Norbert Latruffe étudie pour cela les effets de ce polyphénol particulier sur des cellules de différents organes. Voir le reportage de France 3 Bourgogne.
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28 Fév
Bientôt des vins 100% végétaux?
La mention qui oblige à mentionner les protéines d’origine animales présentes dans le vin incite de nombreux vignerons à se tourner vers des alternatives minérales ou végétales afin de proposer aux consommateurs du vin 100% végétal. Un vin susceptible d’intéresser les personnes allergiques à ces produits, les végétaliens et ceux dont les convictions religieuses empêchent de consommer certaines substances. L’idée est de remplacer le collage « traditionnel » par des méthodes employant des protéines végétales ou une filtration mécanique à travers des matières naturellement poreuses.
Les protéines animales sont utilisées lors du « collage », une opération qui consiste à éclaircir le vin. Souvent le vin contient des particules en suspension qui le rendent trouble et pas très appétissant à la dégustation. Pour le rendre limpide, les vignerons utilisent des produits qui permettent d’agglomérer ces particules et de les éliminer plus facilement. Ce sont le plus souvent de l’albumine d’oeuf, de la colle de poisson, de la gélatine issue de peau ou d’os de porc ou de la caséine. Pour prévenir les personnes allergiques à ces produits, leur mention est obligatoire sur les étiquettes de vin étiqueté après fin juin 2012.
Lire sur ce sujet l’article de Libération du 3 février 2013
17 Fév
Un vin de 182 ans!
Le vin avait été retrouvé dans l’abbaye-Saint-Vivant à Curtil-Vergy près de Gevrey-Chambertin lors de travaux de restauration. La bouteille avait été retrouvée sous une dalle, dans des éboulis. Elle a été analysée et dégustée en novembre 2011 au domaine de la Romanée-Conti (voir le récit sur Bourgogne live) mais les résultats des analyses viennent juste de sortir. Selon les scientifiques de l’institut de la vigne et du vin de Dijon, l’année de naissance de ce vin se situerait entre 1772 et 1830. C’est une datation au carbone 14 qui a permis cette (relative) précision.
Les informations ont été livrées par l’équipe des scientifiques de l’Institut Jules-Guyot de l’université de Bourgogne, emmenée par le Pr. Jean-Pierre Garcia du laboratoire Artehis et Philippe Schmitt-Kopplin de l’université technique de Munich ont décliné le résultat de leurs analyses. Pour en savoir plus, lire l’article du Bien Public du 16/02/2013
12 Fév
Millésime, dimanche 24 février : y a-t-il de bons petits vins en Bourgogne?
Bourgogne blanc, bourgogne rouge, passe-tout-grain, coteaux bourguignons, côtes châlonnaises, du couchois ou hautes-côtes de Beaune… Quel lien y a-t-il entre toutes ces appellations? Leur prix! Ils font partie de ce qu’on appelle les « vins d’entrée de gamme », les « petits vins » dit-on en langage ordinaire. A part quelques exceptions, ils sont vendus entre 6 et 12 euros la bouteille. Ce ne sont pas eux qui font la renommée des vins de Bourgogne mais ils représentent pourtant la moitié des bouteilles vendues. Qui sont-ils? D’où vient leur prix? Quel est leur vrai rapport qualité-prix? Comment les choisir? C’est à cela que s’intéresse le prochain numéro de Millésime, dimanche 24 février à 11h25.
06 Fév
Le vin, bon ou pas pour la santé?
Cherchez l’erreur! Le blog du vin de Rue89 reprend une infographie d’une association de promotion du vin naturel montrant que le vin est un produit très chimique : dans certaines bouteilles on trouve jusqu’à 47 produits différents! Parallèlement, une étude d’une socio-anthropologue lilloise montre que boire du vin quand on est en fin de vin, c’est se sentir un peu plus vivant! La solution, c’est peut-être un australien qui l’a trouvé : un vin enrichi en antioxydants, ces fameuses molécules qui ralentissent le vieillissement. L’histoire ne dit pas cependant comment le vin est produit et si on ressent vraiment du plaisir en le buvant!
28 Jan
Dijon vend la moitié de sa cave
150.000 euros pour le centre d’action sociale de Dijon. La capitale des Ducs a vendu des bouteilles pour cela. 3.500 flacons, soit la moitié de sa cave. Des vins pour presque tous les porte-monnaie : de 50 euros à … 4.800 pour un Vosne-Romanée Cros-Parantoux, vinifié par Henri Jayer acheté par un connaisseur chinois. Une partie de l’argent récolté permettra également de racheter des bouteilles pour reconstituer la cave.La vente des vins de la ville de Dijon
25 Jan