Les vélos, scooters, et peut-être bientôt automobiles, en libre service sans borne se multiplient à Paris après avoir conquis la plupart des grandes villes de la planète. Le principe est simple : des véhicules géolocalisés que l’on déverrouille à l’aide de son smartphone et c’est parti pour un trajet facturé à la minute. Difficile de faire plus simple…
Pour autant, ces nouveaux modes de transports sont-ils sans danger ? L’expérience à l’étranger incite à la méfiance, avec parfois des trottoirs devenus inaccessibles pour cause de montagnes de vélos inutilisés. Que vont devenir les services de partage à l’ancienne, avec des bornes, tels Autolib’ et Vélib’ ? Ses entreprises peuvent-elles durer malgré un modèle économique introuvable : le PDG de Cityscoot, fort de ses deux ans d’expérience dans Paris avec ses scooters bleus et blancs, répond à toutes nos questions.
Bertrand Lambert @B_Lambert75