Emmanuel Giboulot a été relaxé le 4 décembre 2014, par la Cour d’Appel de Dijon à l’issue de l’audience du 5 novembre dernier. En première instance, le victiculteur bio de Côte-d’Or avait été condamné pour avoir refusé de traiter ses vignes contre la flavescence dorée, un traitement obligatoire par arrêté préfectoral. Le viticulteur poursuivi réfutait le caractère d’urgence de ce traitement.
Pour en savoir plus, sélection d’une revue de presse foisonnante :