26 Juin

[Reportage] « Un Siècle vous contemple », succès d’une websérie toulousaine où les héros ont plus de 80 ans

Mamie Rose, Tonton Benoit, Marina,… ont plus de 80 ans et sont aujourd’hui des stars sur YouTube ou Facebook. Un buzz lancé par un jeune réalisateur toulousain, Gabin Fueyo. Une deuxième saison verra le jour en septembre 2016.

© France 3 Midi-Pyrénées

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Je vous avais présenté, en exclusivité, cette web-série le 15 avril dernier. La première saison vient de se terminer avec un total de 250 000 vues sur Youtube et sur Facebook.

Baptisée « Un Siècle vous contemple », la web-série met en avant des personnes âgées racontant leurs souvenirs, leur mémoire, leur vision du monde,… Chaque témoignage se décline sous forme d’une courte vidéo (2 min). « Nos protagonistes approchent les 100 ans, ils ont toute leur tête et des histoires extraordinaires à nous raconter ! » résume Gabin Fueyo, le réalisateur toulousain de 29 ans. 

Les témoignages sont à la fois émouvants et drôles. Chacun trouvera son plaisir d’écouter Mame, Mamie Rose, Tonton Benoit ou Marina. Des héros qui vous rappelleront probablement votre grand-mère ou votre grand-père. Une vraie réussite. La web-série est « très suivie par les 13-15 ans » précise Gabin Fueyo. 

Le toulousain ne compte pas s’arrêter là. Il est en train de finaliser, pour septembre 2016, une nouvelle saison en rencontrant « des personnes âgées de différents milieux socioprofessionnels »

En attendant, découvrez cette web-série à succès avec le reportage d’Odile De Backer et de Marc Raturat (France 3 Midi-Pyrénées) : 

23 Juin

IoT : La startup toulousaine Sigfox et e.l.m. leblanc lancent un réseau de chaudières connectées

100 000 chaudières en France vont être connectées au réseau mondial du toulousain Sigfox. La start-up vient de signer un partenariat avec « e.l.m. leblanc », le leader français des solutions de chauffage. Une nouvelle étape dans le secteur des objets connectés.

© MaxPPP

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La start-up toulousaine Sigfox annonce, ce jeudi 23 juin, un nouveau partenariat avec « e.l.m. leblanc », l’un des acteurs majeurs des solutions de chauffage en France. Objectif : connecter 100 000 chaudières au niveau national au réseau bas débit de Sigfox dédié aux objets connectés. 

Ces chaudières connectées « permettront au constructeur français de proposer à ses clients une nouvelle offre de services basés sur le pilotage à distance des installations, le diagnostic en ligne et la maintenance prédictive » précise Sigfox dans un communiqué de presse.

« Initiée il y a quelques années, l’offre de chaudières connectées avait été mis en suspens car la connectivité haut débit était trop coûteuse pour cette application ne nécessitant le transfert que de très petites données. L’offre de Sigfox (..) a permis de relancer le projet et permis aux chaudières intelligentes de voir le jour » poursuit la start-up toulousaine.

Ce réseau de chaudières connectés représente 20% du parc national « e.l.m. leblanc » qui gère au total 2 millions d’appareils. 

Rien ne semble arrêté Sigfox après les derniers partenariats avec SFR et Microsfot signés en avril 2016. La start-up basée à Labège près de Toulouse, est en train de créer un réseau mondial des objets connectés. Une première mondiale. Sigfox est déjà présent dans 20 pays et enregistre plus de 7 millions d’objet connectés. Une success stories française qui a permis à Sigfox d’être parmi les 50 licornes européennes, nom donné aux entreprises qui incarnent la réussite de la nouvelle économie.

Julien Leroy

20 Juin

MyBetFriend, l’application toulousaine pour parier sur les matchs de l’Euro 2016 entre amis et…sans argent

On peut à peu près tout parier sur MyBetFriend, sauf de l’argent. Créée par des Toulousains, cette application permet de pronostiquer entre amis sur tous les matchs de l’Euro en échange d’une bière, d’un défi ou d’un câlin.

© Mybetfriend

© Mybetfriend

Entièrement gratuite, MyBetFriend est une application de pronostic et de défis entre amis spécialement conçue pour l’Euro 2016 de football.

Une fois son groupe d’amis constitué, vous pariez sur les matchs que vous pouvez suivre en live. Comparez ensuite vos résultats et devenez le meilleur parieur. Un jeu communautaire très pratique pour discuter et partager un verre entre potes. On peut quasiment tout parier sur MyBetFriend, sauf de l’argent. 

L’application a été lancée le 10 juin pour l’ouverture de l’Euro 2016 de football en France. Elle a été créée par 6 toulousains professionnels du numérique : Kevin Abrioux, Clément Andraud, Louis Granier, Vincent Hollard, Edouard Moutet et Vivian Sarazin.

« Nous avions envie de participer à l’Euro à notre façon et pouvoir offrir quelque chose d’unique et fun » explique, Vivian Sarazin, CEO de Mybetfriend. 

En l’espace de 10 jours, MyBetFriend a séduit plus de 2500 parieurs. Un beau succès alors qu’ils tablaient sur 1000 utilisateurs. L’application fonctionne le temps de la compétition. Mais les fondateurs cherchent à poursuivre l’aventure au-de-là du 10 juillet. « Nous réfléchirons à un business model qui sera satisfaisant pour tout le monde. D’une part abordable pour nos usagers. D’autre part, cohérent pour nous afin de payer OptaSports et nos (dorénavant) gros serveurs » précise Vivian Sarazin. 

En attendant, à vous de parier pour le troisième match, ce lundi 20 juin à Toulouse, entre la Russie et le Pays de Galles. 

Télécharger MyBetFriend sur Google Play et sur Apple Store

Julien Leroy

Kunzite, un observatoire web pour (re)découvrir la culture à Toulouse

Démocratiser la culture toulousaine. C’est l’objectif de Kunzite, un webzine pour donner une image plus accessible de la culture à Toulouse. Créé par deux jeunes toulousaines en mars 2015, le webzine passe aujourd’hui à la vitesse supérieure en lançant une campagne de communication et une opération de crowfounding. A découvrir immédiatement.

© kunzite

© kunzite

Découvrir la culture toulousain et la rendre, surtout, plus accessible pour le grand public. C’est le créneau de Kunzite, un webzine fondé par deux jeunes toulousaines : Roxane Chauvet (25 ans), médiatrice au musée des Abattoirs de Toulouse et Aurore Vieille (28 ans), chargée d’étude en ingénierie culturelle pour la ville.

Lorsque les deux jeunes femmes arrivent à Toulouse en 2014 : « nous avons découvert une ville rose culturellement intense mais surprises que notre entourage, des jeunes gens de 20-30 ans, ne sachent majoritairement pas ce qui s’y passe, ni même ne connaissent les institutions de la culture toulousaine » me racontent Roxane et Aurore. C’est ainsi qu’elles lancent Kunzite en mars 2015 afin « de démocratiser la culture toulousaine« .

Le site web se décline sous forme de courtes vidéos de deux minutes. « Nous allons sur le terrain pour rapporter : reportages de spectacles, chroniques d’expositions, articles et portraits musicaux » expliquent les deux jeunes passionnées. « Les choix éditoriaux sont portés par le désir de faire partager nos expériences culturelles, nos coups de cœur et d’apporter un certain éclairage sur les événements et manifestations artistiques de la ville Rose » complètent-elles. 

L’offre est considérable. De nombreux lieux culturels de la ville sont déjà passés sous leur objectif : musée des Augustins, musée des Abattoirs, les Grands Interprètes, le Metronum, les Siestes Électroniques…

Une campagne de crowfounding pour les soutenir

Totalement gratuit et  sans but commercial, Kunzite a également besoin des internautes pour continuer à grandir. Une campagne de financement participatif a été lancé jusqu’au 1er juillet 2016 sur la plateforme Kiss Kiss Bank Bank. A ce jour, 1220 euros ont été récoltés. Un budget nécessaire pour acheter un matériel plus professionnel.

Pour le moment, nous réalisons nos vidéos avec « deux appareils réflexes pas très frais, une camera embarquée trouvée sur la plage et d’un micro cravate relié au smartphone » précisent les deux réalisatrices en herbe qui font tout ce travail sur leur temps libre.  

A terme, elles souhaitent devenir « créer un répertoire des acteurs de la culture toulousaine pour qu’un jour, peut être, on se dise « tiens, je ne suis jamais allé au Lido. Allons voir sur Kunzite si ça peut me plaire » espèrent-elles.

Une belle initiative à découvrir immédiatement : http://kunzitetoulouse.wix.com/kunzitetoulouse 

Julien Leroy

17 Juin

Colocation de start-up chez « AT Home » à Toulouse

Incubateur, accélérateur, couveuse, coworking, village d’entreprises,.. A Toulouse et en Midi-Pyrénées, les structures d’accompagnement de start-up innovantes sont nombreuses et figurent parmi les plus performantes de France. Tour d’horizon de ces structures incontournables pour les jeunes pousses.

La fabrique de start-up : épisode n°2 (en vidéo) avec le dernier né à Toulouse : At Home 

France 3 Midi-Pyrénées

France 3 Midi-Pyrénées

« Nous sommes une coloc de start-up » résume en quelques mots Shannon Picardo, l’un des 5 fondateurs de At Home et créateur de SchoolMouv. 

Ouvert depuis juin 2015, At Home a été créé pour accueillir des start-up dans le domaine du numérique et de l’innovation. Une colocation qui vient d’emménager dans des nouveaux locaux de 1000 m2 en plein cœur de Toulouse, rue des Marchands.

Ouvert 7j/7, 24h/24, « on l’intègre pour y grandir et partager entre startups, dans un lieu ouvert et interactif, qui a pour vocation de lancer une dynamique inédite pour l’entrepreneuriat à Toulouse. En créant cette communauté, At Home changent les règles. Là, où avant chacun menait son projet dans son coin, ici tout le monde intègre dès le départ la nécessité d’évoluer ensemble » indique Arnaud Thersiquel, un autre co-fondateur.

L’idée de mutualiser les moyens est venue de 5 jeunes fondateurs de startups toulousaines : Shannon Picardo de SchoolMouv, Camille Raymond de Yestudent, Clément Gianferrari de Maestro, Arnaud Therisquel responsable At Home, Pierre Osswald de Citizenfarm.

Aujourd’hui, 110 personnes y sont déjà installées. A terme, les fondateurs envisagent près de 500 emplois.

Découvrez les coulisses de At home avec le reportage d’Amélie Poisson et Thierry Villeger (France 3 Midi-Pyrénées) :

>> (re)lire l’épisode n°1 de la fabrique de start-up : L’incubateur de Midi-Pyrénées

Julien Leroy

16 Juin

French Tech Ticket : 3 incubateurs de Toulouse vont accueillir des start-ups étrangères

Toulouse va participer, pour la première fois, à la saison 2 de la « French Tech Ticket ». 3 incubateurs toulousains : Bizlab Airbus, Connected camp IOT Valley et Ekito viennent d’être sélectionnés pour accueillir des startups étrangères. 

© La French Tech

© La French Tech

Ce dispositif national de la French Tech Ticket a pour objectif d’aider des entrepreneurs étrangers à s’installer en France. Chaque candidat retenu obtient une aide à l’obtention d’un titre de séjour, un financement de 45.000 euros, un accompagnement sur mesure et un hébergement de 12 mois dans un incubateur français. 

Au total, 41 incubateurs français ont été retenus pour accueillir ces jeunes pousses internationaux dont 3 accélérateurs toulousains. Bizlab Airbus, Connected camp IOT Valley à Labège (spécialisé dans les objets connectés) et Ekito à Toulouse, ont été sélectionnés, ce mercredi 15 juin par le jury de la French Tech et de l’Agence du Numérique. 

« Dans chaque métropole, seulement 3 candidatures étaient acceptées. Les 3 Toulousaines ont été retenues, cela traduit indéniablement la reconnaissance du professionnalisme de nos accélérateurs et la confiance placée en eux » se félicite Bertrand Serp, Vice-Président de Toulouse Métropole, en charge de l’économie numérique.

Les premiers pensionnaires devront arriver à Toulouse au début de l’année 2017. Au total, 70 start-up étrangères seront accueillies en France.

C’est la première fois que la French Tech Ticket est élargi à l’ensemble de l’hexagone. La première édition se déroule actuellement dans 10 incubateurs parisiens.

Julien Leroy

14 Juin

IoT : La startup toulousaine Capturs invente un objet connecté pour les sportifs outdoor

Innov’action. La startup Capturs vient de mettre au point une balise connectée dédiée aux sportifs outdoor afin d’être géolocalisés en temps réel. Le tracker sera commercialisé à partir de septembre 2016. Reportage dans la nouvelle pépite toulousaine de l’internet des objets (IoT)

© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

La balise Capturs permet de sécuriser les sportifs outdoor et rassurer leurs proches. L’objet connecté est ainsi destiné aux trailers, skieurs, randonneurs, parapentistes ou encore pratiquants de sports nautiques.

Ces derniers « partent souvent loin, longtemps et sont exposés à des situations à risques » expliquent les deux fondateurs, Ludovic Lessieur et Arnaud Loulier. Leur invention permet ainsi de suivre le parcours d’un sportif et d’avertir les secours en cas de problème. 

« Notre technologie a vocation à sécuriser la pratique des sports outdoor et à aider à sauver des vies. Dans quelques années, tous les sportifs seront équipés d’un système de géolocalisation pendant leurs sorties » assure Ludovic Lessieur.

Une balise avec 1 mois d’autonomie pour un poids de 50 grammes

Evidemment, les smartphones permettent aussi de se géolocaliser. Mais ils « ne disposent pas suffisamment de batterie et les solutions satellites sont très onéreuses » précise les concepteurs. Le boitier connecté de Capturs affiche ainsi un mois d’autonomie. Une performance très sécurisante pour les sportifs qui partent longtemps telles que les courses en montagne de plusieurs jours dans des zones très isolées. Un bouton de détresse équipe également la balise qui pèse seulement 50 grammes.

Quant au réseau, le tracker utilise celui développé par le toulousain Sigfox. Ce dernier déploie actuellement un réseau mondial d’objets connectés en bas débit. Une innovation qui permet à Capturs d’être présent dans 19 pays.

La nouvelle pépite de l’IoT Valley de Labège

Capturs a été créée par deux toulousains : Ludovic Lessieur (38 ans) et Arnaud Loulier (36 ans). Ils ont eu l’idée en pratiquant leur passion pour la randonnée et le trail. En avril dernier, la jeune pousse intègre le Connected Camp à Labège, un accélérateur de start-ups spécialisé dans l’internet des objets. Depuis, Ludovic Lessieur et Arnaud Loulier finalisent leur invention. 

La balise Capturs sera commercialisée en septembre 2016. Comptez 179 euros avec un an d’abonnement au réseau Sigfox.

En attendant, découvrez en images, Capturs avec le reportage de Denis Tancherau et Frédéric Desse : 

Site Internet de Capturs : www.capturs.com

Julien Leroy

09 Juin

SAIP, l’application qui alerte la population en cas d’attentat ou de catastrophe

A la veille du coup d’envoi de l’Euro 2016 de football en France, le ministère de l’Intérieur lance l’application « SAIP » afin d’alerter la population en cas d’attentats ou d’événements exceptionnels. Un service mobile qui trouvera probablement un écho à Toulouse. La ville rose a notamment connu les attentats de Merah en 2012 et la catastrophe d’AZF en 2001. Par ailleurs, un toulousain avait déjà lancé un idée similaire il y a quelques mois. 

© Julien Leroy / France 3 Midi-Pyrénées

© Julien Leroy / France 3 Midi-Pyrénées

La première application officielle d’alerte de la population

A la suite des attentats survenus en 2015 à Paris, le ministère de l’Intérieur et la direction générale de la sécurité civile et de la gestion de crise (DGSCGC) et le Service d’information du gouvernement (SIG), ont lancé ce jeudi 8 juin, l’application gratuite « SAIP » pour smartphone. Disponible en français et en anglais sur Apple Store et Google Play

« Cette première version permet d’être alerté, via notification sur son smartphone, en cas de suspicion d’attentat ou d’événement exceptionnel » explique le communiqué de presse.

L’application offre deux options. La première est d’accepter le géolocalisation de votre smartphone afin de « recevoir des alertes dans une zone où un risque vient d’être détecté par les autorités« . Le ministère de l’intérieur garanti « qu’aucune remontée de position géographique ou d’identité d’information n’est opérée à partir du téléphone« . La seconde fonctionnalité est de recevoir des notifications d’alertes dans 8 zones géographiques que l’utilisateur paramètre lui-même.

Outre ces messages d’alerte, l’application « délivre également les conseils comportementaux et consignes à respecter en fonction de la nature de l’alerte« . Enfin, l’alerte s’affiche sur votre smartphone sans émettre de sonnerie ou de vibration.

Un seul bémol à cette application, elle doit toujours rester active sur votre mobile. A défaut, vous ne recevez rien. Un peu dommage.

Risque d’alertes sur Toulouse et sa région

L’application SAIP permet d’être alerter en cas d’attentat mais aussi en cas de catastrophes industrielles ou chimiques. D’ici quelques mois, une mise à jour de l’application prendra également en compte les inondations, les accidents de barrage ou les avalanches. 

Des risques majeurs naturels ou technologiques qui sont malheureusement bien réels à Toulouse et en Midi-Pyrénées. Les attentats de Merah en 2012, la catastrophe d’AZF en 2001, les inondations dans le sud de la Haute-Garonne en 2013, les barrages dans les Pyrénées,… démontrent que l’application SAIP devient primordiale pour les midi-pyrénéens.

L’idée d’une application d’alerte lancée par un toulousain dès 2015

Suite aux attentats du 13 novembre 2015 à Paris, un toulousain, Nicolas Poirier, avait lancé l’idée d’une application du 17, le numéro d’appel d’urgence français. L’objectif était d’alerter la population et de signaler aux forces de police, une situation d’urgence ou un attentat. L’appel de ce toulousain installé au Canada, avait fait le buzz sur les réseaux sociaux. Il avait ainsi obtenu un entretien avec un conseiller proche du ministre de l’intérieur. 

L’application SAIP est très similaire à celle imaginée par Nicolas Poirier. Impossible de confirmer que le toulousain est à l’origine du projet du ministère mais « bravo à eux de s’être emparés du concept » nous a-t-il confié. 

Cependant, Nicolas Poirier reste déçu par le résultat. « Le problème, c’est qu’ils n’ont retenu en gros que le dernier slide de ma présentation et le coté alerte de l’app, pas le coté « transmettre une info aux autorités », qui pour moi est le plus important et qui manque toujours cruellement aujourd’hui » explique-t-il. Il est vrai que l’application SAIP fonctionne à sens unique.

« J’espère juste que maintenant qu’ils sont lancés, ils ne s’arrêteront pas là » espère le toulousain.

Julien Leroy

Numérique : l’annonce du renouvellement des labels « French Tech » prévue le 13 juin, est repoussée

© French Tech Toulouse

© French Tech Toulouse

Le renouvellement ou l’attribution des labels French Tech, ne sera finalement pas annoncé le 13 juin, en raison d’un problème d’agenda selon nos informations. « Il est toujours difficile de coordonner les agendas de ministres et de 13 métropoles » nous confie Philippe Coste, responsable de la French Tech Toulouse. Pour le moment, aucune nouvelle date n’est connue. 

Très attendue, cette annonce prévoit, ou pas, le renouvellement du label pour une durée de 3 ans. Mais peu d’inquiétude pour Toulouse. Après l’avoir obtenu en novembre 2014, la ville rose et Midi-Pyrénées restent la troisième région française dans l’industrie numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Lancé en novembre 2013, ce programme de labellisation « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique. En effet, la France est à la pointe dans le secteur du numérique qui pèse 40 milliards d’euros. 

Julien Leroy

08 Juin

La police de Haute-Garonne et de Toulouse arrive sur Twitter

© MaxPPP

© MaxPPP

A quelques jours de l’Euro 2016 de football, la Police Nationale de la Haute Garonne ouvre, ce mercredi 8 juin, son compte Twitter : @policenat31

« Ce compte permettra de suivre l’actualité des services de Police du département, de bénéficier d’informations pratiques mais aussi d’être alerté en cas d’événements présentant un intérêt direct pour la population » explique Stéphane Onteniente, chargé de communication de la direction départemental de la Sécurité Publique de la Haute-Garonne. 

Les services de police de l’hexagone semblent se mettre peu à peu à l’heure des réseaux sociaux. La police du Rhône (Lyon) a également ouvert, le 4 juin dernier, son compte Twitter. Cependant, selon nos informations, la police toulousain est la première de Midi-Pyrénées à débarquer sur ce réseau social.

Compte Twitter de la police toulousaine : @policenat31

Julien Leroy