20 Juil

Numérique : l’annonce des labels « French Tech » et des « réseaux thematiques » est (enfin) prévue pour le 25 juillet

 © French Tech Toulouse

© French Tech Toulouse

La date est (enfin fixée). Le renouvellement ou l’attribution des labels French Tech, se fera ce lundi 25 juillet. Initialement prévue le 13 juin, l’annonce avait été reportée en raison d’un problème d’agenda entre le Gouvernement et les 13 métropoles déjà labellisées.

Très attendue, cette annonce prévoit, ou pas, le renouvellement du label pour une durée de 3 ans. Néanmoins, le dossier de Toulouse sera renouvelé selon nos informations, après l’avoir obtenu en novembre 2014. La ville rose et la région Midi-Pyrénées restent ainsi la troisième région française dans l’industrie numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

La liste des nouveaux « Réseaux thématiques French Tech » sera également dévoilée. Ce label récompense les écosystèmes numériques se trouvant en dehors des grandes métropoles. A ce jour, aucune ville de Midi-Pyrénées ne possède cette distinction. A suivre…

Lancé en novembre 2013, ce programme de labellisation « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique. En effet, la France est à la pointe dans le secteur du numérique qui pèse 40 milliards d’euros. 

Julien Leroy

19 Juil

Des Toulousains conçoivent « Liberty Rider », la première application qui peut sauver la vie d’un motard

Liberty Rider est capable de détecter un accident à moto et de prévenir les secours pour qu’ils interviennent au plus vite. Créée par 4 Toulousains, cette application sur smartphone est unique en France.

© Liberty Rider

© Liberty Rider

Le principe de l’application Liberty Rider est très simple : « elle est capable de détecter les accidents à moto afin de pouvoir alerter les secours au plus vite quand le motard accidenté n’est pas en mesure de le faire » résume en quelques mots Emmanuel Petit à l’origine de l’idée.

« Grâce aux capteurs présents dans le téléphone et à un algorithme (..), nous avons développé un algorithme capable de déterminer avec précision si une situation particulière est un accident ou non. » poursuit-il.

« Quand une alerte est lancée, elle arrive chez les services de Liberty Rider qui se chargent de contacter en temps réel les secours et les aiguiller vers le lieu de l’accident« . Après plusieurs mois de tests et de simulations, l’application est sortie officiellement au début du mois de juillet.

66% des accidents de motards se déroulent en rase campagne

2 accidents mortels sur 3 impliquant un motard ont lieu quand celui-ci est seul et en campagne, selon une étude de la sécurité routière en 2012. « Par manque de témoins pour appeler les secours, le motard accidenté peut rester une longue période sans soins médicaux. Pourtant, un blessé pris en charge médicalement dans la première heure qui suit l’accident voit ses chances de survie augmenter de 80% » précisent les concepteursLiberty Rider est ainsi la première application française qui peut sauver des vies. 

L’application permet également de rassurer les proches. Liberty Rider offre la possibilité de partager « le trajet avec les personnes de son choix afin que ces derniers puissent les suivre en direct et qu’ils s’inquiètent moins de voir leur proches partir seul à moto » racontent les 4 créateurs.

Nous avons développé un algorithme capable de déterminer avec précision si une situation particulière est un accident ou non – Emmanuel Petit, l’un des 4 concepteurs de Liberty Rider

Créée par 4 motards Toulousains

Passionné de moto, Emmanuel Petit a eu l’idée de Liberty Rider en empruntant certaines routes de campagne et pour rassurer ses parents. « J’ai cherché sur internet et je me suis aperçu que l’application n’existait pas« . C’est alors que le Toulousain s’associe avec Julien LE, également diplômé de IFAG, école de Management à Labège. Jérémie Fourmann et Martin D’Allens les ont ensuite rejoint pour la partie technique et développement. 

Les 4 créateurs de Liberty Rider espèrent séduire la communauté des motards. En l’espace de 3 semaines, l’application compte 7000 utilisateurs mais l’objectif est d’atteindre les 60.000 motards d’ici la fin de l’année. En attendant, la sécurité routière de Haute-Garonne et plusieurs associations se sont associées à ce projet prometteur. La star-up vient également d’intégrer l’incubateur toulousain At Home. 

Pour le moment, l’application est disponible gratuitement sur Androïd. « Une version Iphone est en cours développement et sera prête mi-août » promet Emmanuel Petit. 

>>> Reportage de France 3 Midi-Pyrénées du 27 juillet 2016 (Maria Laforcade / Eric Foissac) :

« Liberty rider » la première application qui peut sauver la vie d’un motard

>>> Tout savoir sur  Liberty Rider : www.liberty-rider.com

Julien Leroy

18 Juil

Toulouse accueille un tournoi national du jeu vidéo « League of Legends », le 24 septembre au Zénith

Deux Toulousains organisent une coupe de France du célèbre jeu vidéo « League of Legends ». Cette première édition de l’Occitan ChampionShip Series se tiendra le 24 septembre au Zénith de Toulouse. 5000 spectateurs sont attendus pour encourager les meilleures équipes françaises.

© League of Legends - France

© League of Legends – France

C’est probablement le plus grand tournoi de jeux vidéos jamais organisé à Toulouse. Le 24 septembre 2016 aura lieu, au Zénith de Toulouse, la première édition de lʼOccitan Championship Series.

Les 8 meilleures équipes françaises du jeu « League of Legends » sʼaffronteront dans un tournoi de sept matchs. Au total, 40 joueurs professionnels seront en lice pour décrocher une cagnotte de 10.000 euros.

L’événement est organisé par deux Toulousains : Mathieu Raoux (27 ans) et Morgan Szygenda (25 ans). Ces ingénieurs informaticiens sont évidemment des gamers confirmés. Ils ont déjà organisé plusieurs LAN Party (tournoi de jeux vidéos) à Toulouse dont le « ComputʼYourlan Toulouse ». En 2016, ils ont décidé de se lancer dans un grand tournoi national avec l’Occitan ChampionShip Series. Ils attendent plus de 5000 spectateurs. 

Ce championnat de France de « League of Legends » surfe sur le succès de l’e-sport (ou sport électronique) en France. Ce loisir désigne la pratique de jeux vidéo dans un cadre amateur ou en compétition. Il « compte 4,5 millions de spectateurs en France et le marché de lʼe-Sport mondial représente 325 millions de dollars en 2015 » précisent Mathieu Raoux et Morgan Szygenda.

Par ailleurs, l’e-sport vient d’être reconnu par les pouvoirs publics qui l’ont intégré dans la future loi pour une République numérique. Une  association France e-Sport est également en cours de création. 

League of Legends, un jeu vidéo planétaire

Sortie en 2009, « League of Legends » est un jeu vidéo de bataille édité par le Chinois Tencent Holdings.

« Il sʼagit dʼune arène de bataille en ligne multijoueur associant le jeu de stratégie en temps réel et le jeu de rôle. League of Legends est un jeu compétitif bourré d’action. Deux équipes de puissants champions, chacun avec un design et des compétences uniques se heurtent de front » détaillent les deux Toulousains.

 « League of Legends » est devenu rapidement un phénomène planétaire, notamment chez les gamers de l’e-sport. En 2015, le jeu totalise plus de 36 millions de joueurs en ligne.

>> Plus d’info sur l’Occitan ChampionShip Series : www.occitan-championship-series.com

Julien Leroy

15 Juil

Toulouse (et sa police) n’échappent pas au phénomène planétaire de Pokemon Go

Toulouse et sa région n’échappent au phénomène planétaire de Pokémon Go. En l’espace d’une semaine, le jeu vidéo sur smartphone compte plus de 20 millions d’utilisateurs aux quatre coins du monde. Une déferlante qui a poussé la police de Haute-Garonne à réagir.

© MaxPPP

© MaxPPP

Toulouse n’échappe au phénomène du jeu Pokémon Go. Depuis le 6 juillet, l’application mobile de réalité augmentée est un véritable phénomène planétaire. Elle a déjà enregistré un pic de 21 millions d’utilisateurs actifs en une journée malgré l’absence d’une version francophone (le jeu est disponible uniquement aux Etats-Unis, Australie et dans quelques pays européens).

A Toulouse, il est difficile de mesurer précisément l’impact mais les joueurs sont de plus en plus nombreux. Il suffit de regarder dans les rues de la ville rose ou sur les réseaux sociaux où fleurissement les commentaires et les pages de fans.

Le jeu Pokémon Go est la nouvelle version de la franchise Japonnaise. Créés en 1996 par Satoshi Tajiri, les Pokémons sont des petits monstres qui faut capturer et dresser. Des centaines de modèles ont été imaginés mais Pikachu reste le plus célèbre d’entre eux. En quelques années, ils sont devenus l’un des jeux vidéos les plus vendus dans le monde.

Dans la version Pokémon Go, le principe reste identique : capturer des Pokémons. Mais cette fois-ci, le décor est celui qui se trouve autour de vous. A l’aide de la caméra de votre smartphone, les petits monstres apparaissent dans votre salle à manger, sur votre bureau, dans le parc ou sur le tableau de bord de votre voiture. Un jeu addictif ! 

La police de Toulouse s’intéresse à Pokémon Go

Les joueurs sont devenus tellement accros qu’ils sont nombreux à partir se balader pour attraper les Pokémons dans les rues de Toulouse. D’autres multiplient les lieux insolites y compris au volant de leur voiture. Une pratique marginale mais qui a fait réagir la police de Toulouse. Le 13 juillet dernier, elle a publié un tweet humoristique rappelant que l’usage du téléphone au volant est interdit, y compris pour Pokémon Go. « Bon jeu mais l’arrêt ! » rappelle la police. Le tweet a eu son effet. Il a été retweeter plus de 830 fois et Liker par des centaines d’internautes.

Julien Leroy

05 Juil

Hospitalidée, le « tripadvisor de la santé » né à Toulouse, prépare une levée de fonds de 3 millions d’euros

Un an après son lancement en juillet 2015, « Hospitalidée » considéré comme le Tripadvisor des hôpitaux, des cliniques et des médecins, s’est imposé comme le premier site d’avis santé en France. La plateforme web créée par un Toulousain s’apprête à lever 3 millions d’euros.

© Mathilde Laban / France 3 Midi-Pyrénées Loïc Raynal, le fondateur du site internet Hospitalidee

© Mathilde Laban / France 3 Midi-Pyrénées Loïc Raynal, le fondateur du site internet Hospitalidee

Internet permet de noter les hôtels, les restaurants ou encore la qualité d’une compagnie aérienne… on peut aussi y évaluer les établissements de santé et les praticiens. Depuis juillet 2015, le Toulousain Loïc Raynal a lancé Hospitalidee, considéré comme le Tripadvisor des avis de santé.

L’objectif est de « libérer la parole des patients et faciliter leur décision dans le choix des établissements » déclarait le fondateur au moment du lancement. Sur Hospitalidee, il est ainsi possible de noter les hôpitaux, les cliniques et les médecins. 

Aujourd’hui, Hospitalidee trace son chemin. « En quelques mois, Hospitalidée s’est imposé comme le premier site d’avis santé en France » avec « près de 50 000 avis » assure Loic Raynal. « Nous devrions atteindre les 100 000 avis enregistrés avant la fin de l’année 2016 » espère-t-il. 

Une levée de fonds de 3 millions d’euros

Malgré les méfiances et les réserves de certains corps médicaux, la plateforme toulousaine prépare actuellement « une levée de fonds de 3 millions d’euros » annonce le fondateur, ce mardi 5 juillet. 

Une levée de fonds pour recruter « 10 à 15 collaborateurs supplémentaires » détaille Loïc Raynal. Née à Toulouse, la start-up compte 5 salariés basés au coeur de la technopole de Castres-Mazamet, dans le Tarn. 

Hospitalidee cherche également à se déployer dans « 1 ou 2 autres pays européens » dès 2017. 

>>> Site Hospitalidee : hospitalidee.fr/

Julien Leroy

Ruecup, une application toulousaine pour localiser (et récupérer) des objets abandonnés dans la rue

Créé par 4 Toulousains, Ruecup est « le bon Coin » des meubles et des appareils à récupérer. Elle permet de signaler et localiser des objets laissés sur les trottoirs. Une application unique en son genre.

© MaxPPP

© MaxPPP

« Le but est simple : pouvoir signaler, localiser et récupérer (si besoin) des objets qui ont été laissés sur les trottoirs » résume en quelques mots Quentin Abrioux, l’un des 4 fondateurs. 

« Vous marchez dans la rue, vous voyez une chaise. Au lieu de vous dire « elle va partir à la déchetterie alors qu’elle est en bon état », vous utilisez Ruecup afin de signaler sa position aux autres utilisateurs potentiellement intéressés par cet objet » poursuit-il.

En quelques secondes, vous prenez une photo, sélectionnez une catégorie et indiquez l’état de l’objet. « Une fois l’objet posté, tous les utilisateurs dans un rayon de 3 km recevront une notification indiquant que l’objet est disponible à tel endroit« . L’annonce est conservée 72 heures maximum. L’ergonomie de l’application est également bien pensée avec une carte qui permet de visualiser les signalements et des listes pour s’y retrouver facilement.

L’idée est venue en récupérant des meubles pour son appartement

Quentin Abrioux a eu l’idée de Ruecup en arrivant dans la ville rose en 2011. « Quand je suis arrivé à Toulouse pour la première fois, je me souviens avoir récupéré dans la rue des meubles pour mon appartement. A cette époque déjà, je me disais combien il serait bien d’avoir une application qui nous permettrait savoir où trouver ces objets là » raconte-t-il.

Constatant que la situation ne s’arrange pas avec les années, il se lance dans la création de Ruecup avec son frère Kevin Abrioux et un ami, Thibaud Smith, tous deux développeurs d’application. Nicolas Miramon, web designer, a ensuite rejoint l’équipe. 

Entièrement gratuite, Ruecup compte aujourd’hui plus de 1000 téléchargements dans toute la France. Seul bémol : l’application mobile fonctionne uniquement sur Android. En attendant la version Iphone, Ruecup a reçu, le 1er juin dernier, les félicitations de la mairie de Toulouse pour aider à réduire les encombrants.

>> site de Ruecup : http://www.ruecup.com/

Julien Leroy

04 Juil

Insolite : des châteaux de Game of Thrones à… Rocamadour et Cahors

Et si Game of Thrones se déroulait en France, quels châteaux incarneraient les lieux emblématiques de la série ? Le Journal du Net s’est amusé à transposer la carte de France avec celle de Westeros. Résultat : Cahors et Rocamadour dans le Lot seraient des sites prisés par les héros de la saga.

© Maxppp

© Maxppp

Le calcul s’est fait sur la valeur immobilière des châteaux français et leurs ressemblances avec les lieux de la célèbre série.

Ainsi, Cahors et son pont Valentré pourraient devenir « The Twins », la nouvelle maison de la famille Frey. Avec 30 000 m² pour 41 millions, « La famille Frey gagnerait à déménager à Cahors : ce ne sont pas deux mais trois tours qui surmontent le pont de Valentré. En plus, il est lui aussi fortifié » s’amuse à écrire le JDN. 

Rocamadour serait logiquement « Casterly Rock » pour sa ressemblance. Il s’agit du fief de la famille Lannister qui vit perché en haut d’une montagne. 

Les autres comparaisons en France (passez votre souris sur l’image pour pouvoir faire apparaître les informations) :

Game of Thrones est une série télévisée américaine créée pour HBO et adaptée de la saga littéraire de George R. R. Martin. Depuis 2011, cette série médiéval-fantastique connait un succès mondial. La 6e et dernière saison vient d’être diffusée en France. 

Julien Leroy

01 Juil

Deux Toulousains inventent « Frenchwork », le coworking au… restaurant

Lasser de travailler chez vous, seul ou besoin d’une salle de réunion improvisée ? Pourquoi ne pas se retrouver dans un….restaurant ou dans un salon de thé en dehors des heures de repas. C’est l’objectif de Frenchwork qui propose une sélection de lieux à Toulouse pour les travailleurs indépendants. Le service a été lancé ce vendredi 1er juillet.  

© FrenchWork

© FrenchWork

Le principe de Frenchwork est simple : « Bénéficier d’une sélection de restaurants où travailler en toute liberté en dehors des heures de repas » explique le toulousain Jérome Introvigne, l’un des deux fondateurs. 

Ce « cowokting à la française » propose ainsi des adresses de restaurants, bars ou salon de thé qui ouvrent en dehors des heures habituelles. « Entre 10h00 et 12h00 et entre 14h00 et 18h00 » précise Jérôme Introvigne. Chaque demi-journée se facture 10 euros, café compris.

Frenchword a été inauguré ce vendredi 1er juillet à Toulouse par deux toulousains entrepreneurs : Jérôme Introvigne et Sebastien Hordeaux. 5 restaurants de la ville rose sont déjà partenaires : Le Van Gogh, L’âne qui tousse, Les domaines qui montent, Aux petits frères et Les façonniers. Chacun est facile d’accès et équipé d’une terrasse et du wifi.

Le Airbnb des restaurateurs

Ce service de coworking au restaurant est destiné avant tout « aux travailleurs nomades, aux indépendants, aux coachs, aux entrepreneurs,… » énumèrent les deux concepteurs. A terme, ils visent également les télétravailleurs des grandes sociétés.

« De très nombreux travailleurs ne possèdent pas de bureau : 1,5 millions d’emplois non salariés, 1 à 3 millions de salariés nomades en France, des centaines de milliers de toutes petites entreprises et de start-ups » expliquent-ils.

Parallèlement, Frenchwork permet aux restaurateurs de compléter leur revenus en « louant » leur salles durant les heures creuses. En un mot, un Aibnb des restaurants.

Lancé d’abord à Toulouse, les deux concepteurs veulent s’étendre rapidement sur l’ensemble de l’hexagone. L’objectif est d’adhérer « une centaine de restaurants dans les 10 premières villes français ces prochaines mois » détaillent-ils. Ils espèrent ainsi convaincre « entre 3000 à 5000 coworkers la première année ». Une belle initiative à suivre.

>> Frenckwork : https://frenchwork.fr/

Julien Leroy

29 Juin

Des Gersois lancent « Ecocar’s », le Airbnb des garagistes

Découverte France 3 Midi-Pyrénées. Deux Gersois lancent EcoCar’s, le « Airbnb » des garagistes qui permet aux particuliers de louer leur lieu de travail avec ponts élévateurs et outillages professionnels. Plusieurs garages de Midi-Pyrénées ont déjà rejoint la plateforme. Un concept unique en France.

© EcoCar's Service France

© EcoCar’s Service France

EcoCar’s « consiste à mettre en relation, via une plateforme WEB, des particuliers et des garages adhérents qui proposent leurs heures creuses pour la location de lieux de travail avec ponts élévateurs et outillages professionnels appartenant aux dits garagistes adhérents » explique Jérôme Dufils, l’un des deux fondateurs.

Le service est destiné « à la petite réparation et entretien des véhicules » précise-t-il. Le concept est unique en France.

Pour le moment, la plateforme EcoCar’s compte 6 garagistes adhérents en Haute-Garonne et dans le Gers. Plus « un dans l’Yonne« . A terme, les deux fondateurs veulent étendre leur réseau dans toute la France. Nous « avons déjà des contacts dans la Marne » détaille Jérôme Dufils. 

Basés à L’Isle Arné dans le Gers, Jérôme Dufils et Stéphanie Quittelier ont eu l’idée d’EcoCar’s en constatant que « les garagistes avaient beaucoup d’heures creuses dans la journée« . Parallèlement, ces professionnels indépendants connaissent une baisse du chiffre d’affaires depuis quelques années. EcoCar’s veut ainsi ramener des clients. « C’est +15 % de bénéfice » estime Jérôme Dufils. 

Côté particuliers, les tarifs horaires de location peuvent aller de 25 € pour la location d’un pont élévateur à 35 € avec l’accompagnement d’un coach. Chaque garagiste peut ensuite proposer des options supplémentaires de self-garage.  

> Pour tester Ecocar’s :www.ecocar-s.fr

> Reportage de France 3 Midi-Pyrénées (Sandrine Mörch & Denis Hemardinquer ) : 

Julien Leroy

27 Juin

La nouvelle région « Occitanie » en 10 tweets

© MaxPPP

© MaxPPP

C’est (quasiment) officiel. La nouvelle région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées s’appelle « Occitanie ». Le nom a été validé ce vendredi 24 juin par les élus du Conseil Régional réunis à Montpellier. Cette dénomination devra encore être validée d’ici octobre 2016 par le gouvernement après avis du Conseil d’Etat.

En attendant, le nom de notre région a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.

Florilège des meilleurs tweets :

Julien Leroy