Dans le livre « Frères ennemis » de Renaud Dély et Henri Vernet qui parait aujourd’hui, le maire de Dijon ne mâche pas ses mots sur son ami de 20 ans…
Ceux qui ont l’habitude de nous suivre dans La Voix est libre, sur France 3 Bourgogne, auront remarqué dans l’émission du 3 octobre dernier que nous avions interrogé avec insistance François Rebsamen sur ses motivations à quitter le gouvernement et sur ses rapports avec François Hollande . Le maire de Dijon n’avait alors rien laissé paraître d’une éventuelle amertume, et d’un sentiment d’ingratitude…Mais ces sentiments, il les a exprimé dans ce livre, confiant aux auteurs :
« Stéphane (le Foll) et moi, François ne peut plus nous voir. Il ne nous supporte plus… »
Et encore
« Il n’a pas d’affect. Ce type est un galet. Je n’en connais pas d’autre comme ça. »
Doit on comprendre en creux qu’en interrompant une carrière nationale et en revenant à Dijon reprendre la suite de son ami Alain Millot décédé, François Rebsamen a exprimé à ceux qui savaient lire le message, qu’il avait, lui de l’affect ?
Et Thomas…
Dans le même ouvrage, Thomas Thévenoud parle de lui de façon radicale :
« je suis juste un con, un con, un con… »