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INFO FRANCE 3 MIDI-PYRENEES. Une séance de coaching pour startups. C’est le principe des « Launchpad » organisés par Google un peu partout dans le monde. Après New-York, Madrid, Tokyo, Paris et Bordeaux, c’est au tour de Toulouse. Rendez-vous du 7 au 11 décembre 2015.

Le LuanchPad Week Bordeaux en février 2015 / ©
Aquinum

Le Launchpad Google de Toulouse aura lieu du 7 au 11 décembre 2015 dans les locaux de Toulouse Métropole. 

Durant 5 jours, des startups toulousaines seront coachées par des experts du numérique. « Des mentors régionaux ou des employés de Google France » précise Damien Roemer, responsable de la communication chez Google France. Une semaine de formation qui va permettre aux entrepreneurs chanceux de développer leur concept, leur business model ou leur plan de marketing. L’objectif est de leur apprendre « à éviter les erreurs lorsqu’on débute« . La « semaine est intense » précise Damien Roemer. Atelier, séance de coaching, audit,… le programme est « extrêmement personnalisé » assure Google.

Un appel aux startups va être lancé

Pour le moment, aucune startup n’a été encore sélectionnée pour le Launchpad Week de Toulouse. Chacun peut envoyer sa candidature. Une inscription en ligne ouvrira d’ici le 12 octobre sur le site des Launchpad de Google. En règle générale, une douzaine de chanceux est choisie.

Des Launchpad Google ont déjà été organisés en France : à Bordeaux (en février 2015) et deux fois à Paris (octobre 2014 et mai 2015). C’est la première fois que cet événement a lieu à Toulouse. A ne pas manquer pour toutes les startups locales. 

Julien Leroy 

Trouver un cours de danse pour sa fille, une leçon de piano pour le grand ou une séance de yoga pour vous…et sans se prendre la tête. C’est désormais possible avec CoursAvenue, le premier moteur de recherche de loisirs crée par un toulousain, Nicolas Lagarde. Unique en France.

© CoursAvenue

CoursAvenue est le « premier moteur de recherche de cours de loisirs qui permet de relier chacun de nous aux meilleurs professeurs, associations et écoles qui nous entourent » résume l’équipe de la start-up basée à Toulouse et à Paris.

Il suffit de sélectionner l’activité souhaitée parmi les 500 disciplines. De préciser son quartier et ses contraintes d’emploi du temps. Et CoursAvenue vous liste les cours et clubs à proximité de votre domicile. L’application web référence plus de 1000 établissements à travers la France. Si 75% sont actuellement situés en Île-de-France, « plus de 700 adresses sont déjà enregistrées sur Toulouse et sa région » précise Camille Smith-Tardy, la responsable de communication.

CoursAvenue est né en 2013 à Paris. Le Toulousain Nicolas Lagarde a eu l’idée, avec Nima Izadi lors d’un week-end à Nice. Ils avaient galéré à trouver un atelier de cuisine. Après avoir intégré le Camping de Paris, CoursAvenue est aujourd’hui une start-up embauchant 7 collaborateurs. Une partie de l’équipe est basée à Toulouse, depuis 2 ans, dans le quartier de Saint-Cyprien. 

>>> Site web de CoursAvenue : www.coursavenue.com/

Julien Leroy

Découvrez le magnifique département du Lot dans une vidéo en ultra accéléré. On en prend plein les yeux.

Au-de-là de la beauté des images, l’exploit est avant tout technique. Il est signé Gaël Boudet, un jeune Figeacois de 17 ans. Passionné de cinéma et d’audiovisuel, il ainsi conçu cette vidéo avec la technique de l’hyperlapse. Il s’agit d’un effet spécial qui offre l’aspect d’une image en accéléré. Le résultat est bluffant. 

Gaël Boudet n’est pas à son premier coup d’essai. Il a déjà réalisé une vidéo similaire sur Figeac et prévoit d’en faire une sur Albi. 

>> Vidéo « LotHyperlapse » :

Julien Leroy

La start-up toulousaine Sigfox part à l’assaut de l’Amérique du Nord et plus particulièrement dans 10 grandes villes des Etats-Unis. Un dispositif présenté ce mercredi matin lors d’une conférence de presse à Labège.

© 2014 Dan Taylor

Après l’Europe et la Russie, Sigfox va conquérir les Etats-Unis. L’opérateur d’un réseau mondial dédié à l’Internet des Objets (IdO) va ainsi se développer dans 10 villes majeures des Etats-Unis dès le 1er trimestre 2016 : San Francisco, New York, Boston, Los Angeles, Chicago, Austin, Houston, Dallas, San José. Un investissement de 100 millions d’euros. 

« L’Amérique du Nord est une étape clé (..). Cette région est au coeur de l’un des écosystèmes les plus actifs de toute l’industrie de l’IdO » explique Xavier Drilhon, Directeur Général Délégué de SIGFOX.

Pour superviser ce déploiement, la société toulousaine vient de nommer Allen Proithis comme directeur du nouveau siège américain qui sera basé à Boston. Ancien cadre chez Hewlett Packard, il est présenté comme un des spécialistes des objets connectés en Amérique du Nord. 

Une entrée en Bourse mi-2017

Ce matin, Sigfox a annoncé son introduction en Bourse pour mi-2017. Initialement prévue en 2016, elle est reportée pour « une question d’exécution«  affirme le PDG, Ludovic Le Moan. Sigox ambitionne de dépasser un milliard de dollars de valorisation. Parallèlement, une nouvelle levée de fonds est prévue prochainement. « Beaucoup plus » que les 115 millions d’euros levés en février 2015. Ce qui avait déjà été un record européen.

Basée à Labège (près de Toulouse), Sigfox est en train de créer un réseau mondial des objets connectés. Une première mondiale. La start-up affiche aujourd’hui un chiffre d’affaire de 6 millions d’euros. « On a commencé à trois dans un garage en 2011 et aujourd’hui on est 80 » raconte sur Twitter Ludovic Le Moan.

>>> Reportage de France 3 Midi-Pyrénées sur la conférence de presse de ce 15 septembre 25015 : 

Julien Leroy (+ l’AFP)

La start-up toulousaine Payname collectionne les bonnes nouvelles. Elle annonce aujourd’hui une levée de fonds de 5 millions d’euros grâce à de nouveaux partenaires dont la MAIF.

En seulement 2 ans, Payname boucle sa troisième levée de fonds. Après deux enveloppe de 300 000 euros chacune, ce nouvel apport financier de 5 millions d’euros doit lui permettre d’accélérer son développement. Pour son fondateur, Eric Charpentier, l’objectif est « devenir, d’ici 3 ans, la première banque en ligne collaborative« .

Etablissement de paiement depuis cet été

En juillet dernier, Payname est devenu un établissement de paiement. Une grande première pour une société de la Fintech travaillant avec les particuliers. L’agrément est attribué, au compte-gouttes, par l’autorité de contrôle des banques : l’ACPR (Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution). « Il s’agit d’une reconnaissance de notre travail » se félicite Laëtitia Geneyton, responsable de communication chez Payname. « Cela montre que nous respectons la réglementation » poursuit-elle.

Payname reste aujourd’hui un des leaders français de ce nouveau secteur bancaire. C’est la seule plateforme en ligne qui permet de réaliser tous ses paiements de pair-à-pair (cagnotte, remboursement, service à la personne, loyer…). Le site toulousain assure les transactions, éditent la quittance de loyer ou réalise encore la déclaration à l’Ursaaf. Née en 2013, la startup toulousaine connaît une croissance exponentielle et compte à ce jour 25 collaborateurs.

Julien Leroy