Quarante minutes. Le temps d’une finale pour deux équipes de basket-ball. Le temps d’un dernier combat pour deux joueurs. Ce soir à Limoges, dans l’ambiance volcanique de Beaublanc, celui qui va s’incliner perdra bien plus qu’un titre de champion. Amis depuis toujours à la vie à la mort, c’est le crépuscule de leur innocence. Quarante minutes. Le temps d’un crime, devant six mille témoins.
Après le décès de son père, Sylvia Gutmanster se lance à vélo dans un pèlerinage à travers la Pologne, sur les traces d une enfance qu elle veut ranimer. Mais ce qui est demeuré invisible doit peut-être le rester. Pour elle, le passé revient et se mêle au présent. Les personnages d autrefois, réels ou mythiques, lui répondent comme dans un jeu de miroir. Au terme de ce voyage, la voix intérieure, qui hante Sylvia depuis toujours, trouvera-t-elle enfin la paix ?
Le suaire de Turin, le fameux linceul qui aurait enveloppé le corps du Christ après sa crucifixion, déchaîne les passions et suscite les hypothèses les plus folles depuis des siècles.
Erick George-Egret a écrit un thriller passionnant et hyper documenté, « Les Voyageurs noirs », autour de cet objet mythique !
Présentation de l’éditeur :
Voyageurs tentent de détruire le «linceul du Christ ». Au Liban aujourd’hui, sur les bords de la Méditerranée taillés par la même lumière qu’il y a mille ans, le professeur Dorval va devoir se battre. Depuis l’an 33 à Jérusalem, le mystère ne cesse de grandir.
D’une une plume taillée à la serpe, ce thriller poignant ne lâche pas son lecteur. La précision historique et le suspense haletant s’entremêlent au rythme des événements, de 1187 à nos jours !
Érick George-Égret est écrivain mais aussi éditeur. Il écrit sous pseudonymes. Les Voyageurs Noirs est son troisième thriller.
Nous avions adoré « Je m’appelle Requiem et je t’… » de Stanislas Petrosky dans « 9h50 le matin »…
Nous avons rencontré l’auteur au salon Livre Paris, qui nous a parlé de son prochain opus « Dieu pardonne, lui pas ! »
ça promet !
Présentation de l’éditeur :
Estéban Lehydeux, dit Requiem, est de retour. Le curé exorciste débarque cette fois sur le port du Havre.
Il y découvre un docker bien sous tout rapport – si, si ça existe –, accusé de meurtre ; une boîte d’import-export d’objets et de matériel pas bien catholiques ; un syndicaliste forcené mais pas mauvais bougre ; des fanas du troisième Reich ; et bien évidemment une accorte jeune femme tellement mal fringuée qu’il s’empresse toujours, dès qu’il la croise, de la déshabiller !
Entouré de ces drôles de paroissiens notre héros, un Don Camillo carburant à la bière plus qu’à l’eau bénite, va devoir jouer du goupillon et faire quelques entorses aux règles de son ministère pour parvenir à distinguer le bon grain de l’ivraie…
Ce deuxième épisode des aventures de Requiem est basée sur un fait réel : l’histoire de Jules Durand, qui défraya la ville du Havre en 1910. Cette sorte d’affaire Dreyfus dans le monde ouvrier est encore dans les mémoires de nombreux havrais.
Les éditeurs et auteurs de la Nouvelle Aquitaine étaient à l’honneur cette année 2017 au salon Livre Paris ! Les Ardents éditeurs, représentés par Jean-Marc Ferrer nous racontent 10 ans de présence de la Nouvelle Aquitaine à Paris…
Une écorchée vive qui rêve de brûler les planches. Un squat à fuir, un homme secret et tourmenté. Et une audition menée par une troupe étrange dans un théâtre abandonné… Le Majestic. Serez-vous prêts pour la première ? Après un « Criminal Loft » encensé par la critique, « Majestic Murder » est un thriller sombre et original, asseyant définitivement son auteure parmi les plumes majeures de la littérature noire.
Notre avis :
Avec un talent éblouissant, Armelle Carbonel bouscule une fois de plus les codes du polar en écrivant une intrigue totalement hors norme. Outre l’écriture, puissante et évocatrice comme des scènes de films de David Lynch, Armelle nous transporte dans un univers où tout est possible, et explore l’âme humaine comme personne ne l’a fait avant elle. Un bijou littéraire qui devrait rafler quelques prestigieux prix du polar !! A ne surtout pas rater.
Concarneau. Marianne Bracq commissaire en disponibilité a rendez vous avec un contact qui doit enfin lui révéler les secrets de ses origines familiales.
Besançon : L’équipe du SRPJ, en l’absence de son chef, Marianne Bracq, est sur la piste d’un serial killer particulièrement inventif quant à sa façon de mutiler ses victimes.
Le psychopathe assouvit-il une vengeance ? Cherche-t-il à faire sortir Marianne Bracq de sa demi retraite ? Ces meurtres ont-ils un lien avec la secte qui avait enlevé le frère de la commissaire ?
Mais au fait qu’est devenu ce mystérieux frangin ?
Autant de questions qui poussent l’héroïne à prendre les choses en mains et pas avec des pincettes.
Retours amers est le troisième épisode des aventures de Marianne Bracq. La commissaire à ses fans, nombreux, qui attendent depuis longtemps son retour.
Fabrice Pichon après Plusdeprobleme.com a donc décidé de faire revivre cette policière pas très politiquement correcte mais diablement séduisante.
Notre avis :
Fabrice Pichon est un orfèvre du verbe ! Il parvient à concilier dans ce polar la qualité de l’intrigue, la justesse des personnages, la précision des informations distillées… et une bonne dose d’humour ! Une vraie réussite !!
Ciudad Juarez, à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Ciudad Juarez, ses gangs armés, ses combats clandestins, ses cadavres exposés au soleil. Ciudad Juarez, ses policiers corrompus, ses agents infiltrés et depuis plusieurs semaines maintenant, son mystérieux sniper qui tue impunément le long de la frontière de métal. Le paradis pour les truands, l’enfer pour les autres. Voilà où Paik Dong-Soo, ex officier du Renseignement nord-coréen, a décidé de trouver refuge après avoir quitté New York. Mais c’est là aussi que débarque Nero, le représentant des familles italiennes de la côte Est, pour conclure un important marché avec le patron du cartel local, Torres. Un homme sanguinaire qui parade devant ses affidés, au bras de sa compagne, l’intrigante et sculpturale Salma. Quand Nero reconnaît un jour en Dong-Soo l’homme qui a tué son ancien patron, il n’a plus dès lors qu’un seul projet : rapporter à ses maîtres la tête du Coréen. Seul et affaibli, Dong-Soo devra faire appel à toutes ses ressources pour échapper à ses poursuivants. Autant de crotales pour qui trahir est une seconde nature… Et tuer un véritable plaisir.
Notre avis :
Après son succès de la Trilogie des ténèbres, qui lui a valu le prestigieux prix « Sang d’encre » au Festival du polar de Vienne, Jean-Luc Bizien confirme une voir de plus son immense talent avec ce pavé. Ancré dans l’actualité, hyper documenté et servi par une écriture sans faille, ce roman ravira autant les amateurs de suspense, que de thriller et de roman noir ! Un choc et une totale réussite !!
« Le ciel se couvrait et le soleil n’éclairait plus que l’horizon. Soudain, alors qu’il allait faire demi-tour, son regard fut attiré par une vision insolite. Sur sa gauche et légèrement en contrebas, il aperçut, sur le sommet acéré d’un rocher, ce qui pouvait ressembler à des vêtements qui auraient été jetés, là. On distinguait des couleurs dans les rouges et dans les bleus. Damien décida d’aller voir. Il lui fallait escalader quelques monticules, puis redescendre un peu pour atteindre la cible. Plus il avançait, plus la vision se faisait précise. Il voyait à présent comme un agrégat de lambeaux de tissus. C’était la couleur rouge qui dominait. » Sur la commune de Buissière, La Butte de Frochet est un endroit mystérieux où, selon la légende, vivait la terrifiante Mandragore, dragon avide de jeunes filles.
Alors que le commissaire Dumontel est suspendu de ses fonctions, il est entraîné malgré lui dans une histoire étrange où se croisent des chamanes, des gourous et des familles « yourtistes ». Le 9e opus de la série, qui flirte avec le fantastique, n’a pas fini de vous surprendre…
Le commissaire Larcin est un grand flic. Une carrière professionnelle exemplaire. Une vie sans histoire. Une femme belle, des enfants sans soucis. Des perspectives d’avenir plutôt prometteuses. C’est une référence dans la police. Seulement voilà, le commissaire Larcin se suicide sur son lieu de travail avec son arme de service.
Alors, tous les équilibres basculent.
Des séries d’attentats émaillent la ville. Des tracts d’une organisation extrémiste sont retrouvés sur les lieux. Un journaliste succombe dans un incendie criminel. Les affaires ont des côtés obscurs, et les hommes qui les font, des passés douteux.
Quoi de neuf ? Qui mène la danse ? Qui a la main dans ce jeu de massacre ? Et si c’était une histoire d’amour ? Une dernière ligne droite pour le commissaire Varlaud. Un dernier blues pour la route.