20 Juin

Knot, le nouveau jeu addictif conçu à Toulouse

© Sandie Vinhas & Matthias Furcy

© Sandie Vinhas & Matthias Furcy

Après 2048, Flappy Bird, voici…Knot, le nouveau jeu addictif sur smartphone et tablette. Conçu à Toulouse, Knot est un jeu ultra-simple où il faut relier des bulles qui portent le même numéro avant qu’elles disparaissent de l’écran. Le but étant de faire simplement le maximum de points. Knot « demande un peu de réflexion, de l’agilité et frustre très peu les utilisateurs grâce à l’augmentation progressive de la difficulté » explique son créateur, Matthias Furcy. Effectivement, le jeu tient vraiment ses promesses. Une fois téléchargé, il est très difficile de s’arrêter ! Knot est idéal dans les transports ou dans une salle d’attente.

Knot a été crée par Matthias Furcy, étudiant à l’école informatique INGESUP de Toulouse. Ce développeur passionné (déjà connu pour son application Mitra) a été aidé par Sandie Vinhas pour réaliser le graphisme et tester le jeu. Totalement gratuit, Knot est disponible sur Iphone et Ipad depuis le 11 juin. « Nous comptabilisons à l’heure actuelle 1546 téléchargements en une semaine » précise Matthias Furcy. Un démarrage correct qui devrait s’amplifier dans les prochaines semaines. Knot mérite le buzz !

Pour télécharger Knot : cliquez ici (Apple Store)

04 Juin

Un site de ventes privées de produits 100 % ariégeois

© les-ventes-du-09.fr

© les-ventes-du-09.fr

Voici une belle initiative numérique dans l’Ariège. Un jeune diplômé de commerce vient de lancer un site de ventes privées 100 % ariégeois : les-ventes-du-09.fr. L’idée est de proposer des ventes privées en ligne avec des artisans locaux, des producteurs du pays et des commerces de proximité. L’internaute peut ainsi trouver des bijoux, des produits du terroir, des vêtements, de la maroquinerie,…made in Ariège.

Un circuit court qui permet de promouvoir le savoir-faire de l’artisanat local. « Nous avons la chance en Ariège d’avoir des producteurs attachés aux traditions et au travail bien fait » déclare le créateur du site, Jean-François Voile. Installé à Tarascon-sur-Ariège, le jeune entrepreneur quadrille le département pour dénicher lui-même les futurs vendeurs. Aujourd’hui, une vingtaine d’entre eux a déjà rejoint les-ventes-du-09.fr. Un site à découvrir.

16 Mai

La mode selon « Léa Choue », succès du blog d’une étudiante de Castres

Selfie de Léa Choue (© Léa CHoue)

Plus de 7200 abonnées suivent régulièrement ses conseils mode et beauté sur internet. Depuis 2 ans, Léa, jeune étudiante de 20 ans à Castres (Tarn), tient  » Léa Choue « , un blog de coaching sur la mode. Astuces, vêtement, coiffure, accessoires de mode, produits de beauté, conseils,… Léa Choue poste régulièrement des articles et des vidéos. Elle possède d’ailleurs sa propre chaîne YouTube avec des dizaines de vidéos qu’elle réalise elle-même. Un travail qu’il lui demande entre 2 à 3 heures par jour.

Aujourd’hui, le succès est au rendez-vous grâce au contenu mais aussi au caractère enjouée et naturelle de la jeune femme. Une bonne humeur qui donne envie de découvrir son blog et de partager sa passion. C’est d’ailleurs l’objectif de la blogueuse qui aime échanger et discuter avec ses abonnés.

> Lien vers le blog : http://www.leachoue.com
> La page Facebook : https://www.facebook.com/Leachouee/

Découvrez les coulisses de Léa Choue avec ce reportage de Myriam Brisse et Nathalie Fournis pour France 3 Tarn : 

 

 

12 Mai

Inventée par un gersois, l’application MyVoice décroche le Grand Prix du concours Lépine

© MyVoice

© MyVoice

MyVoice est une application Smartphone permettant d’envoyer des messages audio, vidéos et des SMS éphémères dans plus de 70 langues. MyVoice surfe sur le succès américain des SnapChat, des photos éphémères qui s’autodétruisent quelques secondes après leur réception. L’application française MyVoice propose le même service mais avec des messages vocaux et des SMS. Mais la principale innovation provient de la traduction du message dans la langue maternelle de l’écouteur. MyVoice propose ainsi de le traduire automatiquement dans plus de 70 langues. Vous avez également la possibilité de programmer l’heure et le jour d’envoi. Très pratique en cas de fuseaux horaires.

L’application est disponible sous Android depuis 2 semaines. Et le sera prochainement sur Apple assure son inventeur, Jacques Pitoux. Ce natif du Gers est un «serial inventeur» comme le surnomme la presse. A 47 ans, il a déjà déposé pas moins de 30 brevets et compte deux titres au prestigieux concours Lépine qui récompense les inventions françaises. Ce week-end, il a décroché le Grand Prix du concours Lépine, avec MyVoice.

Aujourd’hui, Jacques Pitoux veut développer l’application depuis Dubaï où il vit depuis l’automne. Un exil nécessaire pour commercialiser son application selon le gersois. Associé avec son frère, Michel, et avec Pierrick Duret, le trio veut désormais recruter des développeurs pour concrétiser cette application du futur.

Pour plus d’info : http://myvoiceapp.com

07 Mai

La Dèche du Midi, un site de désinformation locale en Midi-Pyrénées

© La Dêche du Midi

© La Dêche du Midi

Le site web est apparu sur Internet il y a quelques jours. Surfant sur le succès de Gorafi, « La Dèche du Midi » reprend la même recette. Un site de désinformation locale qui publie des actualités humoristiques et totalement fausses. « Raconter n’importe quoi, n’importe quand et à n’importe qui mais surtout sur Toulouse et sa région » est le slogan de La Dèche du Midi. Parmi les dernières actus en ligne : « Une banque suisse attaque le groupe toulousain Gold », « un étudiant toulousain découvert non-ivre un jeudi soir » ou « le recordman du monde des mangeurs d’aligot hospitalisé à rodez dans un état grave ».

« La Dèche est née d’une discussion entre amis plutôt fans du Gorafi » nous confie la rédaction contactée par e-mail. Derrière la volonté de faire rire, les fondateurs expliquent  que « L’idée en filigrane est de critiquer la presse en général et ses dérives (..) Les lecteurs se passionnent pour les sujets futiles plutôt que pour ceux qui sont réellement importants. Donc nous transformons tous les sujets en futilité ».

L’équipe du site est, pour le moment, composée « d’un journaliste, d’un publicitaire et des gens qui n’ont rien à voir avec les médias« . Mais à terme, elle souhaite inciter les lecteurs à devenir les auteurs du site. En attendant, le site commence à rencontrer un beau succès sur la toile régionale.

06 Mai

Le toulousain Sigfox tisse la toile des objets connectés

Sigfox reste encore inconnu du grand public. Mais la start-up toulousaine est en train de devenir un acteur incontournable dans le marché mondial des objets connectés.

© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

Créer un réseau mondial des objets connectés
Sigfox est aujourd’hui une start-up très convoitée. Fondée en 2009 à Labège (près de Toulouse), la jeune société a l’ambition de créer un réseau de télécommunication entre les objets. Une première mondiale. Autre originalité : le faible coût du système. En effet, le réseau sans fil de Sigfox est en très bas débit (similaire « à une télécommande de portail »). Il est peu gourmand en énergie et en bande passante. Le réseau est également sans licence et facile à installer. Un système économique innovant qui attire de nombreux groupes à travers le monde. Clear Channel, ERDF et MAAF l’ont déjà adopté.

Le marché prolifique des objets connectés
Les objets connectés sont considérés comme la 3e révolution du web. Un marché mondial de 30 à 80 milliards d’euros d’ici 2020. L’objectif est de relier tous les objets du quotidien pour améliorer notre mode de vie : compteurs d’eau, alarme incendie, boites aux lettres qui nous prévient du passage du facteur, panneaux publicitaires, voitures, poubelles, sac à main perdu,… Les déclinaisons sont multiples et illimitées. Cependant, pour communiquer entre eux, les objets utilisent couramment internet ou lestéléphones portables. Des réseaux cellulaires très gourmands alors que les objets envoient des informations de quelques octets. Le système Sigfox serait alors révolutionnaire.

Attirer les plus grands
Sigfox veut aller vite pour s’imposer dans ce nouveau marché de la télécommunication. Il n’existe pas actuellement de concurrent direct mais des sociétés espagnoles et britanniques arrivent. Le réseau Sigfox couvre actuellement la France, le Pays-Bas, la région de Moscou et prochainement l’Espagne. Reste les Etats-Unis où les géants américains du net sont très intéressés par l’invention des « Frenchies ». Parallèlement, Sigfox vient de réussir sa troisième levée de fonds à hauteur de 15M€. Et Anne Lauvergeon (ex-dirigeante d’Areva) vient de rejoindre la start-up toulousaine comme présidente. Une aubaine pour les 60 employés de Sigfox.

> Reportage de Sandrine Morch et Véronique Urtizberea (France 3 Midi-Pyrénées)

 

29 Avr

La start-up toulousaine Ubleam réinvente les cartes de visite

C’est probablement la carte de visite du futur. La « BleamCard » est la première carte de visite interactive et connectée. Une idée innovante lancée par la start-up Ubleam, située à Labège, près de Toulouse.

© Ubleam

© Ubleam

La BleamCard est une carte de visite classique sur papier. A un détail près : elle contient un logo interactif (baptisé « Bleam » mise au point par la start-up toulousaine). Une fois donnée à votre contact professionnel, ce dernier la scanne avec son Smartphone et accède aussitôt à l’ensemble de vos coordonnées téléphoniques et numériques (site web, blog, contenus commerciaux, photo du titulaire,…). Un moyen efficace pour avoir également des données toujours à jour.

Une carte de visite 80 % papier et 20% numérique
Il faut avouer que le concept est innovant et plutôt bluffant (voir la vidéo de démo). A l’heure du tout numérique, La BleamCard « prend le contrepied en alliant Print et digital » explique les co-fondateurs d’Ubleam, Samuel Boury et Olivier Mezzarobba. Ils ont constatés que « L’échange de la carte de visite reste essentiel bien que les relations se digitalisent de plus en plus« .

Projet de commercialisation
Sans surprise, le système connait de plus en plus le succès. Il a été primé lors du dernier « LeWeb13 » à Paris (conférence internationale qui dessine l’Internet du futur). Aujourd’hui et ce jusqu’au 5 juin, Samuel Boury et Olivier Mezzarobba lancent une campagne de crowdfunding pour récolter des fonds et lancer la commercialisation du service. En attendant, la BleamCard est une bonne carte de visite pour Toulouse, candidate au label « French Tech« .

27 Avr

La start-up toulousaine FidelPass révolutionne la carte de fidélité

© FidelPass

© FidelPass

Ras-le-bol d’avoir une douzaine de carte de fidélité dans votre sac à main ou portefeuille lorsque vous partez faire du shopping ? Pourquoi ne pas inventer une carte unique et connectée ? C’est désormais possible avec FidelPass, développé par une start-up toulousaine du même nom. Elle déploie actuellement sa solution innovante après 4 ans de perfectionnement.

Dés 2010, FidelPass lance cette idée inédite de solution globale de fidélité. Le principe est plutôt simple : une carte de fidélité unique et dématérialisable sur Smartphone (Version disponible sous Android et Apple). Et une tablette chez les commerçants qui sert de borne d’enregistrement. Le service est gratuit pour le consommateur.

L’autre innovation de FidelPass est de s’adresser essentiellement aux commerces de proximité qui n’ont pas toujours les moyens d’offrir un système de fidélité comme ceux des grandes enseignes. FidelPass leur propose un programme de fidélisation avec des points et des réductions à offrir à leurs clients. En cas de démocratisation du service, cela peut rapidement devenir indispensable. A l’heure actuelle, « seulement » un cinquantaine de commerçants de Toulouse participe au concept.

FidelPass envisage également de se développer au niveau national. « L’ambition est de développer d’ici la fin de l’année sur Parsi et sur au moins une autre métropole française » explique Florent Martenne-Duplan, président de FidelPass. Aujourd’hui, FidelPass est basé dans le quartier de Compan Caffareli à Toulouse et emploi 5 salariés.

26 Avr

Parodié sur Twitter, le club de football de Luzenac (Ariège) ne plaisante pas

© LAP - Luzenac Ariège Pyrénées

© LAP – Luzenac Ariège Pyrénées

A peine montée en Ligue 2, le petit club de football de Luzenac dans l’Ariège ne plaisante pas avec sa communication extérieure, notamment sur les réseaux sociaux. En effet, un petit malin a profité de l’engouement médiatique pour parodier le compte Twitter du club. Ouvert le 21 avril dernier, le faux compte Luzenac AP (@LuzenacEN) diffuse depuis des propos déplacés ou satiriques. Parmi les messages publiés : l’arrivée de Cristiano Ronaldo pour y finir sa carrière, des fausses félicitations au club d’Ajaccio, l’ouverture de négociations avec David Moyes, l’entraîneur limogé de Manchester United. Un humour qui n’est pas du goût des dirigeants ariégeois. Ils ont d’ailleurs décidé de porter plainte pour usurpation d’identité. « Le club par l’intermédiaire de son président Monsieur Jérôme Ducros tient à présenter ses excuses aux clubs concernés par les propos déplacés du faux compte Twitter« , a fait savoir Luzenac AP sur son site officiel. En attendant, retenez que le vrai compte Twitter du plus petit club de l’histoire de la Ligue 2 est @LuzenacAP.

Exemple de tweet du faux compte :

25 Avr

Fin du phénomène « Happy » en Midi-Pyrénées ?

Le phénomène « Happy » continue toujours de faire le buzz en Midi-Pyrénées. Tarbes vient de rejoindre les 11 autres lip-dub tournés dans notre région. Cependant, on note un essoufflement de ce phénomène de société qui résonne dans nos têtes depuis plus de 5 mois. Les plus courtes sont souvent les meilleures. Non ?

Pour (re)découvrir les « Happy » de la région :

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