La startup toulousaine Sigfox continue de déployer son réseau mondial d’objet connecté (IoT). La jeune pousse a annoncé, ce mardi 22 mars, un partenariat avec le 2e opérateur télécoms français SFR et sa maison mère, le groupe Altice.
L’objectif vise « à associer dès aujourd’hui des solutions de connectivité complémentaires afin de démocratiser l’Internet des Objets dans tous les secteurs de l’économie et d’accroître l’offre de solutions connectées pour les entreprises et les particuliers » explique Sigfox dans un communiqué. « Les clients d’Altice et de ses filiales bénéficieront de la connectivité Sigfox en complément de l’offre de services du groupe » de télécoms.
« Nous sommes convaincus que le marché de l’Internet des Objets est une opportunité à saisir (..), avec une vision mondiale« , explique de son côté, Michel Combes, Directeur des opérations d’Altice et Président-directeur général de SFR.
Parmi les 50 prochaines Licornes d’Europe
Sigfox est en train de créer un réseau mondial des objets connectés. Une première mondiale. Ce nouveau partenaire est une nouvelle étape. Pour 2016, la startup basée à Labège, près de Toulouse, « prévoit d’être présent dans plus d’une trentaine de pays » rappelle la direction. Une success stories française qui a permis, ce lundi, à Sigfox d’être sélectionnés parmis les 50 licornes européennes. Ce nom est donné aux entreprises qui incarnent la réussite de la nouvelle économie.
Le chef cuisinier toulousain, Valentin Néraudeau, vient de lancer sur YouTube, des cours de cuisine où il apparaît torse nu. Sa première vidéo totalise plus de 23 000 vues en l’espace de 3 jours.
Apprendre à cuisiner tout en se regardant les pectoraux du chef. C’est le concept du toulousain Valentin Néraudeau qui a lancé, ce 17 mars, sa chaîne YouTube baptisée : « Valentin SexyChef« . Il propose des recettes culinaires où il apparaît torse nu. A 31 ans, ce jeune chef cuisinier est doté d’une plastique assez remarque qui ne laissera pas insensible la gente féminine.
Valentin Néraudeau est ainsi le premier youtubeur français à cuisiner torse nu. Mais le concept existe déjà aux Etats-Unis avec l’émission « The Bear-Naked Chef » où Adrian De Berardinis montre ses tablettes et ses tatouages.
Au-de-là de cette mise en scène insolite, Valentin Néraudeau veut surtout proposer, chaque semaine, des tutos culinaires accessibles à tous. « Des recettes exclusives réalisées en 3 min chrono, délicieusement coquines à réaliser chez soi… nu… ou pas ! » résume le toulousain sur la plateforme vidéo. « Healthy food, desserts gourmands ou spécialités régionales, il y en a pour tous les goûts » promet-il.
Sa première vidéo nous apprend à réaliser une framboise melba. En 72 heures, elle totalise plus de 23.000 vues.
Ancien chef du restaurant Le Carré Rouge, dans le quartier des Carmes à Toulouse
Valentin Néraudeau est un chef cuisiner reconnu et habitué des plateaux de télévision. Ex-candidat de l’émission « TOP Chef » en 2013, il a été finaliste aux championnats de France de desserts deux ans plus tôt. Depuis 2015, il est le chef de « C’est au programme » sur France 2. Il a été le patron des cuisines du restaurant Le Carré Rouge, dans le quartier des Carmes à Toulouse avant de lancer son propre établissement à Paris.
Il y a aura bien un bureau à Toulouse. Adrien Aumont, co-fondateur de KissKissBankBank
Le projet d’une implantation dans notre région avait déjà fuité le 15 mars dernier. Mais, aujourd’hui, KissKissBankBank apporte des précisions. « Reste à trouver la personne » qui se chargera du bureau toulousain précise Adrien Aumont. « Je suis en train de passer de nombreux entretiens ».
Il s’agira de la deuxième implantation régionale de la plateforme parisienne, après Lyon en septembre 2015. L’objectif est de créer un réseau national de permanences afin de développer une « démarche de qualité auprès de nos utilisateurs » explique-t-il.
Notre région Midi-Pyrénées représente un part important dans les projets soutenus par le leader des plateformes de crowdfunding. Au total, 767 projets ont été financés grâce à 3852 contributeurs (baptisé les « KissBankers ») régionaux.
KissKissBankBank est le leader européen du crowdfunding. Depuis sa création en mars 2010, la plateforme a levé 46 millions d’euros pour près de 20 000 projets. La start-up compte aujourd’hui plus de 830 000 KissKissBankBank.
L’échange de maisons pour les vacances entre particuliers est en vogue et notamment en Midi-Pyrénées. Toulouse est la 13ème ville mondiale en la matière et la 5e de France selon le site internet GuestToGuest, leader du secteur.
Selon le palmarès mondial d’échange de maisons ou d’appartements entre particuliers publié le réseau social GuestToGuest ce 15 mars, Toulouse se classe 13e au niveau mondial en terme d’offre et de demandes. La ville rose est également 5e dans l’hexagone.
Derrière Toulouse, d’autres villes de Midi-Pyrénées tirent leur épingle du jeu. Cauterets, Luz-Saint-Sauveur, Bagnères sur Luchon, Ax-les-Thermes sont les 4 autres destinations préférées des adeptes de l’échange de maison.
Midi-Pyrénées : 6ème région de France préférée pour l’échange de maison
Globalement, ce secteur du tourisme collaboratif se porte très bien en Midi-Pyrénées. La région se classe à la 6e place au niveau national « avec plus de 4500 logements proposés » précise le communiqué de presse de GuestToGuest.
« La région Midi-Pyrénées (..) accueille chaque année de plus en plus de touristes venus de France et du monde entier : Espagne, Italie, Pays-Bas, Canada, Etats-Unis… On retrouve d’ailleurs parmi les villes les plus populaires Toulouse, Cauterets, Luz-Saint-Sauveur, Bagnières-sur-Luchon, Ax-les-Thermes » poursuit la direction de GuestToGuest France.
Créé en 2011, GuestToGuest est le leader mondial dans l’échange de maisons ou d’appartements entre particuliers pour les vacances. Le réseau social propose aujourd’hui plus de 170 000 logements répartis dans 187 pays réduisant ainsi les frais de location.
Le leader européen du crowdfunding, KissKissBankBank, continue son déploiement dans les régions françaises. Après Lyon, une agence ouvrira d’ici cet été, à Toulouse ou Montpellier.
KissKissBankBank s’installe dans la région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées (LRMP). La start-up française s’apprête à ouvrir une agence à Toulouse ou Montpellier. Information confirmée par téléphone.
Il s’agira de la deuxième implantation régionale de la plateforme parisienne, après Lyon en septembre 2015. « D’ici à deux ans, nous aurons une antenne locale dans toutes les régions françaises » promettent les fondateurs de KissKissBankBank a nos confrères de La Tribune.
KissKissBankBank est le leader européen du crowdfunding. Depuis sa création en mars 2010, la plateforme a levé 46 millions d’euros pour près de 20 000 projets. La star-up compte aujourd’hui plus de 830 000 contributeurs (baptisé les « KissBankers »). Dans notre région, KissKissBankBank a permis la réussite de 767 projets grâce à 6300 KissBankers dont 3852 en Midi-Pyrénées.
Concurrence à Toulouse
Si le leader européen du crowdfunding s’installe à Toulouse, il faudra alors compter sur la présence du toulousain WISEED, l’une des plus grandes plateformes européennes d’equity-crowdfunding (financement participatif d’actions). Ou encore de « Pick and boost » à Montauban.
« Geek Junior » est un site d’information sur les jeux vidéos, le high-tech et l’actualité du numérique à destination des adolescents. Unique en France, il a été crée par le tarnais Christophe Coquis. La rédaction est située à Gaillac.
« Geek junior est à la fois un site de sensibilisation et un site d’actualité sur le high-tech, les nouveaux jeux vidéos et sur les applications à destination des ados » nous explique Christophe Coquis, le fondateur.
Le site propose à la fois des articles sur les derniers jeux vidéos, des astuces pour bien utiliser Facebook ou Snapchat, des tutoriels d’applications pour smartphone et des actus sur les héros des adolescents.
Un site pour ados unique en France
L’originalité de Geek junior est de « s’adresser directement aux adolescents » précise Christophe Coquis. « Cela n’existait pas alors que c’est le moment où il gagne en autonomie numérique« explique le tarnais. L’objectif est d’expliquer « le fonctionnement et les dangers des outils numériques » poursuit-il en citant à plusieurs reprises l’exemple de Snapchat, très prisé chez les ados.
Comment est venue l’idée de Geeek junior ? « J’ai d’abord deux adolescents à la maison » répond immédiatement Christophe Coquis. « J’ai été ensuite rédacteur en chef d’un journal de geek à Barcelone« . Après 4 ans en Espagne, il revient à Gaillac et lance Geeek junior en janvier 2015.
Aujourd’hui, le site d’information de Christophe Coquis totalise « 160 000 visiteurs par mois » annonce-t-il. A 43 ans, le tarnais est seul à le gérer. « Je publie entre 2-3 articles par jour ». Entièrement gratuit, Geek junior propose aucune publicité. D’ailleurs, son créateur cherche un modèle économique pour développer le site et étoffer la rédaction. En attendant, des traductions en anglais et en espagnol sont en projet.
La youtubeuse toulousaine Amandine a décidé de mettre un terme à sa chaîne YouTube de mode et beauté « Amandyne’s World ». Dans une vidéo publiée le 29 février, la Toulousaine avoue, en pleurs, être victime d’harcèlement sur les réseaux sociaux. Tout a commencé avec le commentaire d’une autre youtubeuse. Décryptage.
La Toulousaine Amandine arrête définitivement ses tutos consacrés à la mode et à la beauté. Dans une vidéo adressée uniquement à ses 80 000 fans, la jeune femme, bouleversée, avoue avoir été victime de cyber-harcèlement de la part d’une autre Youtubeuse.
« Être agressée publiquement n’est déjà pas évident. Mais l’être par une personne qui a des milliers et des milliers d’abonnés, c’est encore plus dur. Ces youtubeurs/youtubeuses savent que leurs accusations et leurs propos seront vus et commentés par des milliers de personnes. C’est là que cela devient de l’incitation à la haine » explique-t-elle à nos confrères du Huffington.
Depuis 2 ans, sa chaîne « Amandyne’s World » rencontrait un beau succès sur Internet avec plus de 5 millions de vues. Nous avions consacré un portrait à cette toulousaine de 25 ans au début du mois de janvier.
Accusations de plagiat entre youtubeuses
Tout commence sur Twitter lorsque la youtubeuse française Charlène de « Chakeup » (suivie par plus de 210 000 personnes) reproche à la toulousaine d’avoir plagié un tuto beauté de l’américaine Natalies Outlet. La publication est alors commentée par des centaines d’internautes. Une avalanche de réactions plus ou moins virulente. Certains défendent Charlène. D’autres soutiennent Amandine.
« Pour ma vidéo, j’ai fait mon job. J’ai renseigné les crédits comme il le fallait dans ma barre d’info. (..) » se justifie la toulousaine. « J’ai toujours fait mes vidéos en m’épanouissant, en m’inspirant des Américaines et je suis loin d’être la seule. Pour autant, le contenu m’appartient, et je ne pille pas les autres pour alimenter ma chaîne. Parce qu’un tutoriel intitulé ‘Comment faire son trait d’eyeliner’ existe déjà alors nous n’avons pas le droit de faire le nôtre à nôtre façon? Est-ce automatiquement du vol ou du plagiat ?«
De son côté, la jeune Charlène a voulu se défendre en publiant quelques heures plus tard une vidéo sur sa chaîne YoutTube intitulée : « Pourquoi, j’ai pris cher » :
« En pleine dépression« , la youtubeuse toulousaine décide alors de mettre un terme à sa chaîne « Amandyne’s World ». Aujourd’hui, impossible de revoir sa dernière vidéo annonçant son départ. Seule reste sa dernière déclaration sur sa page Facebook. Jointe par téléphone, elle n’a pas souhaité en dire plus.
D’autres cas en France
Cette histoire de cyber-harcèlement n’est malheureusement pas la première. Au début du mois de février, le youtubeur français Math Podcast, spécialisé dans les vidéos humoristiques, a été accusé par des internautes d’avoir copié des confères américaines. D’autres Youtubeurs ont ténté de répondre aux commentaires par l’humour. Exemple avec la campagne vidéo lancée, en novembre 2015, par la chaîne Rose Carpet, contre le cyber-harcèlement.
Exclusivité. Envie d’un poulet rôti ce midi ou de jouer au tennis gratuitement ? ayez le réflexe Youwant. Cette application toulousaine permet de mettre en relation des particuliers pour des besoins et des services de la vie quotidienne. Elle sera disponible sur App Store et Google Play en avril 2016.
« Youwant est entre le Bon Coin et Uber » résume Romain Quilès, conseiller en communication de l’application. « Demandez ce que vous voulez, quand vous le voulez en toute simplicité. Postez votre demande, fixez vous-même le prix, le moment et le lieu du rendez-vous pour satisfaire vos envies et vos besoins de la vie quotidienne » complète le fondateur toulousain, Jean-Philippe Pelegry.
Demandez aux habitants autour de vous un poulet rôti pour 10 euros, recrutez des habitants pour rechercher votre chat égaré, recherchez une place de concert à la dernière minute – Jean-Philippe Pelegry, fondateur de Youwant
L’application pour smartphone va alors diffuser votre offre aux habitants connectés autour de vous. « Dès que l’un d’eux accepte une mission, contactez le et partager une nouvelle expérience collaborative » poursuit-il.
Youwant offre ainsi des milliers de possibilités. « Demandez aux habitants autour de vous un poulet rôti pour 10 euros, recrutez des habitants pour rechercher votre chat égaré, recherchez une place de concert à la dernière minute ou de vous vendre un bonnet à 8 euros en haut du télésiège pour vous éviter de prendre froid » détaille Jean-Philippe Pelegry.
Et cela fonctionne dans l’autre sens pour les personnes qui veulent réaliser des missions et gagner des euros. Youwant permet d’être « récompensé par des étoiles et des commentaires positifs » afin de bâtir sa réputation.
L’application Youwant est entièrement gratuite. « Nous ne prenons aucune commission » précise le fondateur qui envisage déjà de l’ouvrir aux professionnels.
Le jeune toulousain a eu l’idée de cette application inédite en « observant tout simplement la vie quotidienne » explique-t-il. Avec l’aide de plusieurs associés, Jean-Philippe Pelegry vient de créer sa propre startup AYW pour développer Youwant. La première version est prévue pour avril 2016 sur App Store et Google Play.
Pascal Dupraz est le nouvel entraîneur du TFC pour 2 ans. Le club toulousain l’a annoncé dans la soirée. A 53 ans, il a joué notamment à Sochaux, Brest et Mulhouse avant d‘entamer une carrière en 1993. Il a été le coach d’Evian jusqu’en 2015 avant d’être limogé en raison de la relégation du club. Comme pour la démission de Dominique Arribagè, la nouvelle est très commentée ce matin sur les réseaux sociaux.
Voici un petit nouveau dans l’écosystème digital de Midi-Pyrénées : « les Giboulées Numériques ». Un festival d’arts numériques qui aura lieu à Castres le 11 mars 2016. Bienvenue à lui !
@ MaxPPP
Il s’agit d’un festival des arts numériques. « Ce sont des arts contemporains que nous croisons de plus en plus régulièrement. Quand vous jouez à un jeu vidéo par exemple, ou que vous écoutez un morceau de musique entièrement réalisé par ordinateur. Ils sont de plus en plus présents » explique les organisateurs.
L’objectif est de mettre « à l’honneur les productions numériques, la créativité et la rencontre entre étudiants, lycéens et professionnels du domaine » poursuivent-ils.
Cette première édition des Giboulées Numériques aura lieu ce vendredi 11 mars, de 10h00 à 18h00, au coeur du campus de l’IUT de Castres. L’entrée est libre et ouvert à tous. « Que vous soyez néophyte ou expert vous êtes les bienvenus » précise l’organisation.
Au programme : des ateliers de réalité virtuelle, des performances audiovisuelles, des démonstrations musicales, des défis sur Photoshop ou Illustrator,… L’ensemble est animé par des étudiants et des intervenants professionnels qui « vous permettront d’en découvrir davantage sur les Arts Numériques » détaille les organisateurs sur leur site web.
Dernière cette initiative inédite, on trouve l’IUT Métiers du multimédia et de l’Internet basé à Castres. Rattaché à l’université de Paul Sabatier de Toulouse III, ce DUT forme des professionnels du numérique. Ce festival est le fruit d’un travail entre étudiants et enseignants.