04 Juin

L’application qui évite les PV de stationnement, va débarquer à Toulouse

« cPark » est une application qui permet d’éviter les amendes de parking en signalant le passage des agents de contrôle. Développée en Belgique, elle vient de débarquer à Paris avant un déploiement à Toulouse en septembre. La polémique est déjà lancée.

© MAXPPP

« En finir avec les amendes de parking » est le slogan prometteur de cPark, une application née en Belgique. 

Le service mobile repose sur une communauté d’automobilistes qui signale le passage des agents de contrôle et les voitures-radar. Une entraide qui permet d’éviter (au maximum) un PV de stationnement. cPark va jusqu’à alerter le conducteur si un agent de stationnement est repéré près de sa voiture.

Arrivée à Paris au début du mois de juin, l’application fait (déjà) un carton. « Plus de 20.000 téléchargements en l’espace de 3 jours » assure Hadrien Crespin, le fondateur de cPark.

Il est vrai que le stationnement est devenue problématique pour les conducteurs français depuis la forte hausse des tarifs de PV en janvier 2018.

Arrive sur Toulouse

cPark va être déployer dans 3 autres villes françaises : Marseille, Lyon et Toulouse.

L’arrivée dans la ville rose est programmée « d’ici la fin de l’été » me confie Hadrien Crespin. Le temps de constituer une communauté d’utilisateurs

Une application qui fait polémique

Signaler un contrôle pour éviter le PV. Le service fait forcement polémique même si cela reste légal.

Mais à Paris, la mairie accuse les concepteurs de vouloir « détourner les règles ».

Exemple avec ce reportage de nos confrères de France 2 :

Julien Leroy

31 Mai

Si l’ordinateur du futur se trouvait en Occitanie ? 

Objet indispensable de notre quotidien et professionnel, l’ordinateur, peu esthétique, a pourtant du mal à trouver sa place dans notre environnement. C’est pourquoi deux startups d’Occitanie, Kubb et Weezyo veulent réinventer le secteur du PC.

© Kubb

De Toulouse à Montpellier, deux jeunes pousses prennent le parti de casser les codes de l’informatique actuelle en proposant des ordinateurs 100 % français et au design épuré.

Le pionnier Kubb à Toulouse

Premier exemple avec Kubb, le premier ordinateur toulousain

Du haut de ses 12 cm, sa forme de cube révolutionne (enfin) l’unité centrale, souvent critiquée pour ses couleurs grisonnantes et son encombrement. 

Kubb veut ainsi surfer sur le succès des produits d’une marque à la pomme : compacts, beaux et performants.

Et cela semble fonctionner ! Après 3 ans de commercialisation, il a été vendu à quelques milliers d’exemplaires. 

Au moment de son lancement en 2014, une de nos équipes de France 3 Toulouse avait visité les coulisses de ce pionnier français :

La goutte d’eau de Montpellier

A Castelnau-le-Lez, près de Montpellier, l’ordinateur Weezyo surfe sur le même concept. 

En créant un PC en forme de goutte d’eau, l’innovation offre deux écrans.

Ce qui permet d’avoir davantage d’espace bureautique. Comme pour Kubb, l’utilisateur peut choisir la couleur de la coque afin de l’adapter à sa décoration. 

Weezyo prépare également une gamme d’ultra portable. 

Une des équipes de France 3 Montpellier a pu rencontrer le concepteur de cet ordinateur nouvelle génération sortie en 2018 :

Julien Leroy

30 Mai

IoT : la startup toulousaine Rubix lève 2 millions d’euros

Spécialisée dans les objets connectés pour le suivi des nuisances (gaz, odeurs, bruit, particules, lumière, …), la jeune pousse toulousaine « Rubix » vient de boucler sa première levée de fonds.

© France 3 Occitanie

Fondée en 2016 à Toulouse, la startup Rubix annonce, ce mercredi 30 mai, une levée de fonds de 2 millions d’euros.

Une tour de table bouclé avec deux investisseurs institutionnels : Evolem Start (basé à Lyon) et CPG (Aix-en-Provence). Ils sont également accompagnés de plusieurs Business Angels et de Bpifrance.

C’est la première levée de fonds de la jeune pousse qui espère ainsi accélérer sa croissance.

Rubix développe des objets connectés pour le suivi des nuisances (gaz, odeurs, bruit, particules, lumière, …). Une gamme de capteurs miniaturisés qui permettent d’analyser et d’identifier les sources de nuisances pouvant affecter un bureau, une salle ou une rue.

Ainsi, elle commercialise le « Rubix Pod ». Il s’agit d’un boitier connecté mesurant la qualité de l’air et des nuisances sonores. Une innovation qui intéresse déjà la ville de Los Angeles aux Etats-Unis. Elle cherche à identifier les bruits et notamment les tirs d’armes à feu. Rubix sait reconnaître jusqu’à 67 armes différentes.

Créée par Jean-Christophe Mifsud, Rubix compte 10 salariés et ambitionne de doubler ses effectifs en 2018.

Julien Leroy

29 Mai

A Toulouse, Benjamin Böhle-Roitelet quitte l’accélérateur « ekito » pour créer sa propre startup

C’est une figure emblématique de la French Tech de Toulouse. Benjamin Böhle-Roitelet quitte ekito, son accélérateur de start-up fondé en 2005. A son tour de se lancer dans une aventure entrepreneuriale en créant « Relief ».

© Nadia Pellefigue / 15 mai 2018

Si le mercato de l’écosystème du numérique toulousain existait, le départ de Benjamin Böhle-Roitelet serait considéré comme un gros transfert.

Figure emblématique de la French Tech de Toulouse, le fondateur d’Ekito (un accélérateur de startup de la ville rose) annonce, ce mardi 29 mai, vouloir créer sa propre entreprise. 

« Après avoir appris au travers d’ekito, durant 12 années d’aventures passionnantes, de centaines de projets, et avoir partagé leurs quêtes, leurs réussites ou leurs échecs (..) Le moment est venu pour moi de mettre à profit ces belles expériences, pour un nouveau projet, différent et de nouveaux défis, d’utiliser tout ce que j’ai appris » déclare-t-il dans un message publié sur sa page Medium.

Création d’une nouvelle start-up toulousaine : « Relief »

Cela fait plusieurs mois que Benjamin Böhle-Roitelet prépare sa sortie.

« Depuis maintenant presque un an, après avoir beaucoup voyagé, m’être ressourcé proche de l’océan, je travaille entouré d’une nouvelle équipe, sur le projet de construction d’une startup de l’IA ambitieuse (..). Ce sera Relief » poursuit-il.

Pour le moment, il ne souhaite pas dévoilé les services de sa start-up. « Mais elle est basée à Toulouse et compte 6 collaborateurs » me confie-t-il.

En attendant, Benjamin Böhle-Roitelet finalise la reprise de son accélérateur ekito par les salariés qui la composent. 

« ekito est quant à lui, avant tout un projet humain un peu fou dont l’objet est celui de faire que de beaux projets se réalisent (..). Depuis quelques mois nous travaillons donc aussi à un projet de transmission de la structure ekito aux salariés qui la composent, ce qui pour moi aurait par essence le plus de sen » espère-t-il.

Né en 2005, ekito est le premier accélérateur privé de jeunes pousses innovantes à Toulouse. En 12 ans d’existence, la structure a accompagné et conseillé de nombreuses startup dont Nowave, Demooz, Telegrafik, Blablacar ou Qwant.

>>> Pour lire en intégralité le message de Benjamin Böhle-Roitelet : cliquez ici

Julien Leroy

25 Mai

Spectacle de magie augmentée au festival des arts numériques de Saint-Orens

Moulla est le précurseur de la magie augmentée. Il mêle numéro traditionnel et réalité virtuelle. L’illusionniste parisien était de passage ce jeudi 24 mai, au festival des arts numériques de Saint-Orens. 

© Moulla

La 2e édition du festival des arts numériques de Saint-Orens près de Toulouse, s’est ouvert ce jeudi 24 mai pour 3 jours de démonstration. 

A cette occasion, les organisateurs ont invité le magicien Moulla (de son vrai nom Moulla Diabi)

Cet illusionniste parisien précurseur est un spécialiste de la magie augmentée. Cela consiste à mélanger magie et nouvelles technologies. Et le résultant est tout simplement bluffant. Il est ainsi capable de rendre réel un parapluie affichée sur un écran.

C’est la première fois que son spectacle « Miracles » était joué dans la région toulousaine. 

Une équipe de France 3 Toulouse (Yann D’Amontloir et Eric Foissac) l’a rencontré : 

>> Plus de vidéos sur ce magicien 2.0 sur sa chaine YouTube : cliquez ici

Julien Leroy

L’IoT Valley de Labège ouvre (aujourd’hui) ses portes au grand public

A Labège, près de Toulouse, la pépinière d’entreprise spécialisée dans l’internet des objets organise, ce vendredi 25 mai, une journée porte ouverte. L’occasion de découvrir les coulisses des 40 start-up hébergés par l’IoT Valley dont Sigfox.

© IOT Valley

Journée porte ouverte ce vendredi 25 mai à l’IoT Valley de Labège, près de Toulouse. Une opération de séduction organisée dans le cadre du « Joli mois de l’Europe en Occitanie ».

Le grand public et les passionnés du numérique sont invités à découvrir les locaux de cette pépinière d’entreprise spécialisée dans l’internet des objets (IoT)

Créée en 2011, le site compte aujourd’hui 40 startup et plus de 600 collaborateurs travaillant sur le marché prometteur des objets connectés : compteurs électriques connectés, solution de surveillance des piscines, contrôle du braconnage des rhinocéros, parkings connectés,..

Certaines entreprises connaissent déjà un succès international comme Sifgfox, Intesens, Axible Technologies ou Connit.

Durant cette journée, les visiteurs pourront également rencontrer et échanger avec les entrepreneurs, assister à des démonstrations et visiter le FabLab interne.

>> Plus d’info sur la page Facebook de l’événement : cliquez ici

Julien Leroy

22 Mai

L’application toulousaine Liberty Rider (qui sauve la vie des motards) débarque en Europe

Exclusif. La start-up toulousaine propose de sécuriser les virées sur les routes européennes des motards français. Liberty Rider est ainsi accessible dans 9 pays.

© Maxppp

Basée à Toulouse, la start-up Liberty Rider attaque, désormais, le marché international.

Deux ans après son lancement, l’application d’appel d’urgence pour les deux-roues, est disponible dans 9 pays d’Europe.

« Les motards et scootéristes français roulant avec Liberty Rider seront couverts dans les pays suivants : France (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion et Mayotte inclus), Portugal, Espagne, Italie, Autriche, Allemagne, Luxembourg, Belgique et Pays-Bas » liste l’équipe toulousaine.

Un déploiement rendu possible grâce à un partenariat avec Inter Mutuelles Assistance (IMA), leader européen dans le traitement de l’appel d’urgence et de l’eCall. Le service est ouvert depuis ce 16 mai 2018.

Application moto unique en France

Liberty Rider est une application pour smartphone, capable « de détecter les accidents à moto afin de pouvoir alerter les secours au plus vite quand le motard accidenté n’est pas en mesure de le faire » résume Emmanuel Petit, cofondateur. 

Unique en France, l’innovation toulousaine se décline également sous forme de gant connecté qui possède les mêmes fonctionnalités.  

En 24 mois, la jeune pousse a séduit la communauté des motards et les organisations de la sécurité routière. Elle revendique 200.000 utilisateurs, plus de 250 accidents traités et « 10 vies sauvées » précise l’équipe, hébergée chez AT Home à Toulouse.

>>> Plus d’info sur www.liberty-rider.com

Julien Leroy

21 Mai

Des Toulousains lancent un label (européen) contre l’obsolescence programmée

LONGTIME veut devenir le premier label européen permettant aux consommateurs d’identifier avec certitude les produits conçus pour durer. Un projet lancé par deux citoyens toulousains qui viennent de créer leur startup sociale Ethikis.

© Lionel VADAM / MaxPPP

Lutter contre l’obsolescence programmée des produits de consommation via un label. C’est l’objectif du projet de deux citoyens toulousains : Elsa Lomont et Florent Preguesuelo.

Après 2 ans de travail et de consultations, ils s’apprêtent à lancer le label « LONGTIME » qui permettra aux consommateurs d’identifier avec certitude les produits conçus pour durer.

« Notre cahier des charges comporte 40 critères de bons sens » précise Elsa Lomont. Cela va de la fiabilité des technologies à l’extension de la garantie légale en passant par la disponibilité des pièces détachées à long terme ou la possibilité de réparer l’appareil. 

L’objectif est de répondre aux préoccupations économiques et écologiques des consommateurs face à l’obsolescence programmée. « L’avantage est double, il guide les consommateurs vers des produits fiables et permet aux fabricants de valoriser la qualité de leurs produits » explique la conceptrice.

Le projet toulousain vise surtout les appareils électroménagers et électroniques : « de la trottinette électrique à la perceuse, en passant par la machine à café ou le smartphone » listent les porteurs.

Lancement en octobre 2018

Aujourd’hui, Elsa Lomont et Florent Preguesuelo sont en phase d’expérimentation. « Nous recherchons actuellement des entreprises pilotes pour tester le label sur 3 ou 4 produits » avant un lancement officiel en octobre 2018.

Parallèlement, les deux entrepreneurs indépendants sont en train de réaliser une levée de fonds et finaliser ainsi la création de leur startup sociale « Ethikis ».

Le Gouvernement veut également lutter contre le gaspillage

En févier dernier, le Gouvernement français annoncé un « indice de durée de vie » pour l’électroménager et le matériel de bricolage. Cet estampillage répondrait à 10 critères.

Depuis juillet  2015, la loi sur la transition énergétique, interdit également à une entreprise de programmer délibérément la durée de vie d’un appareil pour en augmenter le taux de remplacement. 

Le label toulousain comporte 40 critères – Elsa Lomont – co-fondatrice de LongTime

Le label toulousain « LONGTIME » veut aller plus loin en imposant davantage de critères et s’étendre à tous les pays européen.

« On s’adresse à l’ensemble des fabricants européens qui souhaitent volontairement soumettre un produit au référentiel du label et s’ancrer dans le développement durable » explique Elsa Lomont

En attendant, le projet espère une distinction au concours national « Mon projet pour la planète ». Il s’agit d’un appel aux initiatives citoyennes, conduit par le ministère de la Transition écologique, l’Ademe et l’Agence Française pour la Biodiversité. Les lauréats seront connus début juin.

L’obsolescence programmée est un concept né durant la crise économique de 1930. Un promoteur immobilier américain, Bernard London, a l’idée de parler « d’obsolescence imposée » pour stimuler l’industrie et la croissance. 

>>> Plus d’info sur ce label : longtimelabel.com

Julien Leroy

19 Mai

Ne plus (jamais) perdre ses affaires avec l’étiquette connectée de la startup Solukey

La startup toulousaine Solukey dévoile une application dédiée aux objets perdus. Le système collaboratif met en relation le propriétaire avec la personne qui retrouve l’affaire.

© Solukey

Chaque année, 12 millions d’objets sont perdus sur le territoire Français. « Pourtant, 93% des particuliers ayant trouvé des objets souhaitent les remettre à leur propriétaire » assure Julien Lacour, le fondateur de Solukey.

C’est sur ce constat que ce jeune toulousain a créé l’application Solukey.

Une fois téléchargée sur son smartphone, il suffit de d’éditer (gratuitement) une étiquette avec un code et la coller sur les clés, un ordinateur ou un passeport.

En cas de perte, la personne qui retrouve votre bien, se met en relation en saisissant simplement l’identifiant dans l’application.

« La personne qui trouve votre objet peut ainsi vous alerter n’importe où dans le monde en un simple clic sur le site internet ou via l’application. Vous recevez instantanément une notification vous indiquant les coordonnées de la personne ou du service à contacter. Vos coordonnées restent bien sûr confidentielles » précise le concepteur

Il existe évidemment de nombreux applications similaires mais ce système collaboratif veut « créer une vraie communauté d’entraide et ainsi devenir l’application de référence pour les objets perdus » espère Julien Lacour.

Né après un travail dans un service des objets trouvés

L’entrepreneur a eu l’idée de cette étiquette connectée lors d’un travail dans un service des objets trouvés d’une collectivité.

« Je ne cessais d’enregistrer les déclarations de pertes et objets restitués par un grand nombre de personnes bienveillantes. Malgré cette solidarité (..) la probabilité de rendre tous ces précieux objets aux propriétaires malchanceux était quasi-nulle par manque d’informations » raconte Julien Lacour.

Reste à trouver un modèle économique. Julien Lacour est en train de la finaliser. Son projet est de proposer des offres aux entreprises pour gérer leur parc de matériel ou pour éviter la perte des affaires de leurs clients.

Basée à Plaisance-du-Touch, près de Toulouse, le concepteur cherche également un accélérateur de startup.

>>> Plus d’info sur www.solukey.fr

Julien Leroy

18 Mai

Aviitam, un carnet de santé connecté pour lutter contre l’obésité (mais aussi le diabète et les troubles de sommeil)

Deux médecins de Montpellier ont créé le premier carnet de santé connecté dédié au diabète, à l’obésité, au cholestérol et aux troubles du sommeil. Ce compagnon de route veut guider les patients vers un mode de vie plus équilibré. Une nouvelle version est disponible ce vendredi 18 mai à l’occasion de la journée européenne de l’obésité.

© MAXPPP / CORTIER CLAUDE

Aider les personnes atteintes de maladies chroniques liées au mode de vie – diabète, obésité, cholestérol et troubles du sommeil. C’est l’objectif du carnet de santé « Aviitam » créé par deux médecins du CHU de Montpellier, Pr. Antoine Avignon et le Dr. Vincent Attalin.

Cette plateforme en ligne veut surtout « guider les patients vers un mode de vie plus équilibré » précisent les fondateurs. Une approche pour « changer de comportement plutôt que prendre des médicaments« .

« En se connectant à son espace personnel, chaque personne va pouvoir enregistrer toutes les données qui concernent sa santé pour aider son médecin à mieux l’accompagner, prendre conscience des liens entre ses comportements et sa santé et préparer ses consultations en amont » explique le duo.

En saisissant toutes ses données, le patient le partage avec son médecin pour améliorer sa prise en charge.

« Le médecin peut avoir accès à l’ensemble de ses informations en un clic. Il a également accès à des questionnaires scientifiquement validés permettant une évaluation globale de la santé des patients et à des journaux interactifs pour suivre leur mode de vie » raconte Antoine Avignon.

1300 médecins utilisent ce carnet de santé

Plus de 1300 médecins et autant de malades en France testent actuellement la première version d’Aviitam.

La nouvelle version est lancée ce vendredi 18 mai à l’occasion de la journée européenne de l’obésité. Le marché est colossale car 50% de la population française de plus de 30 ans est en surcharge pondérale (surpoids et obésité), selon une statistique 2016 de l’Inserm.

Reste à trouver un modèle économique. Pour le moment, l’application est totalement gratuite pour l’ensemble des utilisateurs. Antoine Avignon et Vincent Attalin réfléchissent à des offres payantes proposant des programmes supplémentaires et des formations en e-learning. En attendant, Aviitam est soutenu par le conseil régional et des subventions de la recherche publique.

Plus d’info sur www.aviitam.com

Julien Leroy

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