17 Juil

Des Toulousains lancent « Sweepers », le Airbnb des services de ménage

Proposer à un particulier ses talents de ménage, c’est le concept de Sweepers. Cela permet à la fois de trouver facilement une aide-ménagère et d’arrondir les fins de mois. Créée par deux Toulousains, la start-up veut s’implanter partout en France.

© Julio Pelaez / MaxPPP

« Sweepers permet la mise en relation entre particuliers pour des services ménagers » résume en quelques mots Julien Barros, l’un des deux fondateurs.

Lancée fin janvier 2018, la plateforme collaborative veut ainsi faciliter la vie de ceux qui cherchent une aide-ménagère et offrir un complément de revenus à des étudiants.

« Les personnes désireuses d’effectuer des services ménagers ont la possibilité de proposer leurs services là ou ils le souhaitent grâce à notre service de géolocalisation, tout en restant maître de leur emploi du temps ainsi que de leur rémunération » explique Julien Barros. « En effet, les prestataires fixent eux-mêmes leur prix horaire et leurs disponibilités« .

C’est au client lui-même d’effectuer ensuite une recherche sur Sweepers pour trouver la perle qui nettoiera son foyer. « L’objectif est de trouver quelqu’un en quelque clics » précise le cofondateur.

Sweepers se différencie des agences d’aide à domicile par son fonctionnement collaborative et par ses tarifs. Le client ne paye aucune charge sociale sur la prestation. Et la commission de la start-up (environ 2 € par heure) reste minime. Résultat : les rémunérations proposées sont très avantageux par rapport au secteur. Par contre, comme tout service collaborative, rien ne garanti la qualité de la prestation. Tout repose sur la confiance entre les deux parties.

« Aujourd’hui, nous avons constaté que la majeure partie de nos clients n’avaient auparavant pas recourt à des prestataires de services ménager » se félicite Julien Barros.

Implantée à Toulouse et Lyon depuis 4 mois, la jeune pousse revendique 3000 utilisateurs inscrits, plus de 100 particuliers prêts à nettoyer (essentiellement des étudiants) et une centaine de prestation réalisée.

« Notre modèle économique repose sur le besoin d’un gros volume de prestation » détaille Julien Barros. C’est pourquoi, Sweepers cherche à se développer rapidement dans les grandes villes Françaises. Le service sera prochainement déployé à Bordeaux et Paris.

L’idée de ce Airbnb du nettoyage a été imaginé par deux Toulousains de 27 ans : Julien Barros et Sébastien Rioufoul. Le premier est étudiant en médecine dentaire et le second vient de terminer une école de commerce. A la rentrée de septembre, ils intégreront un accélérateur de start-up sur Paris.

>>> Pour en savoir plus ou pour le tester : www.sweepers-app.com

Julien Leroy

12 Juil

Mondial 2018 : les pompiers demandent aux Toulousains d’éviter les problèmes…le jour de la finale

© Alexandre MARCHI / MaxPPP

Ce dimanche 15 juillet à 17h00, la France disputera la finale de la coupe du monde de football, contre la Croatie.

Un match historique qui va attirer des milliers d’Occitans devant leur poste de télévision ou devant les écrans géants installés à Toulouse, Albi ou Cahors.

Un engouement populaire qui a incité les pompiers de Haute-Garonne à demander aux Toulousains d’éviter les… problèmes entre 17h00 et 19h00 !

Dans un post publié ce mercredi 11 juillet sur Facebook, le SDIS 31 appel ainsi les Toulousains à la prudence ! Une belle manière de sensibiliser avec humour.

Mais les professionnels du feu veulent rassurer. Ils seront prêts à intervenir en cas d’urgence : « Fans des bleus ou pas, nous sommes là pour vous porter secours et même pendant les jours de match » précisent-ils.

Les pompiers de Toulouse savent communiquer sur les réseaux sociaux en faisant régulièrement le buzz. Il y a quelques jours, ils avaient posté une vidéo sexy pour annoncer leur bal du 14 juillet.

Julien Leroy

11 Juil

Les fondateurs de Sigfox intègrent (pour la première fois) le TOP 500 des fortunes de France

Ludovic Le Moan et Christophe Fourtet, les fondateurs de Sigfox en septembre 2017 © Sigfox

Les fondateurs de la start-up Sigfox, Ludovic Le Moan et Christophe Fourtet, intègrent pour la première fois, le club des 500 premières fortunes de France.

Depuis 23 ans, le magazine économique Challenges établit le classement des plus grandes fortunes professionnelles de France.

Dans le palmarès 2018, les concepteurs toulousains du premier réseau mondial d’objets connectés se classent à la 341e place, avec 250 millions d’euros. Il s’agit également de la 8e fortune d’Occitanie

Une situation qui s’explique en grande partie, par la santé éclatante de Sigfox. Depuis 2011, la start-up basée à Labège près de Toulouse, multiplie des levées de fonds et les contrats. Fin 2017, l’entreprise affichait un chiffre d’affaire record de 50 millions, soit un hausse de 56% par rapport à 2016. Un succès qui attise également les convoitises. Ludovic Le Moan annoncé, en février 2018, avoir refusé une offre d’achat d’un milliard d’euro.

Inédit depuis 13 ans pour l’écosystème numérique toulousain

Ce classement est historique pour l’écosystème numérique de Toulouse.

En effet, c’est seulement la deuxième fois qu’un entrepreneur toulousain du secteur des TIC accumule une telle fortune.

Il faut remonter à 2005 pour retrouver Patrick Abadie, fondateur toulousain de 123 Multimédia. Lors du rachat de sa société de contenus multimédias par les Japonais, il s’était classé à la 259e place avec une fortune de 97 millions d’euros.

Julien Leroy

06 Juil

« Louer une piscine », le Airbnb (toulousain) des piscines

Avec l’été, c’est le grand retour de la location de piscines entre particuliers. Plusieurs plateformes se lancent sur ce créneau dont « LouerUnePiscine » née à Toulouse.

© Louer Une Piscine

« Un plouf en 3 clics ». C’est le concept des locations de piscines entre particuliers. Après le succès de l’été 2017, la tendance fait son grand retour avec la saison estivale.

Comme sur Airbnb, les propriétaires de piscines et de spas proposent leur plan d’eau pour quelques heures. Un bon moyen pour les propriétaires de rencontrer du monde tout en réduisant le coût d’entretien du bassin.

Du côté des baigneurs, il suffit de réserver directement en ligne pour quelques dizaines d’euros pour se rafraîchir et profiter éventuellement d’un jardin privé.

« Une solution idéale pour ceux qui habitent loin de la mer, qui n’ont pas la chance de pouvoir partir en vacances et qui sont lassés des piscines municipales souvent bondées l’été » précise Laura Strelezki, co-fondatrice.

Succès de la plateforme toulousaine

Plusieurs plateformes françaises se sont lancées sur ce créneau dont « LouerUnePiscine » né à Toulouse à la fin de l’été dernier.

Cette année, la startup entame sa première saison estivale. Et « la demande est forte pour ce loisir rafraîchissant ! » assure son CEO, Arnaud Biehler.

En 3 semaines de fonctionnement, « LouerUnePiscine » revendique plus de 900 utilisateurs, 50 piscines et une centaine de réservations. Un beau démarrage malgré la concurrence de Swimmy, l’une des applications pionnières.

« Nous nous différencions par le prix avec des tarifs de groupe et non individuels » se défend Laura Strelezki. « LouerUnePiscine propose également un accompagnement personnalisé de nos clients et nous avons été les premiers à proposer une assurance avec notre partenaire Axa« .

Aujourd’hui, la jeune pousse toulousaine veut transformer l’essai. Le modèle économique repose sur le volume des transactions. « Nous prenons 20% sur la location » détaillent les fondateurs.

La France compte 1,6 millions de bassins privés. Et 1 français sur 4 rêve d’avoir une piscine selon un sondage de la Fédération des Professionnels de la Piscine et du spa (FPP).

>>> Reportage de Cécile Fréchinos (France 3 Toulouse) – juillet 2018 :

>>> A vos claviers et à vos maillots de bain : www.louerunepiscine.com

Julien Leroy

05 Juil

Toulouse va tester le réseau 5G

Avant un lancement commercial d’ici 2020, les tests « grandeur nature » de la 5G débutent dans plusieurs villes françaises dont Toulouse.

© Alexandre MARCHI / MaxPPP

Un réseau téléphonique en 5G. C’est pour bientôt. Le lancement commercial est initialement prévu pour 2020.

En attendant, les opérateurs téléphoniques historiques viennent de lancer les premiers tests « grandeur nature » dans 5 métropoles françaises dont Toulouse

Toulouse expérimente la 5G dès cet été

SFR a annoncé, ce mardi 3 juillet, que « Toulouse et Nantes sont les deux prochaines villes dans lesquelles SFR effectuera ses tests 5G et pour lesquelles elle vient de recevoir l’accord de l’ARCEP« .

Un expérimentation qui se déroulera « entre juillet 2018 et juillet 2019 » précise Guillaume Fauré directeur régional de SFR Sud-ouest.

Une bonne nouvelle pour la ville rose qui avait déjà été l’une des premières à tester la 4G en juin 2013.

Du côté de la mairie, on se félicite de ce choix. « Je suis ravi » me confie Bertrand Serp, adjoint au maire de Toulouse chargé du numérique et de l’innovation. « D’autant plus que Toulouse pas été sélectionné au début par l’ARCEP [Autorité de régulation des communications électroniques et des postes] » poursuit-il.

Une réunion entre les élus et SFR est prévue dans les prochaines semaines.

D’autres tests sont également en cours. Bouygues Telecom a choisi Bordeaux pour tester son réseau 5G. Et Orange a déjà déployé des antennes à Lille et Douai.

A quoi va servir la 5G ?

2G, 3G, 4G, 5G,… la future norme de téléphonie mobile doit permettre aux opérateurs d’offrir à la fois un débit plus important que celui offert par la 4G actuelle et un temps de latence.

« Avec des débits qui dépassent 1Gbit/s et une latence de l’ordre de la milliseconde, la 5G apporte la vitesse de la Fibre dans le mobile » estime SFR

La 5G doit être commercialisée dans le monde à partir de fin 2019 et début 2020. Elle permettra de répondre aux futurs besoins de connectivité, en particulier dans la voiture autonome, la santé connectée ou encore l’internet des objets.

Julien Leroy

02 Juil

Un prix national pour le youtubeur gersois qui fait témoigner les « fous »

Depuis près de deux ans, Clément Charron anime une chaîne YouTube sur la… psychiatrie.

Il met en scène des témoignages de personnes atteintes de maladies mentales ou victimes de harcèlement. L’objectif étant de casser les préjugés sur cette discipline médicale.

Des vidéos qui rencontrent un beau succès sur le web (plus de 300.000 vues) et parmi les professionnels du secteur qui l’utilisent comme support de formation.

Un travail également récompensé ce mercredi 27 juin à Paris. L’infirmier de 23 ans décroche le prix national OCIRP, dans la catégorie « coup de cœur du jury ».

Chaque année, le concours OCIRP valorise les actions innovantes au profit d’une meilleure intégration des personnes handicapées dans la société. 

Pour découvrir ce youbeur unique en France, vous pouvez relire notre portrait d’octobre 2017 et aller voir (ensuite) sa chaîne YouTube « Worl of Clarence »

Julien Leroy

29 Juin

Baby Hop, le « Airbnb » du matériel de bébé

Une maman de Toulouse, lance « Baby Hop », une plateforme collaborative qui permet de louer du matériel de puériculture, bébés et enfants, entre particuliers.

© France 3 Toulouse

Baby Hop est le « Airbnb » du matériel de bébé et d’enfants… entre particuliers.

La plateforme s’adresse d’une part aux parents qui partent en voyage avec leur bambin. Et d’autre part, aux familles qui stockent dans leur garage, la poussette, le lit parapluie ou le siège auto de leurs enfants devenus grands.

« Tu trouves tout sur ton lieu de voyage grâce à la plate-forme BabyHop, sur laquelle des particuliers mettent en location leurs articles » explique sa fondatrice Karina Silva.

L’objectif est de rendre les voyages plus légers et d’arrondir les fins de mois en louant son matériel.

« En France, les jeunes parents dépensent en moyenne 1500€ pour l’arrivée de bébé et possèdent 16 articles de puériculture (..) BabyHop propose de consommer autrement ce matériel » complète la jeune entrepreneuse.

La conceptrice espère ainsi contribuer à la protection de l’environnement en évitant la surproduction d’articles.

Il existe évidemment des services similaires en France mais Baby Hop est le seul en Occitanie.

Lancé en avril 2018, la plateforme collaborative compte déjà plus de 1000 inscrits en l’espace de 2 mois. L’inscription est totalement gratuite et la plateforme se rémunère sur les transactions.

L’idée de Baby Hop a été imaginée par Karina Silva. Originaire du Mexique, cette maman de 2 enfants a beaucoup voyagé avant de poser ses valises dans la ville rose.

Sa start-up vient d’intégrer l’accélérateur de start-up « Momentum » dédié à l’économie positive.

>>> Reportage de Julie Valin (France 3 Toulouse) – Juin 2018 :


>>> Pour tester Baby Hop : babyhop.co

Julien Leroy

28 Juin

IoT : la startup toulousaine ffly4u boucle une levée de fonds de 1,2 million d’euros

© ffly4u

Les starts-up de Toulouse multiplient les levées de fonds cette semaine. Après EyeLights, c’est au tour de la jeune pousse ffly4u d’annoncer, ce jeudi 28 juin, un tour de table de 1,2 million d’euros.

Une augmentation de capital souscrite auprès d’IRDInov de la Bpi France, d’ALSO (Business Angel) et de la plateforme de financement participatif WiSEED.

Cette deuxième levée de fonds va permettre à la startup toulousaine de développer ses applications et poursuivre son déploiement en Europe.

Installé à la pépinière de Montaudran, ffly4u est le spécialiste français dans le suivi des marchandises et des produits (les actifs industriels).

Concrètement, la jeune pousse est capable de suivre un bien entre le fournisseur et son client, grâce à des boîtiers connectés et intelligents. Ces derniers permettent ainsi de géolocaliser une marchandise, d’informer sur la température d’un produit pharmaceutique ou de signaler lorsque le rouleau de câble sera bientôt terminé. Le réseau fonctionne via Sigfox.

« Les marchandises sont silencieuses. Nous leur donnons la voix » résume en quelques mots Olivier Pages, le CEO de ffly4u. Plus de 3000 boîtiers ont été commercialisés en 2017.

Les services IoT de la société toulousaine se décline un peu partout. De la logistique à l’aéronautique en passant par le transport. Les groupes Nexans (fabrication de câble), Orange, Arteris,… adoptent déjà l’innovation toulousaine.

Des négociations sont également en cours avec Airbus ou ATR. En attendant, ffly4u prépare un nouveau tour de table pour la « mi-­septembre 2018«  promet Olivier Pages

Julien Leroy

26 Juin

Levée de fonds de 2,5 millions d’euros pour la start-up toulousaine EyeLights et son casque de moto connecté

© EyeLights

A Toulouse, la startup EyeLights et son casque de moto connecté, annoncent ce mardi 26 juin, une levée de fonds de 2,5 millions d’euros. 

Un tour de table bouclé avec Breega Capital et le fonds Ambition Amorçage Angels (F3A) géré par Bpifrance.

La pépite toulousaine va pourvoir ainsi attaquer le marché européen. Par ailleurs, elle compte passer de 12 à 20 salariés d’ici à la fin de l’année.

EyeLights veut révolutionner la conduite des motards grâce à son casque connecté avec GPS intégré

Situé sur l’angle droit du casque, le petit écran est à peine visible. Vitesse, guidage GPS, état du trafic, les données sont retranscrites directement dans le champ de vision du motard. Le système est semblable au casque des pilotes d’avions de chasse.

Le dispositif a déjà séduit 1000 clients.

>> Reportage de France 3 Toulouse – Mai 2018

Julien Leroy

 

25 Juin

Start-up : At Home cherche des (grands) locaux pour construire son nouveau siège social

Exclusif. L’une des plus grandes communautés de startups toulousaines veut construire un nouveau siège social dans le centre-ville pour rassembler ses 250 collaborateurs. Le projet de s’installer dans l’immeuble Croix-Baragnon n’a pas pu se concrétiser. At home cherche d’urgence un bâtiment de 3000 m².

© At Home

At Home souhaite construire un nouveau siège social. 

Pour le moment, l’accélérateur accueille une trentaine de startup et 250 personnes sur 3 sites toulousains : les bureaux historiques prés d’Esquirol, le local public rue Marchand et la dernière collocation située rue du Languedoc en face du marché des Carmes. 

At home cherche ainsi un bâtiment entre 2000 et 4000 m² « pouvant rassembler tous ses membres au centre de Toulouse » précise  Arnaud Thersiquel, CEO d’At Home

Le concept est d’offrir « ainsi à la ville, un ensemble iconique constitué de plus de 300 places en bureaux partagés, d’un espace de conférence ouvert au public, de 8 chambres à disposition des entrepreneurs (coliving), et d’un espace restauration-bar ouvert aux citoyens (colunching) » détaille son responsable.

L’autre objectif est d’assurer la croissance de la structure. En 3 ans d’existence, la structure est passé de 5 à 40 sociétés hébergées. 

La piste (perdue) de la rue Croix-Baragnon

« Après de nombreux échanges avec les services de la ville de Toulouse, At Home a vu dans l’immeuble du 24 rue Croix-Baragnon un bien correspondant absolument à ses
besoins immobiliers urgents » raconte Arnaud Thersiquel.

En effet, la marie a décidé de revendre le centre culturel Croix-Baragnon et ses 2450 m². En mars 2018, 18 repreneurs dont At Home, présentent une offre de rachat pour convertir ce lieux emblématique de la culture toulousaine.

Mais voilà, le projet d’At home n’est pas retenu parmi les 3 finalistes. L’achat final est remporté par le groupe Carle qui déboursera 7,3 millions d’euros pour sa « Maison de l’architecture » (Cf. la délibération du conseil municipal du 15 juin 2018).

Une décision amère pour Arnaud Thersiquel : « une politique de risque mesuré semble être clairement appliquée par les décideurs locaux au détriment de l’emploi, de l’innovation et de la créativité des jeunes entreprises« .

« Aujourd’hui, At Home est confronté à un plafond de verre dans son développement immobilier et cela pose pas mal de questions comme la place de la scène toulousaine au niveau national, la croissance de futures pépites dans notre ville,… » poursuit-il.

Une prochaine réunion avec la mairie

Arnaud Thersiquel espère désormais un geste de la mairie. « Une réunion a d’ailleurs été proposée en urgence par Jean-Luc Moudenc afin de rassembler tous les moyens à disposition autour de la jeune communauté » assure-t-il. La rencontre est prévu pour début juillet « et doit déboucher sur la prospection de lieux propices à ses besoins« .

Ouvert depuis juin 2015, At Home a été créé pour accueillir des start-up dans le domaine du numérique et de l’innovation. L’idée est de permettre aux jeunes entrepreneurs « d’externaliser l’immobilier » rappelle Arnaud Thersiquel, responsable d’At Home. La structure propose également un accompagnement pour développer son activité.

Avec des bureaux à Toulouse et Paris, la structure accueille au total 40 entreprises dont Liberty Rider, Noova, Yestudent, SchoolMouv, Catspad et Demooz. 

Julien Leroy

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