24 Juin

Environnement : Deux Toulousains entament un tour du monde des CleanTech

24Promouvoir les innovations technologiques qui utilisent et protègent les ressources naturelles. C’est le pari de deux Toulousains, Camille Rigaud et Loïc Bordes, qui entament un tour du monde des CleanTech. Départ le 8 juillet.

© Hit the Innovation

Marier l’innovation et l’environnement, c’est le concept des startups CleanTech. Elles développent des projets et des services qui contribuent à la protection et à la conservation des ressources naturelles de la terre. 

Des projets verts encore méconnus du grand public malgré un fort développement dans la plupart des pays.

C’est pourquoi deux Toulousains, Camille Rigaud et Loïc Bordes, entament un tour du monde des CleanTech. 

« Une année à la rencontre d’entrepreneurs en Asie du Sud, Nouvelle Zélande et Amérique Latine. Nous souhaitons rencontrer des entrepreneurs qui utilisent et préservent un ou plusieurs des 4 éléments, à savoir l’eau, l’air, la terre et le feu » explique le duo de globe-trotteur.

L’objectif est « de promouvoir ces projets et créer un réseau international d’entrepreneurs des CleanTech » poursuivent-ils.

Un blog pour suivre ces deux professionnels de l’IoT Valley de Labège

Les Toulousains partageront leurs découvertes via leur blog « Hit the Innovation ». Ils promettent « des portraits d’entrepreneurs et des articles sur les spécificités du secteur CleanTech dans les pays traversés« .

Camille Rigaud est une professionnelle de la communication. Elle a notamment travaillé comme responsable marketing de la start-up Intesens basée à l’IoT Valley de Labège. Quant à Loïc Bordes, il travaille chez Sigfox comme Ingénieur développement hardware.

« Nous avons voulu combiner notre passion pour l’innovation et l’environnement avec l’envie de faire un voyage autour du monde » précise Camille Rigaud.

Leur aventure débutera le 8 juillet prochain avec une première étape à Jakarta en Indonésie. Puis, le duo se rendra au Vietnamn et en Nouvelle-Zélande.

Julien Leroy

23 Juin

Les pompiers de Toulouse se déshabillent et font le buzz sur Facebook

A Toulouse, les pompiers enlèvent (souvent) le haut pour promouvoir leur événement. Les soldats du feu de la caserne de Lougnon viennent de publier une vidéo très sexy pour attirer le public au bal du 13 juillet. Buzz assuré.

© Capture écran du teaser des Sapeurs Pompiers Toulouse Lougnon

Les pompiers de Toulouse aiment faire tomber le haut pour la bonne cause ou pour le plaisir des yeux…

Afin de promouvoir le traditionnel bal des sapeurs-pompiers de la fête nationale, la caserne de Lougnon vient de publier un teaser 100% sexy. 

On voit les soldats du feu torse nu, en train de se préparer ou d’effectuer leur entraînement sur les barres de traction.

Postée le 17 juin dernier, la vidéo a été visionnée plus de 20.000 en l’espace d’une semaine. Reste à voir si cela attire le public. Réponse le 13 juillet sur les Allées Paul Sabatier.

En janvier 2018, les pompiers de Vion s’était également déshabillés pour un calendrier au profit des enfants hospitalisés. Et en 2017, ils avaient fait le buzz avec un strip tease lors du bal du 14 juillet. 

>> Teaser sexy des pompiers de Toulouse pour le bal du 13 juillet 2018 : 

Albi a (désormais) son salon geek

Après Toulouse, Tarbes, Muret ou Onet-le-Château,… Albi accueille sa convention geek. La première édition du Albi Geek Celebration se déroule ce samedi 23 et dimanche 24 juin au parc des expositions. 3000 personnes sont attendues.

© Tim Somerset /Maxppp

Voici un nouveau rendez-vous pour les passionnés de la culture geek de Midi-Pyrénées.

La capitale du Tarn organise, ce samedi 23 et dimanche 24 juin, la première édition de l’Albi Geek Celebration.

Au programme : compétitions de jeux vidéo, conférences de youtubeurs, comédiens et artistes, concours de cosplay et une trentaine d’exposants.

Du côté des invités, les visiteurs pourront rencontrer notamment Philippe Ariotti (l’une des voix françaises des Dragon Ball Z), Françoise Cadol (qui double Lara Croft de Tom Raider) et les youtubeurs Frigiel, Franck et Hugo du Tatou.

Ce salon est organisé par Albi Expo et l’Association Joystick. Cette dernière organise déjà le Tarbes Geek Festival. Elle espère ainsi que cette nouvelle édition tarnaise rencontre le même succès. 3000 personnes sont attendus au parc des expositions d’Albi. 

Notons que le département du Tarn est désormais bien doté de festivals sur la culture geek avec les conventions de Mazamet et Castres.

>>> Plus d’info sur albigeekcelebration.com

Julien Leroy

22 Juin

Insolite : Quand une start-up toulousaine propose d’aider Emmanuel Macron à entretenir sa (future) piscine de Brégançon

Belle opération de communication pour la startup toulousaine « Flipr ». Ce 21 juin sur Twitter, la jeune pousse a proposé ses services au président de la république pour sa future piscine du Fort de Brégançon. En pleine polémique sur le projet, le tweet fait le buzz.

© Flipr

Utiliser l’actualité pour faire parler de soi. Un principe de base dans un plan de communication. La startup « Flipr », basée à l’IoT Valley de Labège près de Toulouse, vient de l’appliquer à la lettre.

Dans un tweet posté ce jeudi 21 juin, la jeune pousse propose d’aider Emmanuel Macron à entretenir sa future piscine du Fort de Brégançon.

En effet, Flipr a développé un objet connecté pour les piscines. En forme de dauphin, l’appareil analyse en permanence différents paramètres, comme le PH, la température et le chlore de l’eau. Toutes les données et les recommandations d’entretien s’affichent alors sur le smartphone du propriétaire.


Une innovation d’Occitanie qui pourrait être (très) utile au président de la république.

Le couple présidentielle souhaite construire une piscine hors sol dans le fort de Bregançon dans le Var. Il s’agit du lieu de villégiature des chefs de l’État. Mais le projet fait polémique sur les réseaux sociaux et au sein de la classe politique. 

C’est pourquoi le tweet insolite de la startup toulousain fait le buzz. En attendant, une éventuelle réponse du président de la République…

Julien Leroy

 

20 Juin

Lou Ravelli, de YouTube au festival de Cannes

A seulement 20 ans, l’Aveyronnaise Lou Ravelli est youtubeuse, musicienne, globe-trotteuse et actrice. Son premier rôle au cinéma l’a amené à monter les marches rouges du dernier festival de Cannes.

© ESFIR KHAN

De YouTube au festival de Cannes… c’est le parcours atypique de l’Aveyronnaise Lou Ravelli

A seulement 20 ans, la jeune ruthénoise vient de fouler le tapis rouge du célèbre festival de cinéma, pour son rôle (secondaire) dans « Sauvage ».

Réalisé par Camille Vidal-Naquet, ce long-métrage raconte un homosexuel qui se prostitue tout en cherchant à vivre un grand amour. Le film a été recomposé par le prix Fondation Louis Roederer lors de la semaine de la critique.

« Une de mes premières vidéos sur YouTube parlait de mon rêve de faire du cinéma et de ma passion sur cet art, elle date de 2015, et à cette époque jamais je n’aurais pensé être ici aujourd’hui » raconte Lou Ravelli.

« Pouvoir vivre de l’intérieur ce festival était une joie immense (..). D’ici quelques semaines, c’est une vidéo tournée là bas qui sortira sur ma chaîne, pour faire partager cette journée fantastique avec mes abonnés » poursuit-elle

Une youtubeuse au parcours atypique

Avant d’épouser une carrière d’actrice, l’Aveyronnaise est une youtubeuse à succès.

Sa chaîne « Esfir Khan » (ex-Swan Neptune) revendique « 3,5 millions de vues et plus de 37.000 fans« .

Elle y partage sa passion pour la musique, les voyages et (évidemment) le cinéma. « Ma chaîne YouTube c’est surtout un fourre-tout. J’y met tout ce qui se trouve dans ma tête » précise-t-elle

La jeune femme aborde également, sans tabou, des sujets « auxquels sont confrontés les adolescents et par lesquels je suis passée (comme la phobie scolaire, le deuil) et  des sujets de société (comme le harcèlement de rue, l’homophobie)« .

Une chaîne originale à l’image de la Ruthénoise. Lou Ravelli est une jeune artiste touche-à-tout au look singulier. Musicienne, globe-trotteuse, actrice,… son expérience impressionne.

« J’ai toujours été considérée comme la fille différente, depuis l’école primaire. Celle qu’on regarde de travers à cause de son mode de vie jugé anormal. Parler de tout ça devant une caméra, ça brise le tabou qu’il y a autour de toutes les personnes qui sortent d’un parcours de vie classique. Ce qui m’a un jour beaucoup fait souffrir (..) c’est devenu la chose qui fait que mes vidéos marchent ! » estime-t-elle

Un livre sur autisme en cours d’écriture

Lou Ravelli espère aujourd’hui décrocher de nouveaux rôles au cinéma.

En attendant, elle travaille sur un livre consacré à son handicap, l’autisme asperger.

« J’ai beaucoup parlé de ce sujet sur ma chaîne YouTube (..) pour lever tout les préjugés qui entourent l’autisme, et faire connaître un peu plus ce trouble. Ces vidéos ont connu un vif intérêt de la part de mes abonnés, et c’est d’ailleurs grâce à eux en partie que je peux écrire ce livre » explique la youtubeuse.

L’ouvrage sortira début 2019.

>> Plus d’info en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – Juin 2018  

>> Et pour découvrir tout le parcours de Lou Ravelli via sa chaîne YouTube 

Julien Leroy

19 Juin

Adopte ma tomate, un site de rencontre pour les… amoureux du jardinage

Née à Toulouse, la startup « Adopte ma tomate » veut être le Airbnb des jardins. La plateforme met en relation les propriétaires avec les mains vertes en manque d’espace.

© Adopte ma tomate

Adopte ma tomate est un site de rencontre pour les… amoureux du jardinage.

Née à Toulouse en novembre 2017, la plateforme met en relation les propriétaires de jardins avec les mains vertes en manque d’espace.

« Adopte ma tomate facilite le co-jardinage urbain par la mise en relation entre les propriétaires de jardins qui n’ont pas le temps ou ne peuvent plus s’en occuper et les personnes qui souhaitent jardiner mais n’ont pas de jardin » explique Octavia Ivan, la fondatrice. 

Ainsi, les jardiniers amateurs peuvent trouver un carré de terre près de chez eux, qu’il soit potager, fleuri ou fruitier. Des ateliers (payants) sont également proposés à la communauté.

Parallèlement, ce « Airbnb » des jardins veut « re-végétaliser la ville » espère sa conceptrice. Elle souhaite également « Favoriser la production locale, le lien social (..) Et surtout collaborer à la préservation du savoir-faire des gestes du jardinage« . 

7 mois après son lancement, Adopte ma tomate revendique 300 passionnés et une dizaine de jardins entretenue dans la ville rose.

Aujourd’hui, la jeune pousse lance une campagne de financement participatif pour développer son idée.

Elle aimerait également décliner le concept dans les entreprises. Des contacts sont d’ailleurs en cours. Ce modèle économique BtoB devrait permettre d’assurer l’avenir de la start-up. En attendant, la mise en relation des jardiniers amateurs se fait gratuitement. L’application est seulement payante pour les propriétaires.

Imaginé par une jeune roumaine

Adopte ma tomate a été imaginé par Octavia Ivan.

Arrivée sur la ville rose, la jeune roumaine de 35 ans cherchait à cultiver ses propres légumes.

« J’ai grandi à la campagne et je passais mes vacances d’été dans le jardin de mes parents. Une fois à Toulouse une question m’est venue : pourquoi ne pas jardiner chez un de mes voisins ? J’ai découvert que je n’étais pas la seule à me poser cette question et c’est comme ça qu’Adopte ma tomate est née explique l’entrepreneuse. 

L’idée s’est concrétisée en juin 2017 lors de la première édition de Wo’Mixcity. Ce hackathon, organisé par les Digital Girls, veut favoriser la mixité dans le secteur de l’innovation. Adopte ma tomate a décroché la seconde place avant d’intégrer l’accélérateur toulousain Momentum. Le projet continue de pousser. 

>>> Plus d’info sur www.adoptematomate.com

Julien Leroy

17 Juin

Toulouse accueille (une nouvelle fois) un sommet national de startup

Après Futurapolis, Emtech, la Mêlée numérique ou Innovation Day, Toulouse accueille ce lundi 18 juin, le sommet des start-up. Un rendez-vous organisé par les magazines Challenges et Sciences et Avenir. Le secrétaire d’État chargé du numérique, Mounir Mahjoubi, clôturera la journée.

© Challenges

Toulouse est l’une des capitales françaises du numérique. Après Futurapolis, Emtech, la Mêlée numérique ou Innovation Day, le sommet des start-up se tient ce lundi 18 juin à l’hôtel de région.

« Pionnière de la French Tech, la région Occitanie vit au rythme de son écosystème foisonnant, porté par ses incubateurs de start-up et ses champions planétaires, comme Sigfox, acteur incontournable de l’Internet des objets » précise les organisateurs.

Ce nouveau rendez-vous toulousain est en réalité, l’édition régionale du colloque du même nom, organisé depuis 3 ans à Paris, par les magazines Challenges et Sciences et Avenir. 

Ce sommet des start-up, est l’occasion de « dresser les perspectives de l’économie numérique dans l’Hexagone » et de multiplier les passerelles entre grands groupes, jeunes pousses et investisseurs.

Organisée avec le soutien du conseil régional d’Occitanie, la journée rassemblera des acteurs du numérique local et des personnalités de l’innovation. Rachel Delacour (co-présidente de France Digitale), Ludovic Le Moan (fondateur de Sigfox), Bibop Gresta (co-fondateur du programme Hyperloop),… sont parmi les invités de marque.

Le colloque sera clôturé par un discours du secrétaire d’État chargé du numérique. C’est la deuxième visite de Mounir Mahjoubi à Toulouse en l’espace de 6 mois

Les médias du numérique aiment Toulouse

Ce rendez-vous ressemble à Futurapolis Toulouse ou à Emtech France (qui se tient dans la ville rose depuis 3 ans). Tous ces salons professionnels ont la particularité d’être organisés par des médias.

Futurapolis est une initiative du Point. Et Emtech France est l’événement du MIT Technology Review, le plus ancien magazine de technologie du monde publié par le célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Qui sera le prochain à venir dans la capitale d’Occitanie ? 

>> Plus d’info sur le sommet des startup de Toulouse 2018 : cliquez ici

Julien Leroy

15 Juin

Des week-ends de digital détox organisés par une startup de Toulouse

Comment déconnecter de son smartphone ou de ses e-mails durant quelques jours ? Les cures de diète numérique se multiplient en Occitanie. Exemple avec l’agence toulousaine Keywe.

© Keywe

Les notifications Facebook, les alertes info, les e-mails du bureau, les messages Twitter,… ne prennent jamais de congés. Alors, comment déconnecter de votre mobile le temps d’un week-end ou durant les vacances ?

Les cures de diète numérique se multiplient en Occitanie.

Keywe, l’agence du digital detox

Depuis 2 ans, l’agence de voyage toulousaine « Keywe » propose des week-ends sans téléphone, sans PC, sans wifi !

Le principe est simple : rassembler une douzaine de participants d’une même ville et les envoyer dans une villa privatisée avec feu de bois, jacuzzi, piscine et barbecue.

Privés de nouvelles technologies, la cohésion se fait naturellement. Le but est de rendre les rencontres authentiques et vivre le moment présent.

« Nous vivons dans une dépendance passive des relations virtuelles (..). Le but est de déconnecter les gens de leur téléphone pour les reconnecter en vrai » précisent les 2 fondateurs toulousains Tom Blandet et Hugo Sautarel.

Lancé en novembre 2015, la formule séduit de plus en plus les actifs âgés de plus de 25 ans. Plus de 500 personnes ont déjà participés à ces 48 heures de digital detox.

Comptez environ 230 euros pour ce week-end de rencontre. Inscription sur le site de Keyme.

Une cure de diète numérique dans les Hautes-Pyrénées :

Autre initiative locale avec les thermes de Bagnères-de-Bigorre dans les Hautes-Pyrénées.

La station thermale propose une semaine de sevrage baptisée « mains libres ». Durant 6 jours, le curiste alterne séance de relaxation et ateliers avec des spécialistes en addiction numérique.

L’objectif est d’apprendre à maîtriser ses usages virtuels.

>>> Plus d’info sur http://www.thermes-bagneres.fr/

Julien Leroy

12 Juin

La French Tech invite les start-up de Toulouse à conquérir les USA et Israël

La French Tech Toulouse propose aux jeunes entrepreneurs, deux missions à l’international. L’objectif est de se faire connaître hors de la ville rose et favoriser le contact avec des donneurs d’ordre étrangers.

© Christophe Morin / MaxPPP

Participer au salon DLD de Tel Aviv

Le premier appel propose de participer au DLD Innovation Festival à Tel Aviv, du 5 au 7 septembre 2018.

Depuis 2010, ce salon professionnel est le grand rendez-vous annuel de l’écosystème numérique israélien. « C’est le 2e écosystème parmi les plus favorables aux start-up dans le monde, juste derrière la Silicon Valley » assure Philippe Coste, le directeur Délégué French Tech Toulouse.

Inscription avant le 22 juin en cliquant ici

Partir dans un incubateur d’Atlanta

Pour la 3e année consécutive, l’opération d’échange de startups entre Toulouse et Atlanta est renouvelée.

Du 14 au 20 octobre, les jeunes pousses de la ville rose pourront partir dans 3 incubateurs de la métropole américaine : ATDC, The Garage et Sandbox ATL.

Les candidats intéressés doivent s’inscrire d’ici le 22 juin sur cliquant ici

Lancé en novembre 2013, le programme « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique.

Toulouse a obtenu le label en novembre 2014 et reste aujourd’hui la troisième région française dans l’industrie numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Julien Leroy

11 Juin

Linknow, l’application qui aide à trouver son réseau professionnel (de proximité)

Se rapprocher d’un professionnel qui travaille sur la table d’a côté pour partager. C’est l’objectif d’une nouvelle application née à Toulouse : Linknow. Elle veut ainsi aider à développer son réseau professionnel en connectant les personnes ayant les mêmes centre d’intérêts et se trouvant autour de soi.

Imaginez que vous êtes dans un salon professionnel, un espace de co-working, une salle d’étude ou dans un hall de gare. Des personnes vous entourent. Qui sait, l’une d’entre elles peut vous aider dans votre travail ou devenir votre prochain collaborateur ?

C’est sur ce constat qu’un ingénieur informatique de 34 ans, Julien Biau, a eu l’idée de créer « Linknow », une application mobile qui permet de rapprocher les professionnels se trouvant à proximité.

« A mi-chemin entre LinkedIn et Tinder, Linknow se veut être plus qu’un réseau social de rencontre. L’application souhaite être un outil de développement personnel et professionnel » explique son concepteur.

Des hashtags pour rencontrer

Une fois connectée, la plateforme vous invite à saisir vos centre d’intérêts et vos compétences sous forme de hastag.

Ces derniers permettent de détecter les professionnels partageant les mêmes mots clés. Ce concept fait l’originalité de cette application toulousaine.

L’ensemble fonctionne via le bluetooth du smartphone.

Linknow s’adresse ainsi aux travailleurs nomades, aux utilisateurs des espaces de co-working et aux participants d’un salon professionnel.

« C’est un facilitateur » précise Julien Biau « née de la volonté d’aider les personnes à se rapprocher les unes des autres, en dépassant les barrières de l’inhibition ou de la timidité« .

Entièrement gratuit pour les utilisateurs, le modèle économique de Linknow repose sur des partenariats avec des événements et des grandes entreprises. L’application vise également le marché international avec des versions disponibles en anglais et en espagnol.

Lancé en mai 2018, Linknow cherche aujourd’hui à se faire connaître auprès des professionnels.

>>> Pour télécharger l’apps : www.linknow.fr

Julien Leroy

 

RSS