05 Fév

Elections municipales : le débat à Mulhouse samedi 8 février – vos réactions #velalsace

Elections municipales : le compte à rebours est lancé. Le premier débat, c’est sur France 3 Alsace ce samedi. Honneur à Mulhouse, l’une des villes à suspens de ce scrutin et qui pourrait basculer au mois de mars.

Les principaux candidats seront sur notre plateau. Vous aussi participez au débat via les réseaux sociaux #velalsace 

Invités :

  • Jean Rottner, maire sortant UMP
  • Pierre Freyburger, candidat PS-EELV-Centristes
  • Martine Binder, candidate FN
  • Aline Parmentier, candidate Front de gauche

Une émission co-animée par Renaud Hartzer (France 3 Alsace) et Patrick Genthon (France Bleu Alsace)

L’émission à revoir ici

 

 

Municipales à Strasbourg : le Front de gauche présente sa liste

Le Front de gauche a présenté sa liste le 4 février. Une liste menée par Jean-Claude Val, du Parti de gauche, et Hülliya Turan, du Parti communiste français.

Municipales à Strasbourg : le Front de gauche présente sa liste

La liste du Front de gauche comprend également des militants associatifs, syndicaux, des membres de la gauche unitaire, ou encore des représentants du mouvement Ensemble. Parmi leurs propositions : la gratuité des transports en commun pour tous, l’opposition au projet d’Eurométropole, ou encore une politique favorisant le logement à loyer modéré.

Municipales à Strasbourg : Roland Ries toujours favori, selon l’IFOP

Selon un sondage IFOP et Fiducial réalisé pour l’hebdomadaire Paris-Match, la chaîne Public Sénat et Sud Radio, le maire socialiste sortant Roland Ries battrait la tête de liste UMP Fabienne Keller au second tour des élections municipales par 52 % contre 48 %.

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Roland Ries arriverait en tête au premier tour, avec 32 % d’intentions de vote, contre 30 % à Fabienne Keller.

La liste EELV menée par Alain Jund obtiendrait 10 % des suffrages, tandis que François Loos, le candidat UDI serait à 9 %.

Le Front National, dont la tête de liste est Jean-Luc Schaffhaeuser, obtiendrait 8,5 % des voix.

C’est le second sondage publié sur le scrutin municipal depuis le début de la campagne à Strasbourg.

Même si l’écart se resserre au second tour, il confirme les tendances observées lors d’un premier sondage TNS Sofres-RTL-Nouvel Obs publié le 15 janvier 2014, et un probable duel gauche/droite au second tour.

04 Fév

Pour François Loos, 74 % des Strasbourgeois veulent du changement

La tête de liste UDI aux élections municipales de Strasbourg a publié mardi matin les résultats du sondage* qu’il a commandé sur les attentes des Strasbourgeois. Le premier enseignement, explique-t-il, est l’envie de changement.

François Loos  lors de la présentation du sondage le 4 février 2014

François Loos lors de la présentation du sondage le 4 février 2014

Selon ce sondage, 86 % d’entre eux veulent que les choses changent en matière de politique de l’emploi « leur principale priorité ». Suivent la qualité de vie, l’urbanisme et les espaces verts et la défense de l’Europe à Strasbourg. « La Task Force et  CŒURS (mises en place par l’équipe de Roland Ries, NDLR) ne sont pas à la hauteur des enjeux », juge François Loos qui promet qu’avec lui la ville sera offensive et pas simplement défensive.

« Avec ce sondage, François LOOS veut remettre au cœur de la campagne les thématiques qui intéressent les Strasbourgeois » mais le candidat centriste n’indique pas s’il a sondé l’état d’esprit des Strasbourgeois sur sa candidature à la mairie.

Le premier sondage (TNS pour RTL et le Nouvel Observateur) réalisé sur les municipales à Strasbourg donnait 7¨% d’intentions de vote pour François Loos. Un second sondage sera publié mercredi.

* Sondage réalisé le 24 janvier par ED institut sur un échantillon de 303 personnes.

G.D. Kennel : « L’Eurométropole oui, mais avec le département »

Le président du Conseil général du Bas-Rhin a dénoncé mardi matin le « silence radio total » de l’Etat sur le projet d’Eurométropole de Strasbourg. « C’est bien parce qu’il sacralise le contrat triennal « Strasbourg, capitale européenne », mais il faut que l’on sorte du flou actuel pour que l’on sache où on va », a déclaré Guy-Dominique Kennel lors d’une conférence de presse. Il appelle les candidats aux élections municipales à dire ce qu’ils feront de ce projet.

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Le président du Conseil général du Bas-Rhin s’interroge sur l’avenir du département, citant l’exemple de la « métropole lyonnaise » qui entrera en scène le 1er janvier 2015.

Lyon et le Grand Lyon sortiront alors du département du Rhône et reprendront ses compétences sociales (RSA, personnes âgées, handicapées,etc..), mais celui-ci, devenu essentiellement rural, continuera d’exister séparément, avec seulement 700 000 habitants contre 1 million 750 000 aujourd’hui.

« L’intérêt du département du Bas-Rhin n’est pas d’aller dans ce sens », estime Guy-Dominique Kennel. « l’Eurométropole de Strasbourg a besoin de sa base arrière, le département, et réciproquement. Sinon, les deux collectivités seraient fragilisées ».

 

Interrogé sur une éventuelle fusion entre l’Alsace et la Lorraine (figurant parmi les pistes évoquées par le gouvernement pour réduire le mille-feuille territorial), le président du Conseil général 67 lui préfère une grande région transfrontalière entre l’Alsace, Bâle, le Bade-Wurtemberg et la Rhénanie-Palatinat.