19 Mai

La nouvelle Livebox d’Orange est une innovation (en partie) toulousaine

© Orange

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Conçu au Labs d’Orange de Blagnac

La nouvelle Box d’Orange commercialisée ce jeudi 19 mai, a été conçue, en grande partie, par les ingénieurs d’Orange Labs de Blagnac, près de Toulouse.

« Elle se compose de deux boîtes : la livebox et le décodeur TV » explique Guy Vidal, responsable du département toulousain. « Nous avons surtout conçu la partie décodeur TV » poursuit-il. « Entre 35 et 40 personnes du Labs d’Orange de Blagnac » ont ainsi travaillé sur cette technologie. « Côté développement, nous avons fait plus de la moitié de la conception(..) notamment la TV, les programmes, l’enregistreur,…«  complète Alain Mathias, manager des équipes TV du Labs d’Orange de Blagnac.

« Nous avons surtout conçu la partie décodeur TV » Guy Vidal du Labs d’Orange à Blagnac

Cette division R&D de Blagnac contribue régulièrement aux innovations du groupe Télécom pour le grand public et les entreprises. Au total, 200 personnes y travaillent. « Nous sommes le troisième Labs d’Orange de France » précise Alain Mathias. On leur doit notamment le développement des applications pour smartphones tels qu’Orange Cinéday, MySosh et Livephone. Le site toulousain a également conçu « Le Bloc », la clé TV ou encore « Lora », une lampe connectée. Les équipes se chargent aussi des tests nationaux sur le réseau TV des décodeurs d’Orange.

Une LiveBox innovante et stratégique

La nouvelle LiveBox d’Orange offre évidemment de nouvelles fonctionnalités. Parmi les nouveautés : un réseau Wi-Fi plus performant afin de connecté plusieurs écrans, un stockage d’une capacité 1 To et un accès à de nombreux contenus en version Ultra HD. La box propose également le modem Airbox 4G qui permet d’accéder, en toutes circonstances, à l’internet Très Haut Débit mobile. 

« Cette box(..)  répond à l’évolution des besoins exprimés par nos clients qui souhaitent bénéficier d’une connexion inégalée et qui attendent une expérience Internet à la maison incomparable et sur tous les écrans » expliquait le 16 mars dernier, Fabienne Dulac, Directrice Exécutive Orange France.

Il est vrai qu’une box reste le principal outil stratégique pour un fournisseur d’accès à Internet (FAI). C’est à la fois la porte d’accès à tous les services web et la technologie qui attire de nouveaux clients. « Cette nouvelle Livebox nourrit notre stratégie de développement de la fibre en France. Elle va contribuer à atteindre notre objectif de 1,6 million de clients Fibre d’ici la fin de l’année » précisait Fabienne Dulac. 

Julien Leroy

18 Mai

Nuit des musées : la start-up toulousaine Aestetype propose des murs virtuels dans les musées de France et d’Europe

Exclusivité. A l’occasion de la Nuit européenne des musées, ce samedi 21 mai, l’agence toulousaine Aestetype proposera un « tweetwall ». Un mur virtuel qui s’affichera dans de nombreux musées.

© Aestetype Design

© Aestetype Design

La nuit européenne des musées se déroule ce samedi 21 mai. L’occasion de visiter gratuitement, en soirée, près de 6000 musées à travers la France et l’Europe.

Pour la première fois en Europe, des centaines d’établissements proposeront aux visiteurs un « Tweetwaal ». Il s’agit d’un mur virtuel sur lequel s’affichent en direct, tous les tweets (Twitter) et photographies (Instagram) utilisant le mot-dièse #NDM16. Le visiteur noctambule pourra ainsi donner son avis, partager ses coups de cœurs et ses impressions. 

Cette technologique numérique a été mise au point par une start-up toulousaine : Aestetype. Cette agence est spécialisée dans la création numérique et la communication visuelle. 

Elle développe ainsi de nombreuses solutions innovantes pour valoriser le contenu des réseaux sociaux. Elle a nomment crée la plateforme virtuelle : « MySocialGalaxy ». Un concept unique en France où la personne est immergée dans une salle virtuelle où s’affiche des contenus provenant de Facebook, Twitter ou Instagram. 

Des solutions qui séduisent Twitter et aujourd’hui, le Ministère de la Culture et de la Communication. Aestetype a également mené des expériences similaires dans plusieurs institutions culturelles de Toulouse telles que le Muséum d’Histoire Naturelle ou le Quai des Savoirs. 

Julien Leroy

Nouveau défi du prêtre de Marcilhac-sur-Célé pour sauver son abbaye

© Abbaye de Marcilhac-sur-Célé

© Abbaye de Marcilhac-sur-Célé

#Faitesplongelabbé, c’est le nom de code du nouveau défi du Père Guillaume Soury-Lavergne pour sauver son abbaye de Marcilhac-sur-Célé, dans le Lot. 

Depuis mars 2015, le prêtre de abbaye de Marcilhac-sur-Célé mutiplie les appels sur Facebook et les défis pour récolter des dons et sauver son édifice. Située dans la vallée du Celé dans le Lot, l’abbaye est l’un des joyaux du patrimoine lotois mais a besoin d’un vaste chantier de rénovation. Près de 400 000 euros ont été recueillis mais 3 millions d’euros seront nécessaires. 

C’est pourquoi Père Guillaume Soury-Lavergne veut continuer à mobiliser. Après le saut en parachute l’été dernier, un spéléologue lui propose un nouveau défi baptisé #‎Faitesplongerlabbe.

L’objectif est de réaliser, le 15 août prochain, un baptême de plongée dans le Ressel de Marcilhac-sur-Célé, une cavité souterraine mondialement connue profonde de plusieurs centaines de mètres. « Les internautes sont appelés à subventionner ma descente » explique le prêtre de 37 ans. « 1€ donné pour la restauration de l’Abbaye = 1cm descendu » 

La nouvelle opération de crowdfunding a été lancé ce lundi de Pentecôte (16 mai) sur Facebook via une vidéo insolite :

Julien Leroy

Un potager sur le toit, la nouvelle tendance qui a de l’avenir

Innov’Action à Toulouse. Faire pousser des fruits ou des légumes sur son toit, c’est la nouvelle mode. Le jardinage urbain est en plein développement mais dans le monde de l’entreprise, il n’en est qu’à ses balbutiements. Deux jeunes maraîchers toulousains entendent bien révolutionner le secteur.

© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

Au-dessus d’une gare, d’une station de métro, au milieu des immeubles, en plein cœur de la ville, les tomates, les salades et les fraises poussent dans de grandes jardinières, cultivées sans pesticide et en fertilisation organique…

Alexandre Belin et Cédric Jules sont maraîchers urbains. Ils implantent des potagers pour les entreprises à Toulouse, de préférence sur les toits. S’ils ne peuvent pas labelliser leurs cultures en bio, parce que les jardinières ne sont pas en contact direct avec le sol,  c’est pourtant en bio, qu’ils cultivent tous les légumes de leurs jardins suspendus.

Le marché du potager urbain en entreprise est encore très restreint : on en compte seulement une douzaine dans toute la France. Mais le secteur est prometteur. A Toulouse, par exemple, dix hectares de toit pouvant accueillir des fruits et des légumes ont été recensés.

Voir ici le reportage de Denis Tanchereau et Jean-Pierre Duntze :

Laurence Boffet

17 Mai

Football – TFC : Pascal Dupraz, premier entraîneur de Ligue 1 à ouvrir un compte Twitter

© MaxPPP

© MaxPPP

Le soir même de la victoire historique contre Angers, samedi 14 mai, l’entraîneur toulousain du TFC, Pascal Dupraz a ouvert son compte Twitter : @CoachDuprazIl s’agit du premier compte officiel d’un coach de Ligue 1.

En l’espace de 72 heures, plus de 11.700 internautes ont décidé de le suivre. « Nous visons rapidement les 50 000 followers » espère son fils, Julian Dupraz qui l’a convaincu à se lancer. Un objectif que le coach des violets devrait atteindre sans problème. Le TFC reste le club de football le plus suivi sur les réseaux sociaux en France.

Un compte Twitter géré par père & fils

Une grande partie du compte est gérée par Offre Digitale, une entreprise fondée par le fils de l’entraîneur, Julian Dupraz. Basée à Lyon, cette start-up est spécialisée dans la gestion des réseaux sociaux pour les PME et les très petites entreprises. Mais l’entraîneur atypique du TFC n’hésitera pas à tweeter. Il signera d’ailleurs ses tweets personnels avec la mention « PD ».

Le premier compte officiel Twitter d’un entraîneur de Ligue 1

Si les comptes Twitter et autres pages Facebook sont légion chez les joueurs de football, ceux des entraîneurs sont (quasiment) inexistants. La création du compte Twitter de Pascal Dupraz est ainsi une grand première.

Seul l’entraîneur de Rennes, Roland Courbis possède, depuis novembre 2011, d’un compte Twitter. Mais sa page relaye ses exploits sportifs mais aussi ses chroniques sur RMC. Pascal Dupraz est ainsi « le seul entraîneur à posséder un compte officiel » précise Julian Dupraz.

« Nous avons souvent échangé sur sa présence sur les réseaux sociaux » raconte son fils. « Avec mon associé, on lui a alors expliqué l’intérêt« . D’autant plus que la (forte) personnalité du père a crée une véritable euphorie auprès des joueurs, des supporters et des médias depuis son arrivée à Toulouse, début mars. L’idée est d’évoquer « son côté décalé (..) son côté personnage » précise Julian Dupraz.

Bref, on ne risque pas de s’ennuyer à suivre le Coach Dupraz sur Twitter.

>> Compte officiel (en cours de certification) de Pascal Dupraz, entraîneur du Toulouse Football club (TFC) : twitter.com/CoachDupraz

Julien Leroy

Tour France Digital 2016 : L’application toulousaine SmartHeal en lice pour le championnat de France de la meilleure start-up numérique

L’’association d’entrepreneurs et d’investisseurs du numérique, France Digital, organise actuellement son tour de France pour sélectionner la meilleure start-up du moment. 60 jeunes pousses participent dont 3 toulousains : Skale, SmartMe Studio SAS et SmartHeal. 5 demi-finales sont prévues en région avant la grande finale à Paris, le 30 juin. SmartHeal défend ses chances ce mardi 17 mai. 

© France Digitale

© France Digitale

Le Tour de France Digital est un concours national qui récompense la meilleure start-up dans le secteur du numérique. A l’arrivée, le vainqueur de cette 2e édition repartira avec 1,5 million d’euros, dont 500.000 sous la forme d’un prêt accordé par bpifrance. Une levée de fonds qui permettra au champion de concrétiser son innovation.

Ce concours est organisé depuis 2 ans par France Digital, une association d’entrepreneurs et d’investisseurs du numérique. L’objectif est de « de créer une France qui est fertile pour la croissance des startups et de faire émerger les champions numériques de demain » explique France Digital. 

60 demi-finalistes dont 3 toulousains

Après avoir examiné des dizaines de candidatures, les organisateurs ont sélectionnés 60 start-up à travers la France. « Nous recherchons des start-up de moins de 5 ans dont le chiffre d’affaires est inférieur à 250.000 euros, mais dont l’ambition est internationale », explique Emanuele Levi, membre du conseil d’administration de France Digitale.

Parmi les nominés se trouvent 3 sociétés toulousaines : SkaleSmartHeal et SmartMe Studio SAS.

Skale est une start-up toulousaine créée par deux anciens salariés de Sigfox : Cédric Artigue et Marc Vertes. Ils proposent une « plateforme en ligne de traitement de données pour le Big Data » nous explique Cedric Artigue. « Concrètement il s’agit d’une solution logicielle de calcul distribué permettant aux entreprises de traiter efficacement et très rapidement de larges volumes de données afin de rendre possible l’émergence de nouvelles applications et d’améliorer le pilotage stratégique de leur business » poursuit-il.

Quant à SmartMe Studio, la jeune pousse a été fondée par Alain Extramiana. Son équipe conçoit des applications de gestion de documents et de données pour « aider les préparateurs industriels, AET, agents Lean ou encore les ergonomes dans leur activité d’observation atelier et retranscription » explique-t-il sur son site internet. 

SmartHeal est également une startup Toulousaine. Elle « gère l’ensemble du processus de réservation de votre voyage médical à l’étranger courte durée ou longue durée » peut-on lire sur le site web. « Notre vocation est connecter les patients internationaux aux meilleurs soins au monde en démarrant de la France » précise le fondateur David Servais. 

Le dernier candidat toulousain, SmartHeal, passe devant le jury d’Aix-en-Provence, ce mardi 17 mai

Le Tour de France Digital fait étape dans 5 villes de province : Montpellier (le 6 avril), Rennes (le 22 avril), Grenoble (le 4 mai), Aix-en-Provence (le 17 mai) et Lille (le 1er juin). A l’issue de ce tour de France, 10 finalistes seront retenus pour la grande finale le 30 juin à Paris. 

Skale et SmartMe Studio SAS ont déjà défendus leur leur chance lors de la première demi-finale à Montpellier le 6 avril dernier. C’est désormais au tour de SmartHeal de saisir sa chance lors de l’étape d’Aix-en-Provence, le 17 mai prochain. Face au dernier toulousain, 10 autres concurrents présenteront également leur projet devant un jury composé de professionnels du numérique et de la finance.

Julien Leroy

13 Mai

Changement de dimension pour La Mêlée numérique 2016, le plus grand salon dédié au numerique en région

Changement de cadre et de date pour la Mêlée numérique à Labège. L’édition 2016 se déroulera du 25 septembre au 2 octobre prochain au cœur du nouveau festival de l’innovation de Toulouse : « Humans In Tech » mise en place par La French Tech Toulouse.

© La Mêlée Numérique

© La Mêlée Numérique

Après une décennie au Diagora de Labège, le salon de  la Mêlée numérique change de dimension. L’un des plus grands salon du sud-ouest dédié au numérique n’aura plus lieu au mois de juin sur 3 jours. La 16e édition va s’étendre sur une semaine, du 25 septembre au 2 octobre 2016 dans le cadre du premier festival de l’innovation de Toulouse : « Humans In Tech ». 

Mise en place par La French Tech Toulouse et Toulouse Métropole, « Humans In Tech » a pour objectif d’être le nouveau grand rendez-vous des professionnels du numérique. 

Ce nouveau cadre bouscule également les habitudes. « La Mêlée numérique 2016 se déroulera sur plusieurs lieux » précise Marie Ville, chargée de communication de l’événement. La prochaine édition se déroulera ainsi au Quai des Savoirs, à la Cantine de Toulouse mais aussi sur les allées Jules Guesdes. « Un village de start-up y sera installé avec des stands et des animations » explique-t-elle.

Au programme, la Mêlée numérique 2016 développera 3 grandes thématiques : Life, Business et City. Des ateliers, des conférences, des stands et des espaces partenaires rythmeront ces 8 jours d’innovation numérique. Le programme définitive sera dévoilé d’ici quelques semaines.

 Julien Leroy

12 Mai

Une application pour ne jamais perdre de vue La Grave, le site le plus photographié de Toulouse

© photo de @amoureusement_toi

© photo de @amoureusement_toi

 

Un concours de photo sur Instagram

La Grave à Toulouse, situé sur les berges de la Garonne, est l’un des sites les plus photographiés en France sur Instagram. Un dévouement qui a donné l’idée à des internautes toulousains de lancer un concours de photos sous le hashtag, #JeudiCestGrave. « Tous les jeudis, on s’amuse à prendre en photo La Grave, de façon originale ou non sur Instagram » m’explique William Markezana, un participant. 

« De quelques instagrameurs au départ, le concept a vite pris de l’ampleur sur le réseau social à Toulouse, avec près de 500 publications désormais » se réjouit Remy Sirieix, l’un des initiateurs. Les contributeurs sont aujourd’hui nombreux dont « la mairie de Toulouse » précise-t-il. Il est vrai que le résultat est réussit avec de nombreuses photos originales.

Une application boussole pour ne jamais perdre de vue La Grave

Exclusivité. Pour aider nos photographes toulousains, certains ont alors eu l’idée de créer une application mobile « Où est la Grave ». Entièrement gratuite, elle « prend la forme d’une boussole qui nous indique à quelle distance on se trouve de ce lieu emblématique de Toulouse » raconte Williams Markezana, l’un des créateurs. L’application boussole affiche également les horaires des couchers et levers de soleil tous les jours pour les adeptes du concours de photo.

« Cette application, c’est vraiment pour s’amuser ! On a d’abord lancé l’idée entre nous et on s’est dit qu’il serait sympa de la proposer à tout le monde » précise William qui réfléchit  » déjà à lancer des jeux autour du concept« .

L’application est téléchargeable gratuitement depuis ce jeudi 12 mai sur Android et iPhone.

La Grave, un lieu emblématique de Toulouse

La Grave est un hôpital datant du début du 17e siècle. Il est situé dans le quartier Saint-Cyprien à Toulouse, sur la rive gauche de la Garonne. Le lieu fut l’un des plus importants établissements hospitaliers de la ville. Et la principale maternité durant une grande partie du 20e siècle. Son nom vient de la grève où il a été bâti le long de la Garonne.

Florilège des photos #JeudiCestGrave

Julien Leroy

 

11 Mai

« Salsa y Color », le plus important site web français dédié à la danse Latino, est né à Toulouse et Montpellier

Exclusivité. Le principal site web dédié à la danse et la culture Latino en France est né entre Montpellier et Toulouse, à l’initiative de 4 trentenaires, dont un Toulousain. Les passionnés de salsa, bachata et kizomba y trouveront une multitude d’informations sur les soirées, les cours, les écoles et les festivals dans leur région ou dans leur département.

© MaxPPP

© MaxPPP

Un site web unique en France

Salsa y Color, c’est un site web d’information dédié entièrement à la danse et à la culture Latino en France. Lancée par 4 amoureux de la salsa dont un toulousain, la plateforme va à la fois ravir les passionnés et transmettre aux curieux le goût de cette danse latine.

En effet, ce site web unique, né entre Montpellier et Toulouse, est une mine d’information. La plupart des soirées et des festivals de salsa, bachata et kizombade en France y sont recensés. Chaque événement est classé par région et par département accessible depuis une carte interactive. Sur le même principe, « Salsa y Color » propose un annuaire des écoles de danse latino et les cours d’initiation dans votre ville.

« On a réalisé le site web que l’on aurait aimé avoir »  Medhi Moussa, l’un des concepteurs

Et si vous avez immédiatement envie de danser devant votre PC, le site offre des playlists de salsa et autres musiques latines.

Bref, le site idéal pour les amateurs mais aussi pour les professeurs, les DJs, les danseurs expérimentés. Salsa y color s’adresse à la fois aux professionnels et aux amateurs. D’ailleurs, l’objectif est de créer des échanges entre eux.

4 passionnés dont un toulousain

« On a réalisé le site web que l’on aurait aimé avoir » raconte Medhi Moussa, l’un des concepteurs. Ce montpelliérain, assidu des pistes de danse depuis une quinzaine d’années, s’est lancé dans l’aventure, en avril 2015, avec 3 autres amis : Antoine Rebora, un DJ « qui s’occupe de la partie artistique« , Ahmed Adouch et son frère toulousain Adil Adouch. « Le seul qui ne danse pas » s’amuse Medhi Moussa. .Adil Adouch « se charge du calendrier des événements et des relations avec les écoles et les autres professionnels » précise-t-il. Un vrai travail de fourmi. 

Le site est entièrement gratuit et le quatuor le gère sur leur temps de loisirs. « Nous sommes une association loi 1901 » précise Medhi Moussa. Mais pour financer le coût de gestion, « nous avons développé une branche communication et événementielle« . Salsa y Color propose ainsi d’organiser des soirées notamment à Toulouse et Montpellier. De quoi rendre les soirées estivales caliente


>>> Site Salsa y Color :
www.salsaycolor.com

Julien Leroy (avec Morgane Bezes)

10 Mai

Avec le robot Sam, rendez visite virtuellement à vos grands-parents

Innov’action. Rendre une visite virtuelle à son papi ou à sa mamie sans se déplacer, c’est désormais possible grâce à Sam. Créé par une start’up toulousaine, ce robot d’accompagnement, piloté à distance a fait son entrée dans les maisons de retraite.

© France 3 Midi-Pyrénées

© France 3 Midi-Pyrénées

Dans une maison de retraite de la banlieue toulousaine, un nouveau pensionnaire s’est installé il y a quelques jours. Un pensionnaire un peu particulier… Sam est un robot. Une machine qui permet à des particuliers de rendre une visite virtuelle aux pensionnaires de la maison de retraite et de partager leur quotidien… Sam a été créé par une start’Up toulousaine, RoboCare Lab, spécialisée dans les robots d’accompagnement.

Des visites entièrement virtuelles qui peuvent en rebuter certains mais qui aide à maintenir le lien social et même peuvent freiner certaines pathologies selon le personnel de la maison de retraite.

Pour l’instant à l’essai dans deux Etablissements pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) en Midi-Pyrénées, ce type de robots pourrait bien se développer à l’avenir. RoboCare Lab prévoit d’équiper une cinquantaine d’établissements en 2016. Avant de tenter de conquérir d’autres marchés. La France compte 10 000 maisons de retraite autant dire que le secteur a de l’avenir.

Laurence Boffet

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