La version 2 du programme « French tech » a été dévoilée par le Gouvernement, ce mercredi 3 avril à Paris. 13 villes françaises dont Toulouse ont été labellisées comme capitale nationale du numérique.
© French Tech
La French Tech est mort. Vive la French tech. Après 6 ans d’existence, le Gouvernement renouvelle le label « French Tech ».
Cette seconde version a été dévoilée ce mercredi 3 avril à Paris, par le nouveau secrétaire d’Etat chargé du Numérique, Cédric O.
Après un appel à candidatures en décembre 2018, 13 villes de France obtiennent le titre de « Capitale French Tech ». Ce label remplace les 20 métropoles French Tech désignées en 2013.
Parmi ces 13 capitales du numérique, Toulouse y figure. C’est la seule ville d’Occitanie. Ce label confirme (sans surprise) le dynamisme de la ville rose dans le domaine du numérique. En mars 2018, Toulouse est la 3e ville française où l’on créé le plus de jeunes entreprises.
Parallèlement, 38 Communautés French Tech ont été attribuées à des collectivités locales dont Montpellier.
La nouvelle phase de la French Tech sera essentiellement pilotée par les entrepreneurs.
A Toulouse, La French Tech est désormais présidée par Sandrine Jullien-Rouquié; fondatrice de la startup Ludilabel (spécialisée dans les étiquettes pour les vêtements). Elle est entourée des startuppeurs de Brico Privé, Delair, Sigfox, Adveez, Syntony, Sunibrain, Cenareo ou encore Télégrafik.
Julien Leroy