25 Jan

Insolite : Une battle des plus beaux ciels de Midi-Pyrénées et de Languedoc-Roussillon

Une « bataille » des plus beaux ciels de la nouvelle grande région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, a eu lieu, ce vendredi 22 janvier, sur Twitter (#BattleCiels). Lancée par le conseil départemental, les internautes se sont pris au jeu. Florilège des meilleures photos.

© Conseil départemental de Haute-Garonne

© Conseil départemental de Haute-Garonne

Lancer spontanément sur Twitter un concours des plus beaux ciels de la nouvelle grande région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées (LRMP), l’idée originale vient de l’équipe de la communication numérique du conseil départemental de Haute-Garonne. « Ça nous est venu suite au levé de soleil magnifique de vendredi matin » nous explique Thomas Biarneix, le community manager du service. 

Le tweet a été publié dans la matinée du 22 janvier. Aussitôt, les internautes et les institutions de la région se sont pris au jeu.

Julien Leroy

22 Jan

Loi Numérique : retrait de l’amendement d’une députée du Tarn et Garonne, sur les liens hypertextes

Fin de la polémique pour l’amendement sur l’encadrement des liens hypertextes. Le texte proposé, par la députée PS du Tarn et Garonne, Valérie Rabault, a été retiré ce jeudi lors des débats à l’assemblée Nationale.

(KTSDESIGN / SCIENCE PHOTO LIBRARY / KTS / AFP)(KTSDESIGN / SCIENCE PHOTO LIBRARY / KTS / AFP)
Demander l’autorisation avant de faire un lien hypertexte. C’était la proposition de l’amendement n°843 déposé, ce mardi, par la députée PS du Tarn et Garonne, Valérie Rabault et sa collègue des Hautes-Alpes, Karine Berger,dans le cadre du projet de loi sur la République numérique.

Mais le texte a été retiré par les députés ce jeudi 21 janvier après l’avoir rectifié dans la journée du mercredi.
Les débats sur le projet de loi reprendront le 26 janvier. Le texte avait suscité de vives réactions d’indignation et d’incompréhension sur Internet et chez les professionnels du secteur. Pour relire notre article consacré à ce texte : cliquez ici

Julien Leroy

20 Jan

Loi Numérique : un amendement d’une députée du Tarn et Garonne, sur les liens hypertextes enflamme la toile

Demander l’autorisation avant de faire un lien hypertexte. C’est la proposition d’un amendement déposé, ce mardi, par la députée PS du Tarn et Garonne, Valérie Rabault, dans le cadre du projet de loi sur la République numérique. Le texte sera examiné d’ici demain mais a déjà de nombreuses réactions. 

(4X-IMAGE / E+ / getty images)

(4X-IMAGE / E+ / getty images)

Demander l’autorisation avant de faire un lien hypertexte

L’amendement n°843 de Valérie Rabault (députée PS du Tarn et Garonne) et Karine Berger (députée des Hautes Alpes), a été déposé ce mardi 19 janvier, à l’assemblé nationale dans le cadre de l’examen du projet de loi pour une République numérique. Les débats se dérouleront jusqu’au 21 janvier. 

L’idée est de renforcer le statut juridique du lien hypertexte en demandant l’autorisation des ayants droits. L’objectif est « de protéger les créations des auteurs et préciser l’étendue de leurs droits sur les liens hypertextes » explique le texte.

Sur son blog, la députée socialiste du Tarn et Garonne, Valérie Rabault précise : « Soit le lien pointe vers une page sans droit d’auteur. Et là on en reste à la situation existante. Soit le lien pointe vers une page qui est protégée par le droit d’auteur. (..) Alors il vous faudra obtenir les droits auprès de la personne ou l’organisme qui les détient. Il s’agit là d’un principe de protection du droit d’auteur« .

Concrètement, le texte vise surtout les liens hypertextes générés librement et automatiquement par les FAI et les services assimilés à des hébergeurs (Google, Facebook, Twitter,…). « Ils ne pourront rien mettre en ligne par l’intermédiaire notamment de liens hypertextes générés automatiquement, sans avoir d’abord vérifié que les ayants droits sont d’accord » analyse le site Numerama.

La députée socialiste veut surtout poser la question suivante : « Quel équilibre entre les gens qui produisent du contenu et ceux qui l’utilisent gratuitement via du lien hypertexte ?« 

Pas touche à mon lien hypertexte !

L’amendement des deux parlementaires a suscité de vives réactions d’indignation et d’incompréhension sur Internet et chez les professionnels du secteur. « Un lien hypertexte (..) C’est le principe de la navigation, au cœur même du fonctionnement d’internet »  rappelle ma confrère de FranceTv Info, Violaine Jaussent.

A Toulouse, les professionnels du numérique sont également dubitatifs. « Je trouve ça dingue que des hommes politiques puissent proposer ce genre de choses. Ca remet en cause l’existence même du web, des réseaux sociaux, qui sont quand même un espace d’expressions et de loisirs pour tous les Hommes, entreprises et même institutions ! » explique Rémy Sirieix, professionnel du digital chez Anouk Déqué.

Pour son collègue toulousain Ludovic Amar : « En terme de réactivité, ce serait hyper contraignant qu’il n’y ait pas de lien. Tu t’imagines (..) : « Bonjour Le Monde, Votre article est très intéressant, pouvez-vous me donner l’autorisation de le partager à ma communauté sur twitter ? Merci. « . Je pense que les journalistes ont d’autre chose à faire que de répondre oui ou non à ce genre de demande. Ou alors personne ne demandera, les liens continueront à être utilisés et la loi ne sera jamais appliquée« . 

Pour d’autres, « Si vraiment cette loi deviendrait applicable, elle serait totalement contre productive quant au référencement ou même aux renvois documentaires entre sites. Et donc les sites qui l’appliqueraient seraient condamnés à être oubliés par rapport à ceux qui eux continueraient de proposer des liens entrants » imagine Xavier Mouton-Dubosc, développeur web à Toulouse et animateur des ateliers-débat CryptoParty (regroupement de spécialistes et passionnés sur la sécurité Internet). Nos « décideurs sont restés à l’époque du Minitel » conclut-il. 

Sur les réseaux sociaux, les critiques sont également nombreuses, à l’image de Thomas Biarneix, un community manager toulousain :

« Il n’interdit rien du tout » s’est défendu la députée Valérie Rabault, ce mardi, sur son blog. L’objectif est « de préserver le droit d’auteur »Son texte doit être examiné ce mercredi.

Au total, 855 amendements ont été déposés pour cette loi sur la république numérique. 

Julien Leroy (+ FTV)

19 Jan

« Power Of Low », le Toulousain Sigfox lance un réseau d’objets connectés pour protéger l’environnement

Les objets connectés au service de causes humanitaires et environnementales. C’est le nouvel objectif de la startup toulousaine Sigfox, annoncé ce mardi. Une première expérimentation va être menée à la station polaire Princesse-Elisabeth en Antarctique. 

© Sigfox - L'équipe de l'expédition BELARE 2015-2016

© Sigfox – L’équipe de l’expédition BELARE 2015-2016

Eviter de se perdre en Antarctique

La startup toulousaine Sigfox continue de déployer son réseau mondial d’objet connecté (IoT). La société a annoncé, ce mardi 19 janvier, une nouvelle collaboration avec la Belgique et son Secrétariat Polaire, pour connecter l’expédition scientifique « BELARE 2015-2016 » depuis la station polaire Princesse-Elisabeth en Antarctique.

L’objectif est de « suivre les déplacements des chercheurs et de leurs équipements en temps réel, dans les conditions parfois extrêmes du continent blanc » explique les fondateurs de Sigfox, Christophe Fourtet et Ludovic Le Moan, dans un communiqué. Concrètement, les 45 membres de l’expédition seront équipés de trackers GPS reliés au réseau Sigfox. 

L’expédition scientifique BELARE 2015-2016 cherche à comprendre les changements climatiques et la préservation de notre planète. Elle se « compose d’une équipe de techniciens et de chercheurs spécialisés en glaciologie, climatologie, géomorphologie, en charge de différents projets scientifiques belges et internationaux » précise le communiqué.

Une fondation Sigfox pour développer les connectés au service de causes environnementales

Sigfox a annoncé également ce mardi, le lancement de SIGFOX Foundation. Il s’agit d’un fonds de dotation qui a pour objectif de mettre l’Internet des objets au service de causes humanitaires et environnementales.

Baptisé « Power Of Low », le but est « de conduire des missions de protection de l’environnement et du vivant en mettant à leur service notre réseau » expliquent les fondateurs toulousains. Sigfox cherche désormais des mécènes et partenaires pour mettre en place rapidement des projets. 

Sigfox est en train de créer un réseau mondial des objets connectés. Une première mondiale. La startup basée à Labège affiche aujourd’hui un chiffre d’affaire de 6 millions d’euros. « On a commencé à trois dans un garage en 2011 et aujourd’hui on est 80 » se rappelle Ludovic Le Moan, le co-fondateur de la société.

Julien Leroy

18 Jan

Twitter Tour fait étape à Toulouse le 26 mai 2016

Après Google, c’est autour de Twitter de faire étape à Toulouse. Rendez-vous le 26 mai 2016 à la Cantine.

Crédit Photo: Agence Eyesevent - Twitter Tour à Lille

Crédit Photo: Agence Eyesevent – Twitter Tour à Lille

Depuis septembre 2015, le réseau social américain s’est lancé dans une tournée française pour rencontrer les professionnels du numérique et les agences de communication. »Que vous soyez en entreprise, en agence, ou indépendant, notre équipe vous donnera les outils et conseils nécessaires au développement de votre activité » détaille les équipes de Twitter France. 

Twitter Tour (#TwitterTour) passera dans 7 villes françaises dont Toulouse, le 26 mai 2016 à 13h30 à la Cantine. Et le 14 avril à Montpellier. Les inscriptions sont obligatoires.

>>> inscription et infos pratiques sur : Twitter Tour  ou avec le hastag #TwitterTourToulouse

Julien Leroy

13 Jan

BTP : « BatiVigie », une application toulousaine pour lutter contre le travail illégal sur les chantiers

BatiVigie est une application pour lutter contre le travail illégal dans le BTP. Une innovation unique en France créée à Toulouse par le dirigeant du groupe IFECC, spécialisé dans l’économie de la construction.

©BatiVigie

©BatiVigie

Comment lutter contre le travail illégal sur les chantiers ? Une réponse est venue d’un professionnel du bâtiment et des travaux publics (BTP), Frédéric Pradal. Le directeur général du groupe toulousain IFECC, spécialisée dans l’économie de la construction, a eu l’idée de créer l’application « BatiVigie » pour smartphone. 

La solution, unique en France, permet de contrôler et de signaler « aux maîtres d’ouvrages la présence de travailleurs en situation irrégulière«  explique le créateur sur le site internet officiel. Concrètement, les informations sur les salariés fournies par les entreprises présentes sur le chantier, sont contrôlées par une société spécialisée. Cette dernière va alors vérifier les données, chaque semaine sur le terrain. En cas d’irrégularité, l’entreprise concernée reçoit un mail demandant de régulariser sous 48h00. 

Une solution pour répondre aux nouvelles obligations légales des employeurs

La commercialisation de BatiVigie a été lancée en octobre 2015 à destination des donneurs d’ordre et des maîtres d’ouvrages. L’abonnement coûte entre 130 à 350 euros par mois et par chantier. Le contrôle est facturé en supplément. Un coût élevé qui peut éviter des pénalités pouvant aller jusqu’à 500 000 € par site ou 2000 € par salariés sanctionnés. En effet, depuis la loi Savary en 2014, les donneurs d’ordre et des maîtres d’ouvrages sont responsables des infractions au code du travail commises par les entreprises sur leurs chantiers. 

Le secteur du BTP est particulièrement touché par le travail illégal. Les infractions représentent 42% des fraudes en Haute-Garonne, selon l’inspection du travail. Près de 120 procédures ont été engagés en 2014 dans le département. Un fléau qui représente 13 millions de préjudice au niveau national. 

BatiVigie est une solution numérique qui semble séduire les professionnels. Les prometteurs Kaufman & Broad, Acantys, Sagec et Pichet ont adopté l’application toulousaine.

>> Reportage sur l’apps BatiVigie par notre équipe de France 3 Midi-Pyrénées (Cécile Fréchinos et Christian Bestard) :

>>> Site de l’application BatiVigie : http://bativigie.fr/

Julien Leroy

12 Jan

Ouverture du portail Open Data du Conseil départemental de Haute-Garonne

Le Conseil départemental de Haute-Garonne inaugure, ce mardi 12 janvier, son portail Open Data. 24 bases de données administratives sont rendus accessibles pour le grand public et les sociétés susceptibles de les exploiter.

© Max PPP / Bruno Levesque / IP3 Paris

© Max PPP / Bruno Levesque / IP3 Paris

Le phénomène de l’Open Data continue de prendre de l’ampleur dans la région toulousaine. Le Conseil départemental de Haute-Garonne a ouvert, ce mardi 12 janvier, son premier portail Open DataUne initiative qui ouvre l’accès à des données publiques de la collectivité à destination du grand public et des entreprises susceptibles de les exploiter pour des applications web.

Au total, « 24 jeux de données issues des services directs du Département sont accessibles » explique le communiqué de conseil départemental. On y trouve ainsi la carte routière de Haute-Garonne, les lignes de transports scolaires, la liste des conseillers départementaux, la sectorisation des collèges,… A terme, « Il est prévu que ce portail rassemble des données des entités affiliées au Conseil départemental comme le Comité départemental du Tourisme, le Musée départemental de la Résistance,… » explique l’équipe du projet. 

Après avoir décidé d’adhérer à Open Data France en septembre 2015, le Conseil départemental de Haute-Garonne espère inciter les mairies et les intercommunalités à faire de même. « L’ouverture du portail Open Data du Département répond à notre volonté de créer un nouveau lien entre les Haut-Garonnais et l’institution. Il s’inscrit dans le dialogue citoyen que nous allons co construire pendant 6 ans avec les habitants de la Haute-Garonne. L’Open Data, c’est aussi un formidable outil d’innovation et de développement économique pour les entreprises de notre territoire » a déclaré Georges Méric, le président du conseil départemental de Haute-Garonne.

>>> Le portail Open Data de la Haute-Garonne : cliquez ici

Julien Leroy

08 Jan

Objet connecté : La Poste choisit le toulousain Sigfox pour lancer son nouveau service postal « Domino »

La Poste vient de choisir la société toulousaine Sigfox pour lancer son nouveau service postal : « Domino ». Il s’agit d’un objet connecté (IoT) installé au fond de sa boite aux lettres pour appeler directement le facteur.

© ARUCO / Thibaut Watrigant

© ARUCO / Thibaut Watrigant

La collaboration entre La Poste et la société Sigfox, basée à Labège près de Toulouse, a été annoncée ce 6 janvier en marge du salon CES de Las Vegas aux Etats-Unis.

Grâce au réseau mondial d’objet connecté développé par Sigfox, le groupe postal français veut expérimenter son nouveau projet innovant : Domino. Ce « service innovant de Colissimo permettra aux particuliers de déposer n’importe quel objet non emballé dans leur boîte aux lettres équipée d’un DOMINO connecté, puis d’appuyer sur ce
bouton pour déclencher la prise en charge complète du colis par La Poste » explique les responsables de Sifgox dans un communiqué.

Cette technologie est destinée à la fois aux particuliers et aux entreprises.

Une zone pilote sera prochainement choisie

Le nouveau service postal sera expérimenté sur une zone pilote dès le premier semestre 2016. « Mais aucun lieu n’a été déterminé à ce jour » nous explique Chantal Miremont, responsable de communication à la Poste de Midi-Pyrénées.

Sigfox est en train de créer un réseau mondial des objets connectés. Une première mondiale. La start-up toulousaine affiche aujourd’hui un chiffre d’affaire de 6 millions d’euros. « On a commencé à trois dans un garage en 2011 et aujourd’hui on est 80 » se rappelle Ludovic Le Moan, le co-fondateur de la société.

Julien Leroy

« Amandyne’s World Mode & beauté », succès de la youtubeuse toulousaine Amandine

Plus de 56 000 internautes suivent chaque semaine sur YouTube, les vidéos de la toulousaine Amandine. Sa chaîne « Amandyne’s World » parle de mode, beauté, séduction, amours, films et séries.

© Amandyne's World

© Amandyne’s World

A 25 ans, la toulousaine Amandine est une youtubeuse à succès. Plus de 56 000 personnes la suivent sur sa chaîne YouTube : Amandyne’s World, spécialisée dans la mode et beauté. Plus de 116 vidéos sont disponibles.

« Je donne des conseils mode et beauté, cheveux, séduction, amour et films » explique la jeune blonde sur la plateforme. Les thématiques sont ainsi très variées : les films de Noël à voir, des conseils de coiffure ou de maquillage, comment séduire un garçon ou une fille, des idées de goûter, des conseils vestimentaires,… Chaque vidéo est montée et agrémentée d’animations.

« Un jour, je cherchais sur Internet une coiffure pour une soirée » nous explique Amandine. Elle découvre alors l’univers des vidéos de mode et beauté sur YouTube. « De fil en aiguille, je me suis dis : pourquoi pas moi« . C’est ainsi qu’elle poste sa première vidéo le 14 février 2014. Depuis, elle produit régulièrement une vidéo de quelques minutes. « Cela me prend 24 heures pour la réaliser » détaille la jeune femme originaire de Saint-Gaudens. 

Quelle est votre particularité face aux nombreuses Youtubeuse de mode ? « Mes vidéos de séduction sont très demandées » répond-elle. Un créneau suggéré par ses abonnés qui « me posaient de nombreuses questions« . Amandine tente de répondre à toutes les interrogations : 7 signes qui prouvent qu’il ne tient pas à toi, 5 choses que les mecs font secrètement quand ils vous aiment, rendre jaloux un garçon,…

Mais surtout, la professionnelle en communication web social « n’en fait pas quelque chose de commercial » explique-t-elle. C’est une passionnée de la mode avant tout. Un enthousiasme qui se voit dans chacune des vidéos.

>>> Sa chaîne YouTube :AmandynesWorl

Amandyne’s World se décline également sur un blog, sur Facebook et sur Instagram.

>>> sa dernière vidéo postée le 27 décembre :

Julien Leroy

05 Jan

« Qui dit miam ! », l’appli qui simplifie l’accès aux menus des cantines scolaires de Toulouse

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« Avant de préparer le repas de mon enfant le soir, je jette un œil à mon téléphone pour voir ce qu’il a mangé à l’école à midi. Je ne vais quand même pas lui faire deux fois des pâtes dans la même journée ! »

Cette réflexion est désormais possible à Toulouse avec l’application « Qui dit Miam ! » qui permet d’accéder rapidement aux menus des écoles primaires et maternelles de la ville. D’un geste sur son smartphone on visualise le menu du jour.

Pratique pour faire la cuisine le soir, mais aussi pour surveiller dans les menus des jours suivants, la présence potentielle d’allergènes. Les menus des cantines de Toulouse sont déjà en ligne sur le site de la ville, mais l’appli simplifie largement l’accès. 

screen568x568-2« Qui dit Miam ! » a été développée par la société Absolum Design, installée à Lacroix-Falgarde près de Toulouse. A l’origine une idée de Guillaume Vidoni, mise au point par Aurélien Clauzel  avec le soutien d’Olivier Melet. 

« On a travaillé avec la ville de Toulouse et Toulouse Métropole, dans le cadre de la démarche Smart City, explique Aurélien Clauzel. Nous avons été le premier projet retenu. La démarche Smart City permet de mettre l’appli en test grandeur nature et d’en faire la promotion ».

L’appli est donc téléchargeable gratuitement sur les plateformes AppleStore et GooglePlay jusqu’au 1er juillet 2016. Et ça marche ! En deux mois, avec peu de publicité, on compte déjà 850 utilisateurs actifs !

Au-delà de cette période de test, Aurélien Clauzel espère pouvoir développer un business plan, notamment avec la ville de Toulouse. Mais d’autres villes en France pourraient être intéressées par ce concept d’une grande efficacité et surtout d’une grande simplicité. Et c’est bien connu : tout ce qui simplifie la vie des parents est bienvenu !

Fabrice Valéry (@fabvalery)

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