13 Mar

Toulouse : la start-up Brico Privé recrute 50 personnes et agrandit son siège

Tout va bien pour la start-up « Brico Privé » installée à L’Union, près de Toulouse. Le leader français des ventes privées en ligne dédiées au bricolage, jardinage et aménagement de la maison, va agrandir ses locaux et ouvre 50 postes.

© Brico Privé

© Brico Privé

Brico Privé est l’une des success story du numérique toulousain. Créé en 2012, la start-up est aujourd’hui le premier site web français spécialisé dans les ventes privées dédiées au bricolage, jardinage et aménagement de la maison. Fin 2017, elle affichait un chiffre d’affaires de 60 millions d’euros. 

Si bien que la société a du agrandir son siège historique de L’Union en périphérie de Toulouse. Après plusieurs mois de chantier, Brico Privé vient de finir une extension de 600 m².

« Au départ, nous cherchions de nouveaux locaux mais nous avons pris la décision de rester sur l’Union pour des raisons pratiques. Nous sommes tout proches de la rocade et du métro, nos salariés ont pris leurs habitudes de transport, (..). L’extension nous a parue alors la solution la plus adaptée » explique Julien Boué, président de Brico Privé.

Cette nouvelle superficie va surtout permettre d’accueillir les futurs recrutements. Brico Privé cherche 50 collaborateurs d’ici la fin de l’année.

« Tous les services sont concernés par cette nouvelle vague de recrutement. Du pôle achat en passant par la création de nouveaux services data et intelligence artificielle, nous souhaitons renforcer nos équipes à tous les niveaux pour permettre une meilleure maîtrise des performances avec nos marques partenaires » confie Marc Leverger, co-fondateur.

A terme, l’e-commerçant du bricolage comptera 200 salariés.

Pour les candidats potentiels, toutes les offres sont sur www.bricoprive.com.

Julien Leroy

Le « France Digitale Tour » fait étape (pour la première fois) à Toulouse

Pour la première fois, le tour de France Digitale passe à Toulouse, ce jeudi 15 mars. Cette association nationale de startups et fonds d’investissements, organise une journée de conseils et de rencontres pour aider les jeunes pousses du numérique.

© France Digitale

© France Digitale

L’une des plus importantes associations nationales d’entrepreneurs et d’investisseurs du numérique, France Digitale, fait étape à Toulouse ce jeudi 15 mars dans les locaux de la Mêlée Numérique. 

La journée (gratuit) s’adresse essentiellement aux start-up, aux entrepreneurs qui se lancent dans l’aventure et aux fonds d’investissement.

L’objectif de France Digitale est de rencontrer, d’aider et de conseiller les acteurs de écosystème numérique toulousain.

La matinée sera consacrée aux échanges entre les startupeurs, les élus locaux et les membres du bureau de France Digitale. Puis, l’après-midi sera dédiée aux rencontres entre jeunes pousses et fonds d’investissements parisiens.

Un rendez-vous incontournable pour les acteurs locaux qui veulent développer leur réseaux.

>> Inscription et info sur le site de La cantine de la Mêlée numérique de Toulouse

Julien Leroy

12 Mar

La start-up Privateaser (créée par un Montalbanais) lève 10 millions d’euros

Le « Airbnb » des bars et restaurants annonce ce lundi 12 mars, une levée de fonds de 10 millions d’euros. La plateforme propose de privatiser un café, une salle de location ou un restaurant pour une fête. Créée par un Montalbanais en 2014, elle a déjà attiré plus de 2 millions d’utilisateurs.

L'équipe de Privateaser en avril 2017 - © Privateaser

L’équipe de Privateaser en avril 2017 – © Privateaser

10 millions d’euros. C’est le montant de la quatrième levée de fonds de Privateaser

Lancée en 2014 à Paris par le Montalbanais Nicolas Furlani, la jeune pousse de l’événementiel a déjà levé 300.000 euros en mars 2015, 500.000 euros en février 2016 et 3 millions en novembre 2016. 

Ce tour de table annoncé ce lundi 12 mars, a été bouclé auprès des 4 fonds d’investissements : Serena Capital, Isai, FJ Labs et Kerala Ventures.

Privateaser est destiné à ceux qui cherchent un lieu pour organiser un repas entre collègues, un anniversaire ou une fête entre amis. La plateforme propose ainsi de réserver et de privatiser, en quelques clics, un café, une brasserie, un restaurant ou une salle de location.

A ce jour, la start-up propose 3000 établissements partout en France à 2 millions d’utilisateurs et 4000 entreprises. 

D’ailleurs, ces dernières sont le nouveau créneau de la start-up. La levée de fonds de mars 2018 doit permette de développer le modèle BtoB. « Le marché de l’événementiel des affaires représente 20 milliards d’euros en France et 100 milliards en Europe » précise le fondateur de Privateaser

Derrière ce « Airbnb » des lieux à privatiser, se trouve un jeune Montalbanais : Nicolas Furlani. Après des études à Montauban et Toulouse, il est diplômé de Centrale Paris. Avec deux camarades, Alexandre Paepegaey et Raphaël Kolm, ils montent la start-up dans la capitale en 2014.

Julien Leroy

11 Mar

Montpellier : la start-up Vaonis invente un télescope aussi simple qu’un… iPhone

Baptisé « Stellina », ce télescope unique au monde, est doté d’un seul bouton. Il suffit de cliquer dessus pour le piloter directement avec un smartphone. L’utilisateur peut alors photographier les étoiles et les partager aussitôt sur les réseaux sociaux.

© Vaonis

© Vaonis

A Montpellier, la start-up Vaonis veut révolutionner le marché de l’astronomie grand public.

Pour cela, elle a imaginé un télescope connecté aussi simple qu’un iPhone !

Baptisé « Stellina », ce cube épuré est doté d’un seul bouton. Il suffit de cliquer dessus et le télescope se déplie automatiquement. Il se pilote directement avec une tablette ou un smartphone. Au bout de quelques minutes, l’appareil est prêt à photographier l’astre. Les photos sont à partager aussitôt sur les réseaux sociaux.

Destiné aux passionnés et aux novices d’astronomie, ce bijou technologique est également le plus petit télescope au monde. Avec ses 7 kg, il rentre facilement dans un sac à dos.

Cette innovation unique est née dans la tête de Cyril Dupuy. A 27 ans, cet ingénieur est un passionné des étoiles. Il est d’ailleurs le président du club d’astronomie de Castelnau-le-Lez, près de Montgolfier.

Après une levée de fonds de 1,7 million d’euros en décembre 2017 et une présentation au CES de Las Vegas, Vaonis espère en vendre 1000 exemplaires d’ici la fin de l’année.

Le premier modèle sortira au printemps au prix de 2100 euros.

>> Plus d’info en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – mars 2018  :

Julien Leroy

07 Mar

Une application toulousaine vous aide à rédiger (le plus beau) des textos de vœux

Pour célébrer un anniversaire, une naissance, un mariage ou le nouvel an, un ingénieur toulousain vient de créer l’application gratuite « SMS Voeux ». En quelques clics, elle vous aide à rédiger et à envoyer le plus beau des textos.

© LIONEL VADAM / MaxPPP

© LIONEL VADAM / MaxPPP

« SMS de Vœux » fait parti des petites applications qui facilite la vie.

Entièrement gratuit, elle permet d’envoyer des messages de vœux pour toutes les grandes occasions de l’année : anniversaire, mariage, fête des mères, fête des pères, fête du travail, la Saint Patrick, Pâques, Noel, Nouvel an…

L’application propose ainsi des messages déjà rédigés pour ceux qui sont à court d’idée. Mais, le texte reste entièrement personnalisable.

« Il est possible d’en faire une carte de vœux et d’y rajouter ses propres citations, étiquettes et avatar mais aussi d’importer ses photos et réaliser un montage simplement et rapidement » précise le concepteur.

Il suffit ensuite d’envoyer votre message par Email, MMS ou sur les réseaux sociaux (Facebook, Messenger, WhatsApp, Snapchat, Twitter, Instagram, LinkedIn,…).

L’application est pratique et facile à utiliser. Une version Premium payante est également disponible.

L’ensemble a été conçu Pierre-Edouard Galtier, un ingénieur en informatique de Toulouse. Il a déjà créé d’autres applications comme « Mega Pads » qui permet de transformer son mobile en drum pad. Ou « SMS de Blagues » qui envoi des messages humoristiques aux amis. 

>> Pour télécharger « SMS de Voeux » sur Google Play : cliquer ici

Julien Leroy

06 Mar

Un cabinet de Toulouse crée un « robot avocat »

Le cabinet toulousain, ALTIJ, s’apprête à lancer son premier robot-avocat. Il s’agit d’un chatbot dédié au nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles (RGPD). Il répondra automatiquement aux questions des entreprises.

© Sigrid Olsson / Maxppp

© Sigrid Olsson / Maxppp

Toulouse va participer au phénomène des « robots-avocats ». Apparus dans les milieux juridiques anglo-saxons ces dernières années, le mouvement arrive peu à peu en France.

Le premier avocat virtuel toulousain est destiné à répondre aux entreprises qui doivent appliquer le nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles. La loi RGPD rentre en vigueur le 25 mai prochain

Sous forme d’un chatbot, le robot en ligne répond automatiquement et 24h/24, aux interrogations des entrepreneurs.

« Il permet des interactions en langage naturel. Les utilisateurs lui parlent comme s’ils conversaient avec un conseiller humain, grâce au Traitement Automatique du Langage (TAL) » précisent les concepteurs.

« Notre initiative s’adresse à tous les professionnels en lien avec le sujet de la conformité RGPD. Nous leur diffusons un premier niveau d’information sur le RGPD et les guidons pas à pas dans le traitement des données personnelles qu’ils seront amenés à gérer » complète Maître France Charruyer, fondatrice du cabinet ALTIJ.

L’avocat électronique a été développé par ALTIJ, cabinet d’avocats implanté à Toulouse et Bordeaux et la société Inbenta France. Cette start-up toulousaine (filiale de la maison mère espagnole) a été fondée par Luc Truntzler. Elle conçoit des chatbots et des outils de recherche intelligente. 

Ce premier robot avocat sera officiellement inauguré ce mardi 13 mars dans les locaux d’ALTIJ à Bordeaux.

>>> Plus d’info sur : www.conformitergpd.expert

Julien Leroy

05 Mar

Des Toulousains inventent « Zefly », le comparateur… des comparateurs de vols

Chercher sur plusieurs comparateurs de vols via une interface unique. C’est (désormais) possible avec la plate-forme toulousaine Zefly. Il suffit de saisir une seule fois ses critères de voyage et le tour est joué !

© JEAN FRANCOIS FREY / MaxPPP

© JEAN FRANCOIS FREY / MaxPPP

Un comparateur… des comparateurs de vols. C’est le concept crée par la start-up toulousaine Zefly.

Pour leurs vacances, les internautes recherchent un billet d’avion en utilisant plusieurs comparateurs de vols avant de se décider. « Pour cela, ils doivent ressaisir sur chaque site leur recherche : Ville de départ, la destination, les dates, le nombre de voyage,… »  expliquent Nathalie et Daniel Girardot, les fondateurs de l’application. 

« C’est en partant de ce constat que nous avons imaginé un concept inédit en France : une interface commune à tous les comparateurs de vols afin de supprimer des tâches répétitives et chronophages pour l’internaute » poursuivent-ils.

La plateforme Zefly propose ainsi une seule interface commune et directement connectée à 9 comparateurs de vols (Liligo, Easyvoyage, Momondo, Skyscanner, Kelkoo,…) 

Même s’il manque quelques géants du secteur (Opodo, Kayak,…), le service est efficace et entièrement gratuit.

Le modèle économique de Zefly est basé sur des partenariats avec les comparateurs de vols. C’est derniers reversent des commissions proportionnelles au nombre de visiteurs. « Pour autant, les prix qu’ils affichent via Zefly sont strictement identiques aux prix affichés sur leurs sites » précise les concepteurs

Un gain de temps pour trouver le meilleur vol

Derrière cette idée se trouve Nathalie et Daniel Girardot. Ce couple toulousain quadragénaire a eu l’idée en organisant leurs vacances.

« Des heures passées sur des comparateurs de vols pour essayer de trouver le billet d’avion le moins cher. Le déclic, c’est en écoutant une émission radio: nous avons réalisé que des milliers de Français faisaient comme nous« . Après un an de travail, le service ouvre fin janvier. 

Zefly fait penser à Flybot, le premier robot qui recherche à votre place un billet d’avion. Conçu par deux jeunes toulousains, il suffit de dialoguer, via Facebook, avec ce nouveau compagnon de voyage, pour trouver également le vol le moins cher. 

>>> Pour utiliser Zefly : www.zefly.fr

Julien Leroy

02 Mar

Aprés le buzz à l’aéroport de Toulouse, les deux artistes d’Hallelujah sortent un single

Après avoir ému les internautes avec leur reprise d’Hallelujah dans le hall de l’aéroport Toulouse-Blagnac (3 millions de vues), Valérie Marie  et Gregory Benchenafi se sont retrouvés pour enregistrer à nouveau la chanson. Le single sort aujourd’hui.

© Valérie Marie

© Valérie Marie

La belle histoire des deux artistes de l’aéroport Toulouse-Blagnac continue. 

Ils se sont rencontrés pour la première fois le 19 février dernier dans le hall de l’aéroport Toulouse-Blagnac. Retardés par leur vol, la pianiste toulousaine Valérie Marie et le chanteur lyrique Gregory Benchenafi, improvisent une reprise musicale « Hallelujah » de Leonard Cohen. 

Filmé par un voyageur, la vidéo fait rapidement le buzz sur les réseaux sociaux touchant des millions d’internautes. A ce jour, elle totalise plus de 3 millions de vues.

« Un moment merveilleux, magique » avoue sur le moment, la pianiste toulousaine. Si bien que les deux artistes se sont retrouvés quelques jours plus tard à Paris. Ils décident alors d’enregistrer à nouveau le morceau dans un studio.

Le single « Hallelujah » est disponible depuis ce vendredi 2 mars sur les plateformes Deezer et iTunes. De quoi prolonger la magie et se faire connaître auprès du grand public. 

Une équipe de France 2 (Laeticia Legendre Didier Dahan) a pu suivre l’enregistrement :

Julien Leroy

26 Fév

Third Editions, une maison d’édition toulousaine spécialisée dans le… jeu vidéo

Née à Toulouse, Third Éditions publie des livres sur l’histoire et l’univers des plus grandes sagas du jeu vidéo. Un pari osé qui fonctionne ! Aujourd’hui, cette maison d’édition, unique en France, compte 42 ouvrages et plus de 300.000 exemplaires vendus.

© Third Editions

© Third Editions

Publier des livres (sans image) sur l’histoire et la culture d’un grand jeu vidéo. Il fallait oser. Deux Toulousains, Mehdi El Kanafi et Nicolas Courcier, l’ont fait en 2015, en créant Third Éditions. 

« On se consacre à l’étude des plus grandes sagas de l’histoire du jeu vidéo, en prenant le parti d’aborder ces titres comme des œuvres culturelles à part entière » expliquent les deux fondateurs.

Ecrit par des journalistes spécialisés, leurs livres proposent des essais fouillés sur l’univers, sur les créateurs ou sur l’histoire de l’oeuvre. Une ligne éditoriale unique en France.

Certains ouvrages, comme Zelda ou Final Fantasy, ont dépassé les 30 000 exemplaires vendus et ont été traduits en italien, russe, anglais ou espagnol

D’autant plus que les ouvrages ne comportent aucune illustration. « Rien que le texte ! C’est notre marque de fabrique afin de laisser plus de place à l’analyse » précisent-ils.

En 3 ans d’existence, la maison d’édition toulousaine a publié 42 ouvrages sur les plus grandes sagas du jeu vidéo et des comics : Zelda, Final Fantasy, Dark Souls, Residene Evil, Dragon Ball,…

Profitant d’une communauté de passionnés, Third Éditions a déjà vendu 300.000 exemplaires. « Certains ouvrages, comme Zelda ou Final Fantasy, ont dépassé les 30 000 exemplaires vendus et ont été traduits en italien, russe, anglais ou espagnol » expliquent les éditeurs.

« Tous nos livres sont en vente dans l’ensemble du réseau de distribution : librairies traditionnelles, grandes surfaces spécialisées (de type Fnac et Cultura) et espaces culturels de certaines grandes surfaces (Leclerc) » précisent-ils.

Le succès a permis de recruter deux personnes supplémentaires : Clovis Salvat et Damien Mecheri. En attendant d’étoffer l’équipe, autres nouveaux ouvrages dont l’un sur le jeu Diablo, sortiront au printemps.

>> Site officiel : www.thirdeditions.com

Julien Leroy

24 Fév

IoT Valley : une cité de start-up dédiée aux objets connectés verra le jour près de Toulouse

Le village IoT Valley de Labège (Haute-Garonne) verra le jour en 2021. Le permis de construire vient d’être déposé. Ce vaste projet immobilier de 85.000 m² va accueillir les start-up et les formations dédiées aux objets connectés dont la pépite Sigfox.

Le futur campus de l'IoT Valley de Labège

Le futur campus de l’IoT Valley de Labège

C’est officiel. Après 4 mois de retard, le permis de construire du premier lot du projet de l’IoT Valley de Labège (Haute-Garonne), a été déposé ce lundi 19 février à la préfecture de Toulouse.

Ce premier ensemble de 27.000 m² « regroupera des espaces de bureaux et de co-working, une agora modulable, des lieux de formation, des parkings, 1 000 m2 de commerce ainsi qu’un hôtel de 140 chambres » précise l’association IoT Valley soutenue par le conseil régional et la communauté de commune du Sicoval.

Ce vaste projet immobilier doit d’abord accueillir tous les membres de l’écosystème de l’IoT Valley de Labège spécialisée dans les objets connectés. Au total, 50 start-up employant 600 personnes, vont s’y installer dont le siège de Sigfox. A l’heure actuelle, les jeunes pousses vivent dans 3 bâtiments répartis dans le quartier économique de Labège.

Mais le lieu hébergera également des FabLabs, des organismes de formation et l’accélérateur de start-up ‘Le Connected Camp ».

Dès 2021, cette future cité de start-up comptera 1300 collaborateurs. La pose de la première pose est programmé pour fin 2018.

A terme, l’objectif est de créer un campus mondial de 85.000 m² dédié aux objets connectés.

L’idée est portée par Ludovic Le Moan, fondateur de l’IoT Valley et CEO de la pépite Sigfox. Son entreprise est aujourd’hui le premier fournisseur mondial de services de connectivité IoT et attire les convoitises. En espérant qu’un éventuel rachat de Sigfox ne remette pas en cause ce campus unique. 

Julien Leroy

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