02 Fév

Le Rugbynistère, le site web des passionnés de rugby créé par deux Toulousains

Dans le monde du rugby, LeRugbynistère.fr est l’une des références sur Internet. Un site web créé par deux amis toulousains en 2008. Aujourd’hui, près d’un million passionné lisent, chaque mois, leurs analyses et leurs infos décalées.

© Le Rugbynistère

© Le Rugbynistère

Lorsque vous demandez à un passionné de rugby quels sont les meilleurs sites pour suivre l’actualité de l’Ovalie. Il vous répond immédiatement Rugbyrama (groupe Eurosport) et… Le Rugbynistère. Née en 2008, ce média en ligne est devenu, au fil des années, un incontournable pour les fans.

Un site web fait pour et par les passionnés de rugby

On y trouve (évidemment) les résultats et l’actualité du XV de France mais aussi du TOP 14, de la PRO D2 et des championnats amateurs.

Mais le succès de Rugbynistère repose sur les analyses d’experts et les informations décalées. « Notre objectif était de créer une alternative à l’info rugbystique façon “journalisme traditionnel”, en produisant des articles experts, décalés, pédagogiques, ou amusants » résume Maxime Rouquié, l’un des deux fondateurs. ‘ »C’est l’ADN de notre site web » poursuit-il.

Crée par deux Toulousains

L’idée de Rugbynistère a germé dans la tête de deux Toulousains : Maxime Rouquié et Nicolas Rousse. Ces deux joueurs de rugby se sont rencontrés pour la première fois non pas dans la ville rose mais… à Stockholm. Le premier était arbitre pour la fédération suédoise. Le second évoluait dans le championnat local.

Dès leur retour à Toulouse en 2008, les deux amis se lancent dans l’aventure. Une décennie plus tard, leur site web est une référence nationale. « Nous avons 2 millions de clics par mois et près d’un million de visiteur unique » précisent-ils. Rugbynistère est également numéro 1 sur les réseaux sociaux en nombre d’abonnés. Et revendique la seconde place des sites web de rugby en France. 

Notre objectif était de créer une alternative à l’info rugbystique façon “journalisme traditionnel”, en produisant des articles experts, décalés, pédagogiques ou amusants » – Maxime Rouquié, confondateur

De l’ordinateur au brassage de bière

La start-up compte aujourd’hui 5 salariés et son financement repose essentiellement sur la publicité en ligne. « Mais nous diversifions nos ressources » expliquent Maxime Rouquié et Nicolas Rousse. 

C’est ainsi que les deux compères infatigables ont ouvert, en août 2014, un bar « Le Ministère » dans le centre-ville de Toulouse. Le lieu est (évidemment) dédié au rugby. Les amateurs s’y pressent pour regarder les retransmissions de match et déguster (avec modération) la bière « La Copine », brassée par les patrons.

Chaque  année, au mois de juin, ils organisent également le Rugby No Limit, un événement autour de leur sport. Depuis janvier 2018, le site web commercialise des packs de billets pour le TOP 14, en partenariat avec le Stade Toulousain. Enfin, une levée de fonds est en cours.

L’univers de Rugbynistère peut se résumer en quelques mots : rugby, convivialité (et business)… à l’image de leur sport favori. 

>>> Site de Rugbynistere : www.lerugbynistere.fr

Julien Leroy

01 Fév

Un Perpignanais invente le doudou connecté (pour ne jamais le perdre)

Un doudou perdu et c’est le drame ! Un jeune entrepreneur de Perpignan, Julien Martin, a trouvé la solution avec « Patxi ». Il s’agit d’un objet connecté qui s’attache à la peluche préféré de l’enfant.

© Odesy

© Odesy

Comment bannir à jamais la phrase « il est où le doudou ? » Le rêve pour les parents et les enfants.

Le Perpignanais Julien Martin a trouvé la solution en inventant un doudou connecté baptisé « PatXi ».

Il s’agit d’un petit objet IoT qui s’accroche à n’importe quel peluche. Si ce dernier est perdu, il suffit simplement de le localiser avec son smartphone.

Le tout utilise la technologie Bluetooth et se met en veille lorsque bébé joue ou dort avec son doudou préféré.  « Aucune onde n’est émise » selon son concepteur.

L’idée a germé dans la tête de Julien Martin lorsqu’il est devenu papa pour la première fois. C’est l’angoisse de perdre la peluche de son fils qui l’a conduit à trouver une solution.

Après une campagne de financement participatif, le doudou connecté est en pré-vente sur le site de la start-up de Julien Martin : www.odesy.fr

>> Plus d’info en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – Janvier 2018  :

Julien Leroy

30 Jan

A Toulouse, Swimmy lance le premier « Airbnb » des piscines d’hôtels

Après la location de piscines entre particuliers, l’application Swimmy s’ouvre aux hôtels. Elle propose aux établissements de rendre leur piscine accessible à une clientèle extérieure. Le nouveau service est lancé nationalement ce mardi 30 janvier à Toulouse.

© Pullman Toulouse Airport / Accor Hôtel

© Pullman Toulouse Airport / Accor Hôtel

Envie de plonger dans une piscine d’un grand hôtel sans être client ? C’est désormais possible pour les Toulousains.

La plateforme parisienne Swimmy lance ce mardi 30 janvier à Toulouse, son nouveau service d’Airbnb des piscines d’hôtels. 

Le principe est simple : Une fois connecté sur la plateforme, il suffit de choisir un hôtel qui propose sa piscine accessible à une clientèle extérieure. Comptez environ 15 euros pour une heure de réservation. Et à vous la piscine à 32 degrés ou le cadre d’un hôtel luxueux ! 

Un service lancé dans un hôtel toulousain 4 étoiles  

L’hôtel Pullman de Toulouse est le premier établissement français à proposer ce service de piscines pour les particuliers.

« L’hôtel ouvre ses portes au-delà de sa propre clientèle hébergée et offre une véritable opportunité aux quelques milliers de salariés de Blagnac » précise son directeur Olivier Thomas. « Les plusieurs millions de passagers qui transitent par l’aéroport pourront également bénéficier de cette proposition« .

A terme, « Nous espérons que cette nouvelle opportunité début d’une longue série d’ouverture de piscines d’hôtels » espère l’équipe de la start-up. 

Fondée en juillet 2016 à Paris, Swimmy est le leader national de la location de piscines entre particuliers. Ce secteur est en plein boom depuis l’été 2017.

>>> Plus d’info sur www.swimmy.fr

Julien Leroy

23 Jan

Des Toulousains forment au Bitcoin et autres monnaies virtuelles

Le marché mondial du bitcoin pèse 250 milliards de dollars. Ce qui fait rêver. C’est ainsi que des Toulousains ont crée Bitconseil. La start-up conseille et forme sur les monnaies virtuelles. Reportage.

Crédit : Bruno Levesque / MaxPPP

Crédit : Bruno Levesque / MaxPPP

Le bitcoin est une monnaie virtuelle utilisée sur Internet. Contrairement aux devises traditionnelles, elle n’est ni « frappée » ni administrée par une Banque centrale et un Etat. Elle a même été conçue avec l’objectif précis de se débarrasser d’organismes de contrôle.

Le terme vient de l’anglais « coin » (pièce de monnaie) et de « bit » (unité d’information binaire en informatique).

Aujourd’hui, le marché mondial du bitcoin pèse 250 milliards de dollars. Son cours a augmenté de 700% en 2017. Ce qui fait rêver de nombreux investisseurs et particuliers.

C’est pourquoi, 4 Toulousains (Benoît Huguet, Nazim Morera, Morgan Phuc Calmejane et Robin Calmejane) ont crée, en 2015, Bitconseil. Hébergée chez At Home, la start-up conseille et analyse l’émergence des monnaies virtuelles comme le Bitcoin.

Apero bitcoin pour les passionnés et les curieux

Tous les 15 jours, les fondateurs de Bitconseil organisent un apéro dans un bar de Toulouse, pour rassembler les amateurs. Une cinquantaine de passionnés ou de curieux se retrouvent ainsi autour d’une bière, pour parler de ces monnaies virtuelles émergentes.

Bitconseil publie également des tutos et vend, depuis novembre 2017, un guide de 120 pages sur le fonctionnement des cryptomonnaies et de la blockchain. Parallèlement, des ateliers sont organisés à la Cantine de Toulouse. 

Au-de-là de cette activité d’édition et d’information, Bitconseil conseil sur ce marché virtuel. D’ailleurs, la jeune pousse a accompagné « Hush », la nouvelle néobanque du Toulousain Eric Charpentier (fondateur de Morning)

>> Découvrez le bitcoin et les Toulousains de Bitconseil avec le reportage de Denis Tanchereau, Jean-Pierre Duntze et Marc Raturat :

Julien Leroy

Football : les meilleurs tweets sur le départ de Pascal Dupraz du TFC

Le limogeage de Pascal Dupraz ne laisse pas insensible les internautes et les supporters du TFC. Sur Twitter, le sort du coach des Violets a fait le buzz avec plus de 10.000 messages. Ils sont nombreux à le remercier.

© MaxPPP

© MaxPPP

En mai 2016, Pascal Dupraz a été le premier entraîneur de Ligue 1 à ouvrir un compte Twitter. Naturellement, le coach du TFC a réagi, pour la première fois, sur son compte officiel, après avoir été limogé ce lundi 21 janvier.

Parallèlement, les messages de réaction se sont multipliés sur les réseaux sociaux. Malgré les mauvais résultats de ces dernières semaines, les internautes sont nombreux à le remercier. Pour eux, il a été l’artisan du maintien inespéré du TFC en 2016.

>> Petit florilège des meilleures publications: 

Julien Leroy

22 Jan

Succès de la web-série toulousaine « Challenger »

Les web-séries se multiplient en Occitanie. Exemple avec « Challenger », une création toulousaine née en 2017 et récompensée à plusieurs reprises dans des festivals. A (re)découvrir en attendant la prochaine saison.

© Challenger

© Challenger

« Challenger » est une mini-série de 8 épisodes. La création originale raconte l’histoire d’un tueur à gage, Matt, qui reprend la route. Il redevient ainsi le Challenger. Accompagné de deux amis, Katana et Lolie, sa quête l’amène à traverser le territoire des Rouges pour trouver le Shaman et traquer son plus vieil ennemi : le Capitaine.

Une mise en image façon « Blade Runner »

L’originalité (et la force) de cette web-série repose sur sa mise en image.

Les scènes se rapprochent de l’ambiance du film « Blade Runner » (réalisé par Ridley Scott en 1982) entre ombre et lumière. Mais c’est surtout, la bande originale qui apporte l’originalité. En effet, vil n’y a aucun dialogue. Seuls des narrateurs seront audibles accompagné de clips musicaux issus des années 1980.

« La force du projet réside dans une bo synthwave comme si vous écoutiez des sons issus des années 80 tout en regardant un projet contemporain. Le cocktail est osé » avouent les deux réalisateurs, Marthi et Hob. 

Récompensée à multiples reprises

Si la web-série a connu un relative succès sur YouTube (quelques milliers de vues), elle a été sélectionnée et récompensée à plusieurs reprises dans des festivals.

« Challenger » a ainsi obtenu, en 2016, le Prix du public et la meilleur bande originale au festival francophone de la websérie (FFW) de Toulouse. La série a également été sélectionnée au festival de TV de Luchon en 2017 et au FisMed 2016.

« La Corée nous a élu « meilleure série d’action » en 2017 » rajoutent les réalisateurs. Et « nous avons été diffusé en hors compétition à Berlin webfest en septembre 2017″.

© A Muller

© A Muller

Tournée entre Toulouse et Toulon

La web série est née dans l’imagination de Thibault Marthi et Thomas « Hob » Veyrier. Le premier est auteur et réalisateur. Le second est un professionnel du Streaming vidéo.

Avec l’aide d’acteurs bénévoles et d’une campagne de financement participatif (3000 euros), ils ont tourné les scènes de « Challenger » entre Toulouse et Toulon.

Les deux amis préparent (déjà) une autre web-série baptisée « Night Patrol ». « Il s’agit d’un préquel à Challenger, elle se déroule quelques années avant les événements de Challenger et explique comment la relation entre le héros (Matt, le Challenger) et le Capitaine (policier) s’est détérioré » me précise Thibault Marthi. A suivre… 

>>> Découvrez en image, le premier épisode de « Challenger – Chapitre 0 » :

>>> Pour découvrir la suite : cliquez ici

Julien Leroy

19 Jan

Des Gardois lancent « Ammy Générations » pour s’entraider entre jeunes et retraités

Une start-up de Nîmes, Appliservvient de créer le premier site de rencontre social entre générations. Baptisé « Ammy Générations », il s’agit d’une plateforme de services entre jeunes et seniors.

© Ammy Generation

© Ammy Generation

S’entraider entre générations. C’est le concept d’un nouveau site web crée par la start-up gardoise Appliserv.

Ammy Générations veut mettre en relation les jeunes et les retraités. D’un côté, on peut trouver l’annonce d’un senior ou d’un étudiant qui cherche à partager sa passion de la cuisine japonaise, un trajet en voiture ou à tondre sa pelouse. Et de l’autre côté, l’utilisateur peut poster une offre de baby-sitting, d’aide à domicile ou de chambre à louer. L’échange peut être gratuit, rémunéré ou en échange d’un autre troc.

La plateforme solidaire veut ainsi lutter contre la solitude des aînés.

« Au départ, nous avons cherché une solution pour soutenir le travail des aidants, des soignants et des professionnels de santé dans leurs actions de prévention et de maintien de l’autonomie. Avec Ammy, nous voulions aller plus loin avec l’idée de créer un réseau social solidaire » explique Fabien Ramperez, fondateur de Appliserv.

Un défi car près de 13 millions français ont de plus de 65 ans dont un million est isolé.

« Ammy ambitionne d’être la communauté dédiée au « bien vieillir », (..)et plus généralement au « mieux vivre ensemble » pour toute personne isolée, par l’âge, un handicap moteur ou cognitif, une perte d’autonomie » poursuit le concepteur.

L’utilisation du site est gratuite mais l’accès est payant. Comptez une adhésion de 18 € par an.

Lancé il y a quelques semaines, Ammy générations a déjà été récompensé, en décembre 2017, par le prix régional de l’économie sociale (EES) d’Occitanie.

>>> Plus d’info sur ammy.fr/generations

Ou en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – Janvier 2018  :

Julien Leroy

16 Jan

La start-up toulousaine CityMeo lève 2,5 millions d’euros pour ses écrans connectés

Basé à l’IoT de Labège, la startup CityMeo annonce ce mardi 16 janvier, avoir bouclé une levée de fonds de 2,5 millions d’euros. La jeune est spécialisée dans les écrans de communication connectés.

© Citymeo / Février 2017

© Citymeo / Février 2017

Les écrans connectés de CityMeo séduisent.

La jeune pousse de Labège près de Toulouse, annonce ce mardi 16 janvier, une levée de fonds de 2,5 millions d’euros.

Un tour de table bouclé avec CapHorn Invest. Il s’agit d’un fonds d’investissement indépendant français dédié aux jeunes PME françaises. C’est la seconde levée de fonds de la société après celle de 2015.

La somme va permettre d’accélérer le développement à l’international, notamment en Allemagne et au Royaume-Uni. 

Née en 2012, CityMeo veut révolutionner l’affichage des écrans dans les magasins et les entreprises. Elle a conçu un boitier qui permet de créer, gérer et diffuser des contenus sur des écrans physiques, depuis un ordinateur, tablette ou smartphone. Une offre qui s’adresse à la fois aux régies publicitaires, aux réseaux de point de vente et à la communication internet des grands groupes. 

L’idée a germé dans la tête de 4 diplômés de l’ENSEEIHT à Toulouse, David Keribin, Josselyn Hermitte, Antoine Lubineau et James Packer. En 2013, ils sont repérés lors du Startup Week-end #35 et intègre l’accélérateur de l’IOT Valley à Labège.

Aujourd’hui, la société compte 18 salariés, 5000 écrans déployés dans 7 pays et des gros clients tels que Leclerc, Elior et Veolia. 

Julien Leroy

15 Jan

La Tarnaise Sandra cartonne sur YouTube avec ses vidéos de relaxation

Les vidéos de relaxation issues de la méthode ASMR cartonne sur Internet. Parmi les plus chaînes YouTube les plus suivies en France, se trouve celle de Sandra, une jeune femme de 31 ans basée à Castres. Plus de 71.000 personnes la suivent.

© Sandra Relaxation ASMR

© Sandra Relaxation ASMR

L’ASMR est une méthode de relaxation par le son. Né en 2008 aux Etats-Unies, le concept fait un carton sur Internet avec des milliers de vidéos. En France, la youtubeuse la plus écoutée est Sandra, une jeune Castraise de 31 ans.

Une voix douce, des tapotements, un chuchotement… les techniques de l’ASMR (pour “Autonomous Sensory Meridian Response”) sont surprenantes mais invitent à se relaxer, à se détendre ou aide à à s’endormir.

« Les vidéos se regardent, s’écoutent, avec des écouteurs ou un casque afin de créer une bulle autour de soi » précise Sandra.

« Les Youtubeurs ASMR parlent avec une voix douce, ou chuchotent, et créent des sons avec des objets de tous les jours. Le but étant de lâcher prise, de se concentrer sur le moment présent. Parfois, on peut se retrouver comme en enfance lorsqu’on nous racontait des histoires le soir » poursuit-elle.

Sandra a découvert l’ASMR après une vie parisienne stressante et quelques nuits blanches. « Ces vidéos m’ont aidé lors de périodes stressantes de ma vie où j’avais du mal à dormir. Cette méthode de relaxation a fonctionné pour moi et j’ai donc voulu en faire à mon tour » raconte-t-elle. En 2014, elle lance sa chaîne YouTube et totalise plus de 4 millions de vues en l’espace d’un an.

Aujourd’hui, la centaine de vidéos de la Tarnaise totalise plus de 14 millions de vues et 71.000 abonnés. « Tout le monde n’est pas réceptif à ce type de méthode, mais ça vaut le coup d’essayer ! 🙂 » conclu Sandra…

>>> Une vidéo pour se faire une idée : 

>>> Chaîne YouTube Sandra Relaxation ASMR : Cliquer ici

Julien Leroy

11 Jan

Insolite : quand Toulouse devient célèbre grâce au chien de la star Ariana Grande

Toulouse fait le buzz sur les réseaux sociaux depuis ce mercredi 10 janvier vers 17h00. Le nom de la ville rose a été cité dans des milliers de message grâce… au chien de la chanteuse américaine Ariana Grande. Prénommé « Toulouse », l’animal vient d’être sélectionné dans la catégorie des animaux d’artistes les plus mignons au iHeart Radio Music Awards.

Twitter / © Ariana Grande

© Ariana Grande / 2015

Le hastag #Toulouse affole les réseaux sociaux depuis la publication d’un tweet ce mercredi 10 janvier à 16h47.

Le message provient du compte officiel des « iHeart Radio Music Awards« , un cérémonie américaine qui récompense les meilleurs artistes musicaux de l’année. Cela ressemble beaucoup à nos « NRJ Music Awards ».

Dans ce concours national, il existe également une catégorie des animaux d’artistes les plus mignons. 

« Toulouse » nominé au iHeart Radio Music Awards

Les nominés ont été ainsi dévoilés et parmi eux : « Toulouse ». C’est le nom du chien de la chanteuse américaine Ariana Grande.

Un chihuahua âgé de 5 ans qui porte le nom de la capitale d’Occitanie en hommage au chaton du même nom dans le dessin animé « Les Aristochats ». Sur la page officielle de l’animal, on apprend également que le chat de la star s’appelle lui aussi Toulouse. Un clin d’œil à l’artiste Henri de Toulouse-Lautrec. 

C’est le grand public qui vote sur les réseaux sociaux. Si bien que notre animal « Toulouse » cartonne depuis moins de 24 heures. La ville rose a été cité plus de 80.000 fois ce jeudi 11 janvier sur Twitter. Sans compter Facebook ou instagram. 

Le phénomène va continuer puisque les internautes ont jusqu’à 5 mars pour choisir entre « Toulouse », le chien « Batman » de Demi Lovato, « OursRexha » de Bebe Rexha, « Pépite » de Katy Perry, le chat Olivia de Taylor Swift et le cochon « Pig » de Miley Cyrus.

En 2014, le toutou d’Ariana Grande avait déjà fait le buzz sur Twitter lors de sa présentation aux internautes.

Julien Leroy

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