Au théâtre de La Criée, à Marseille, se joue bientôt un spectacle qui associe les technologies interactives aux illustrations de Rebecca Dautremer projetées sur grand écran.
Dans la fable originale Babayaga, une petite fille est forcée d’abandonner sa propre famille pour aller dans la maison de la terrible ogresse. Mais dans son voyage, elle saura se faire aider par des animaux et affronter les dangers. La compagnie Italienne TPO a mis en scène cette célèbre fable russe dans un mode contemporain, utilisant la danse, des musiques originales et surtout les somptueuses illustrations de Rebecca Dautremer projetées en grand format sur tout le plateau.
Nous vous invitons à participer à notre jeu pour gagner votre place jeudi 4 avril à 19h
Jouez en cliquant ici
Le spectacle qui se joue du 13 au 16 février prochains au Pavillon Noir d’Aix-en-Provence est la reprise d’un trio créé par le chorégraphe en 1982.
A cette époque, quelques mois après avoir créé son ballet Ulysse, Jean-Claude Gallotta présente ce pas de trois qui fait l’unanimité dans la presse. Ce qui émeut dans sa chorégraphie est sa capacité à mêler cérébralité, animalité, humour et joie des sens.
Reprenant l’argument du roman grec attribué à Longus (Chloé, épouse du jeune berger Daphnis, enlevée par des pirates, est ramenée à lui par un miracle du Dieu Pan), Jean-Claude Gallotta a composé une pièce rare, libre dans la circulation des rôles et des désirs.
Intense, ce trio plutôt classique, surtout dans les portés, passe par bien des états, de l’insouciance à une profonde tristesse, de la violence aux touchés les plus doux. Une danse tissée par trois inséparables, de jeunes danseurs qui s’emparent du répertoire de l’aîné. Tout le cinéma nouvelle vague et ses irrésistibles acteurs, tout le bonheur de la danse libre des années 80 sont consignés dans ce Daphnis é Chloé sensuel, sexuel et confiant dans l’avenir. Une chorégraphie aimante pour trois amants.
Les interprètes d’aujourd’hui ont certaines caractéristiques des danseurs de l’époque, essentiellement parce que c’est une danse fatigante, puissante et qu’il faut
être capable de la faire vivre. Il y a Francesca Ziviani, que j’ai croisée au CNSM de Lyon, qui avait dansé un extrait de Trois générations, qui est une très belle danseuse, avec un côté sauvage; il y a Nicolas Diguet qui faisait partie de la distribution de l’Homme à tête de chou; j’ai très vite pensé qu’il était fait pour cette pièce, il est vif et impétueux; et il y a Sébastien Ledig, du CNSM de Paris, qui avait dansé mon duo Sunset Fratell, il a ce qu’il faut, la prestance, la taille, la vivacité nécessaire pour ma
danse. Jean-Claude Gallotta
Mini Biographie du chorégraphe
Après un séjour à New York où il découvre le travail de Merce Cunningham, Jean-Claude Gallotta fonde en 1979 à Grenoble le Groupe Émile Dubois qui devient Centre Chorégraphique National en 1984. Il est l’auteur d’une soixantaine de chorégraphies dont des mémorables comme Mammame ou Ulysse. Il a également chorégraphié pour les Ballets de l’Opéra de Paris et de Lyon et créé une compagnie de danse à Shizuoka (Japon), de 1997 à 1999.
Samedi 16 février à 21:00
Une soirée entièrement consacrée au compositeur, servie par l’exceptionnelle technique de Jonathan Benichou, artiste reconnu au niveau international qui a fréquenté les bancs du CNSM de Paris et du Conservatoire Tchaikovski de Moscou.
Au programme quelques unes des œuvres majeures du répertoire pianistique romantique.
15 Préludes op.28
Sonate Funèbre n 2 op.35
Ballade n 2 op.38
Ballade n 4 op.52
Jonathan Benichou qui s’imprègne de l’héritage des écoles pianistiques françaises et russes dont il tire une synthèse personnelle, rendra hommage à Chopin au travers d’un programme intemporel et connu de tous, alliant romantisme, envolées lyriques et virtuosité.
La Station Alexandre et France 3 vous propose de gagner des places pour cette soirée exceptionnelle.
Pour tenter votre chance, rendez-vous sur la page jeux de notre site
Douze danseurs algériens et burkinabais, la plupart venus de la danse de rue, du hip hop, ont fourni l’énergie nécessaire à ce projet. Nourri des dentelles de pierre de l’architecture islamique, Hervé Koubi trace son propre chemin, fait d’enchevêtrement, de tissage complexe. Il compare son travail à celui d’une dentellière, considérant la dentelle comme un objet figé qui conserve pourtant la trace du mouvement qui l’a fait naître. Son travail de chorégraphe témoigne de cette quête de la mémoire, question centrale de l’homme qu’il est.
« Nous, les danseurs, nous pratiquons un art qui est par essence éphémère. Peut-être parce que je me suis rendu compte que j’étais un homme sans mémoire, la question essentielle et centrale dans mon travail est devenue celle de la mémoire, de la trace que laisse le mouvement« .
Ce que le jour doit à la nuit est dans son titre même un bouleversement du temps et une histoire de liens.
Docteur en pharmacie, pharmacien biologiste, Hervé Koubi mène de front une carrière de danseur et des études à l’Université d’Aix-Marseille. Formé chez Rosella Hightower puis à l’Opéra de Marseille, il intègre diverses compagnies (Claude Brumachon, Karine Saporta…) avant de créer en 2000 son premier projet Le Golem. Pour chacune de ses pièces, il collabore avec d’autres artistes, auteurs, musiciens.
« Le point de départ de ce projet, dit-il, a été une découverte tardive de mes origines algériennes. J’avais 25 ans. J’étais à la fin de mes études de pharmacie ; j’avais décidé de fabriquer des spectacles de danse et je suis parti à Alger pour auditionner des danseurs de rue. C’est là que j’ai rencontré ceux avec qui je travaille aujourd’hui. Je dis souvent qu’en réalité, ce ne sont pas des danseurs mais des hommes qui se mettent en danse.«
Le spectacle se joue jeudi 31 janvier et vendredi 1er février à 20:30 au Pavillon Noir Plus d’infos
Ces danseurs ont été rencontrés lors d’une audition organisée en octobre 2009 à Alger. Depuis, mon enthousiasme n’a
cessé de croître tant leur plaisir à la danse reste poreux aux enjeux imposés par une création où je choisis de m’éloigner
du spectaculaire pour le spectaculaire afin que les trajectoires et les musicalités de chaque danseur, de chaque corps
soient au service du sens plutôt que de la performance.
Artistes intervenants pour la formation : Alexandra Besnier, Guillaume Gabriel, David Guasgua, Min-Jeong Kim,
Philippe Mesia, Carl Portal
Création Musicale : Maxime Bodson
Musique : Hamza El Din par Kronos Quartet, Jean-Sébastien Bach, musique Soufi
Scénographie : Vincent Floderer
Création lumière : Lionel Buzonie
Création Costumes : Guillaume Gabriel
Places à gagner au Pavillon Noir
Dans le cadre d’un partenariat annuel avec le centre chorégraphique d’Aix-en-Provence, nous vous proposons régulièrement des places à remporter via notre site de jeu. Les prochaines concernent le spectacle de Jean-Claude Gallotta. Pour jouer
Du 15 au 22 janvier, les Aixois pourront assister à la dernière création d’Angelin Preljocaj en sa maison du Pavillon Noir.
« Ce que j’appelle l’oubli » est un spectacle inspiré au chorégraphe par le texte original de Laurent Mauvignier.
Ce qu’en dit Angelin Preljocaj
« J’ai découvert Ce que j’appelle oubli de Laurent Mauvignier dès sa sortie. La forme-même du texte immédiatement m’a passionné. C’est une unique phrase, une longue phrase interminable qui imbrique le jeu des corps et la structure littéraire d’une façon radicale. Cette matérialisation de la chair rend le texte très sensuel. Il est habité corporellement, avec des textures très diverses ; le corps agressif, vif, violent, le corps plus lascif, sensuel, malsain, amoureux… »
A propos de la création du spectacle
Un propos politique
Angelin Preljocaj rend compte également dans son interprétation, du caractère éminemment politique que revêt le texte, à travers le drame qu’il relate.
Une profonde réflexion sur l’exclusion, la marge, la société, le consumérisme, tout cela à travers le dialogue silencieux des corps.
Rencontres et répétitions publiques
Vous pourrez assister à une répétition publique le 8 janvier à 18h au Pavillon Noir En savoir plus
De plus une rencontre avec les 2 créateurs vous sera proposée le 15 janvier à 18h à la Cité du livre d’ Aix-en-Provence En savoir plus
Jeux
Dès le 7 janvier vous pourrez tenter de gagner votre place pour les représentations des 21 ou 22 janvier au Pavillon Noir.
Pour cela il vous suffira de vous connecter sur notre site En savoir plus
La presse
Ce que j’appelle l’oubli était présenté cet automne à la Biennale de la Danse de Lyon.
Le point de vue de Raphaêl de Gubernatis dans le Nouvel Obs.com
Après une programmation remarquée au Festival de Marseille cet été, la compagnie de danse espagnole Enclave revient rythmer le plateau du Pavillon Noir d’Aix-en-Provence avec sa création kaléïdoscopique En Plata (En argent).
Antonio Pérez et David Sánchez, poussés par leur passion du répertoire réunissent toutes les cultures chorégraphiques et composent à partir de tous ces styles leur propre vision de la danse espagnole, sans jamais oublier de réaffirmer, dans un ballet de lignes somptueuses, la beauté classique d’une culture tout entière !
Le flamenco a trouvé sa relève dans de jeunes artistes qui renouvellent le genre tout en remontant à son brillant passé.
« Nous sommes à la recherche d’une évolution qui combinerait originalité et respect », expliquent les chorégraphes au sujet de leur démarche.
Antonio Pérez et David Sánchez démarrent leur carrière en tant qu’interprètes au Ballet National d’Espagne. Ils ont l’occasion d’y travailler avec de grands chorégraphes, de partager la scène avec des danseurs d’exception et d’acquérir une connaissance du flamenco et plus largement de la danse espagnole en interprétant des oeuvres du répertoire. Forts de cette expérience de la scène, ils décident de présenter en 2010 leur propre show, En Plata, qui rencontre un franc succès.
France 3 Provence-Alpes et le Pavillon Noir vous propose de gagner votre billet pour En Plata.
Connectez-vous sur notre page de jeux en cliquant sur ce lien
France 3 Provence-Alpes et le Pavillon Noir d’Aix-en-Provence vous font gagner des places pour la création de Josette Baïz, Grand Hôtel. Tentez votre chance en jouant dès le 14 novembre. Pour cela, suivez ce lien.
Avec «Grand Hôtel», Josette souhaite faire évoluer sa recherche chorégraphique vers une notion extrême du rebond et de la légèreté.
Jusqu’où peut-on aller avec ce concept? Comment peut-on déjouer la pesanteur afin de ressentir la matière, le temps et l’espace différemment?
Pour cela, il y aurait un hôtel surréaliste dans lequel les matériaux composant les meubles, les escaliers, les parois, les miroirs… seront tous construits dans une matière souple etrebondissante.
Où qu’ils aillent, les danseurs seront soumis àune “attraction céleste” les obligeant à repenser leur poids, leur matière et leur dynamique.
Les personnages garderont leur folie et leur humour déjà présents dans «Gare Centrale». Ils interagiront pour installer entre eux des synergies rythmiques tout en créant desaccélérations et des ralentissements dans le temps et dans l’espace.
Macha Makéïeff et toute l’équipe de La Criée vous invitent à partager un week-end festif et convivial pour inaugurer le lancement de la saison.
Les 20 et 21 octobre Entrée libre de 14à 20h
20 places pour Le Velvet de Rodolphe Burger, samedi soir à 20h
avec
Rodolphe Burger, guitare, chant
Julien Perraudeau, basse, clavier
Alberto Malo, batterie
Geoffrey Burton, guitare
Emmanuel Ralambondrainy, claviers, machines, accordéon
Black Sifichi, Sarah Yu Zeebroek, chant
20 places pour The Tiger Lillies, dimanche soir à 19h
un trio excentrique, baroque, brechtien, inclassable.
Formé en 1989, le groupe anglais a gagné une reconnaissance internationale en chantant sans concession la misère et le désespoir dans une ambiance cabaret des années 30, à la frontière du punk, du jazz manouche et de l’opéra italien.
Au coeur des Alpilles, les Carrières de Lumières accueillent des spectacles multimédia uniques au monde. Ces spectacles sont projetés sur les immenses parois de 14 mètres de haut, les piliers et les sols de la carrière. Ils vous transportent en musique dans des mondes colorés. Une nouvelle mise en lumière des Carrières vous fait découvrir le caractère unique et insolite du lieu et révèle sa beauté minérale. La thématique de l’exposition 2012 est centrée autour des peintres de la couleur, Van Gogh et Gauguin et vous recevra jusqu’au 6 janvier 2013.
Tentez votre chance ! nous vous proposons de gagner une entrée pour 2 personnes !
EMBARQUEZ POUR UN VOYAGE AU LONG COURS… La Fiesta des Suds prend le large et offre le vendredi 26 octobre un voyage épique au cœur des musiques iliennes…
De la fièvre ragga-dancehall des îles caribéennes de RAGGASONIC en passant la virtuosité du pianiste prodige cubain ROBERTO FONSECA (ayant participé à l’illustre Buena Vista Social Club), les transes maloya des réunionnais de ZISKAKAN, les sound-systems massifs insulaires des anglais de DUB STATION, l’électro-rock malicieux de SPORTO KANTES (d’Ile de France !) et le groove afro-beat des New-Yorkais d’ANTIBALAS, la Fiesta des Suds embarque les publics à l’âme voyageuse…