L’expédition hebdomadaire de Daphné, carnet de croquis en main, s’arrête cette semaine sur le toit du Palais des Papes à Avignon.
C’est samedi à 16:20
Elle nous fera découvrir le plus beau point de vue de ce patrimoine architectural exceptionnel.
La visite insolite de la ville se poursuit dans les coulisses de l’opéra d’Avignon puis dans une sorte de bunker qui abrite des costumières aux doigts d’or.
L’ambiance est posée, calme. Les moteurs des machines à coudre rythment l’après-midi… Le geste assuré, la fourmilière trace, coupe, assemble et noue les taffetas, velours, brochet de tulle et mousseline de soie…
Les opéras et opérettes prennent formes sous leurs mains.
L’Epicurium, vous connaissez ? Née d’envie simple, éveiller vos papilles gustatives…..
Puis Avignon, la fille du Rhône nous ouvre ses bras pour une ballade d’écluse en écluse.
En compagnie de Thierry, marinier pour la 1 ère flotte fluviale privée de France,
Daphné touche du doigt les avantages du transport fluvial en particulier le respect de l’environnement…
Avignon et ses itinéraires secrets c’est samedi à 16h15 sur France 3 Provence Alpes et Côte d’Azur
Sur France 3 Provence Alpes Côte d’Azur samedi à 16:20
Sur France 3 SAT à 15H25
et en replay sur notre site dès la fin de la diffusion
Douze danseurs algériens et burkinabais, la plupart venus de la danse de rue, du hip hop, ont fourni l’énergie nécessaire à ce projet. Nourri des dentelles de pierre de l’architecture islamique, Hervé Koubi trace son propre chemin, fait d’enchevêtrement, de tissage complexe. Il compare son travail à celui d’une dentellière, considérant la dentelle comme un objet figé qui conserve pourtant la trace du mouvement qui l’a fait naître. Son travail de chorégraphe témoigne de cette quête de la mémoire, question centrale de l’homme qu’il est.
« Nous, les danseurs, nous pratiquons un art qui est par essence éphémère. Peut-être parce que je me suis rendu compte que j’étais un homme sans mémoire, la question essentielle et centrale dans mon travail est devenue celle de la mémoire, de la trace que laisse le mouvement« .
Ce que le jour doit à la nuit est dans son titre même un bouleversement du temps et une histoire de liens.
Docteur en pharmacie, pharmacien biologiste, Hervé Koubi mène de front une carrière de danseur et des études à l’Université d’Aix-Marseille. Formé chez Rosella Hightower puis à l’Opéra de Marseille, il intègre diverses compagnies (Claude Brumachon, Karine Saporta…) avant de créer en 2000 son premier projet Le Golem. Pour chacune de ses pièces, il collabore avec d’autres artistes, auteurs, musiciens.
« Le point de départ de ce projet, dit-il, a été une découverte tardive de mes origines algériennes. J’avais 25 ans. J’étais à la fin de mes études de pharmacie ; j’avais décidé de fabriquer des spectacles de danse et je suis parti à Alger pour auditionner des danseurs de rue. C’est là que j’ai rencontré ceux avec qui je travaille aujourd’hui. Je dis souvent qu’en réalité, ce ne sont pas des danseurs mais des hommes qui se mettent en danse.«
Le spectacle se joue jeudi 31 janvier et vendredi 1er février à 20:30 au Pavillon Noir Plus d’infos
Ces danseurs ont été rencontrés lors d’une audition organisée en octobre 2009 à Alger. Depuis, mon enthousiasme n’a
cessé de croître tant leur plaisir à la danse reste poreux aux enjeux imposés par une création où je choisis de m’éloigner
du spectaculaire pour le spectaculaire afin que les trajectoires et les musicalités de chaque danseur, de chaque corps
soient au service du sens plutôt que de la performance.
Artistes intervenants pour la formation : Alexandra Besnier, Guillaume Gabriel, David Guasgua, Min-Jeong Kim,
Philippe Mesia, Carl Portal
Création Musicale : Maxime Bodson
Musique : Hamza El Din par Kronos Quartet, Jean-Sébastien Bach, musique Soufi
Scénographie : Vincent Floderer
Création lumière : Lionel Buzonie
Création Costumes : Guillaume Gabriel
Places à gagner au Pavillon Noir
Dans le cadre d’un partenariat annuel avec le centre chorégraphique d’Aix-en-Provence, nous vous proposons régulièrement des places à remporter via notre site de jeu. Les prochaines concernent le spectacle de Jean-Claude Gallotta. Pour jouer
Les métiers en tension, les filières bouchées, les salaires, les formations, autant de questions qui prennent une dimension cruciale en cette période de l’année où l’on attend de tous les élèves de France et de Navarre qu’ils forment leurs voeux. Un vrai casse-tête pour les parents et leurs enfants que la vocation n’a pas encore touché.
Un hors-série très complet
La Provence sort un supplément d’une centaine de pages, « Les métiers qui recrutent » en partenariat avec l’ONISEP et l’AFPA.
Conçu comme un guide, il passe au crible toutes les filières professionnelles, en mettant l’accent sur celles qui recrutent dans notre région et présente 70 fiches de métiers en tension avec, pour chacune d’elles, le portrait d’un professionnel, ses conseils, le salaire et les formations disponibles dans l’académie.
Pas moins de 2000 emplois seraient à pourvoir dès 2013. Parmi ces filières en or, le tourisme décroche le pompon derrière le commerce et l’industrie.
Il est vrai que la région Paca, riche de la diversité de ses paysages et de son offre culturelle, sans oublier son climat, se place au premier rang des fréquentations touristiques, entraînant dans son sillage une manne de quelques 150 000 emplois.
Une hot-line ciblée orientation
Mercredi 23 janvier de 13h à 18h, La Provence met en place une hot-line destinée aux jeunes en quête d’orientation. Durant 5 heures, dix conseillers d’orientation et des spécialistes de l’ONISEP répondront à leur questions de la 3ème à l’enseignement supérieur. L’an dernier La Provence avait reçu plus de 300 appels de familles souvent démunies dans cette jungle de la formation.
Un « job-dating » pour agir en faveur de l’emploi
Dans le cadre de l’opération nationale « Agissons pour l’emploi », 4 grandes villes ont été choisies pour l’organisation de Job-Dating. Parmi elles, Marseille qui accueillera cette manifestation le 12 février prochain.
Le hors-série « Les Métiers qui recrutent » est en vente en kiosque depuis le 18 janvier et également en vente sur la boutique de LaProvence.com
Parallèlement, France 3 Provence-Alpes, mobilisera ses équipes avec un numéro spécial de La Voix est libre le 9 février et une prise d’antenne exceptionnelle de 26′ animée par Thierry Bezer, mardi 12 à 9:45.
Nous avions sollicité les internautes pour qu’ils nous envoient des photos de leur week-end d’ouverture MP2013. Personne ne s’est bousculé !
Que ceux qui ont joué le jeu en soient remerciés !
Rendre hommage aux racines grecques de Marseille, c’est ainsi que le OFF de MARSEILLE2013 entend lancer l’évènement. Mais plutôt que de revenir sur l’histoire « officielle » de l’union de Gyptis et Protée, l’organisation a préféré miser sur une autre tradition grecque, celle de philosopher.
Ici pas de colloque ennuyeux, ni de panégyrique conceptuel ou réunion d’érudits mais la philo dans la rue, sur le marché autour d’un banquet comme elle se pratiquait à l’origine.
La première du OFF sera résolument festive et gustative et autour de la table, Rudy RICCIOTTI, Gérard TRAQUANDI, Julien BLAINE, Michel BASLY, Jean-Jacques SURIAN, IMOTHEP, Philippe CARRESE, Serge ASSIER, Bernard PLOSSU se lanceront, chacun leur tour dans l’éloge [ou non] de Marseille.
Gyptis et Protée
La légende raconte que Massalia est née d’une histoire d’amour, celle de Protis le grec et de Gyptis la fille du chef ligure. Dédaignant princes et héritiers elle choisit comme époux le bel aventurier.
Premier acte : dimanche 13 janvier à 18:30 à Arles.
Une demie-heure de feu et de lumière. Dimanche il faudra vous masser sur les quais du Rhône bien avant 18h30 pour ne rien rater d’un spectacle que les organisateurs annoncent exceptionnel. La compagnie d’artistes artificiers, poètes et savants fous va frapper fort ce dimanche pour faire parler d’elle !
On prévoit un déluge de lumières et d’étoiles pour embraser les quais. Des révélateurs, créatures rayonnantes et transparentes à la fois, arriveront à bord d’une embarcation de feu, à la découverte de la ville et feront parler les quais en images, sous un feu continu de lumières et d’étoiles.
Découvrez leclip de présentations des créations du Groupe F
Du 5 au 11 janvier
Une version originale en Comédie-Ballet du Bourgeois Gentilhomme de Molière.
L’acteur, metteur en scène rêvait de retrouver l’âme des représentations de l’époque, avec danseurs et musiciens sur scène. Il réussit son pari en convoquant tous les arts et promet au public marseillais un Bourgeois loufoque et étourdissant !
Avec des professionnels à la renommée sans faille : Christian Lacroix pour les costumes, Kaori Ito pour la chorégraphie, Éric Ruf pour la scénographie et Christophe Coin pour la direction d’orchestre, on atteint l’ apothéose des sens et des arts tant espérée par son héros, Monsieur Jourdain. Interprété par Pascal Rénéric, le bourgeois vit son heure de gloire, gentilhomme imaginaire, à la fois exaucé et battu, dupé et triomphant, en ce moment théâtral si rare où le ridicule fait place à l’émerveillement pur.
Extraits des représentations données au théâtre de Fourvière à Lyon
Pour ceux qui n’auraient pas de places, une captation du spectacle leur sera projetée au cinéma le Prado à Marseille
Mardi 22 janvier à 14h et 20h / Cinéma Le Prado, 36 avenue du Prado – 13006 Marseille Pour plus d’infos
Du 15 au 22 janvier, les Aixois pourront assister à la dernière création d’Angelin Preljocaj en sa maison du Pavillon Noir.
« Ce que j’appelle l’oubli » est un spectacle inspiré au chorégraphe par le texte original de Laurent Mauvignier.
Ce qu’en dit Angelin Preljocaj
« J’ai découvert Ce que j’appelle oubli de Laurent Mauvignier dès sa sortie. La forme-même du texte immédiatement m’a passionné. C’est une unique phrase, une longue phrase interminable qui imbrique le jeu des corps et la structure littéraire d’une façon radicale. Cette matérialisation de la chair rend le texte très sensuel. Il est habité corporellement, avec des textures très diverses ; le corps agressif, vif, violent, le corps plus lascif, sensuel, malsain, amoureux… »
A propos de la création du spectacle
Un propos politique
Angelin Preljocaj rend compte également dans son interprétation, du caractère éminemment politique que revêt le texte, à travers le drame qu’il relate.
Une profonde réflexion sur l’exclusion, la marge, la société, le consumérisme, tout cela à travers le dialogue silencieux des corps.
Rencontres et répétitions publiques
Vous pourrez assister à une répétition publique le 8 janvier à 18h au Pavillon Noir En savoir plus
De plus une rencontre avec les 2 créateurs vous sera proposée le 15 janvier à 18h à la Cité du livre d’ Aix-en-Provence En savoir plus
Jeux
Dès le 7 janvier vous pourrez tenter de gagner votre place pour les représentations des 21 ou 22 janvier au Pavillon Noir.
Pour cela il vous suffira de vous connecter sur notre site En savoir plus
La presse
Ce que j’appelle l’oubli était présenté cet automne à la Biennale de la Danse de Lyon.
Le point de vue de Raphaêl de Gubernatis dans le Nouvel Obs.com