Le centre culinaire de Rennes va initier un programme de recherche et développement sur le numérique et l’alimentaire, avec notamment un laboratoire « food tech » regroupant les différentes technologies d’impression 3D.
Le numérique est en marche dans l’alimentaire. Et la recherche et développement en la matière prend la forme collaborative. Le centre culinaire de Rennes, l’EESAB (Ecole Européenne Supérieure des Arts de Bretagne ) et Bretagne Développement Innovation veulent rapprocher les filières alimentaires des nouveaux usages du numérique.
Fertilisons tant qu’il en est encore temps
L’ambition est de créer à court terme « de nouvelles applications et solutions liées à l’alimentation. ». La chimie des aliments, les sciences humaines, les technologies nouvelles du numérique sont invitées au banquet. Réalité mixte, réalité augmentée, internet des objets et bien sûr la fabrication numérique sont de la partie.
Des coquilles d’huitres, et encore ?
Un laboratoire d’impression 3D alimentaire prendre une bonne place dans ce dispositif « food tech ». Il regroupera « les différentes technologies d’impression, l’expertise scientifique, et à rendre ces procédés accessibles aux acteurs de la filière. »
On savait que les coquilles d’huitres peuvent participer à la fabrication d’un très bon filament, tout comme les amidons. Ce n’est que le début du mariage entre alimentation et impressions 3D.