De plus en plus nous sommes incités lors de nos achats en ligne à faire des micro-dons à des associations ou des fondations.Avec la start-up rennaiseGuivers, installez uneextensionà Chrome,choisissezvotreassociation, et ensuite, n’y pensezplus!Continuer la lecture →
Son prototype avait été primé au Space de Rennes, le deuxième salon agricole français, en 2016. Spoutnic, depuis, est devenu un gros bébé: un robot aux allures de Rover spatial pour éduquer les poules dans les élevages. Unique au monde, il séduit les étrangers.
Qui ne s’est pas senti frustré de voirpasserun cycliste telle une fusée, et puis plus rien ?Dans les épreuves de plein air, suivre les coureurs à la trace était un défi que seules pouvaient s’offrir les plus grandes courses, comme le Tour de France.Jusqu’à la création de lastart-uprennaiseTech4race.
C’est le problème des courses en extérieur.Qui souvent, challenge aidant, ont lieu sur de grandes distances, et quelques fois en pleine nature.Littéralement, comme le dit l’expression, « perdues dans la pampa ».
Lorsque l’onveut soutenir un proche,onpatiente à un point du parcours peu ou prou accessible.Une demi-heure, une heure.Puis l’être cher passe.Un « tiensbon !« plustard, il estdéjàloin.Puis plus rien jusqu’à la ligne d’arrivée.
« Basiquement, un organisateur, ce qu’il veut, c‘est la géolocalisation. Mais ce qui lui manque, c‘est de pouvoir équiper tous les participants de leur course » explique Adrien Savary, le fondateur.
« Il existe des choses très performantes sur des très grandes courses, évidemment, mais les solutions techniques et les coûts qui y sont associés ne sont pas abordables » poursuit-il.
Grâce à ses capteurs robustes, légers etsubmersibles (les seuls au monde à ce jour), peu gourmands en énergie et communicants, la start-up rennaiseTech4raceveut relever le pari.Avec un ticket d’entrée de 5 à 7 euros par participant, cela devient abordable.
Nous donnons à voir ce qui n’est pas visible
Ainsi, le trail « laRennaise », dont vous n’avez peut-être jamais entendu parler, s’estoffertce service sur les deux jours de l’épreuve, leweek-enddernier, c’était au triathlon du Mont Ventoux « et le week-end prochain, nous équiperons certains participants du triathlon de Saint-Malo » annonce Adrien Savary.
Un service qui a pu donner de la visibilité à ces courses qui n’ont pas la chance d’être télévisées. « On donne à voir ce qui n’est pas visible et ça permet à des événements d’exister sur internet, sur les réseaux sociaux » constate Adrien Savary. Continuer la lecture →
Déménager, c’est un peu changer de vie.Et celapeut-être très stressant.Bemove, anciennementAriase, vous aide déjà à changer…d‘opérateur, de fournisseur d’énergie, et vous simplifie les démarches administratives.Continuer la lecture →
Opération inédite pour EDF. Après un appel à projet, le groupe fait appel à deux start-up pour imaginer des solutions afin de sécuriser les abords de l’usine marémotrice de la Rance. Des espaces, très dangereux en raison des courants extrêmement violents provoqués par les turbines du barrage.Continuer la lecture →
Les robots sont parmi nous, on l’a bien vu au CES de Las vegas. Doublés dans leur fonction de « compagnon » par les enceintes connectées Google Home ou Alexa, les robots compagnons comme Buddy ou le breton Haapie-One, n’ont pas dit leur dernier mot.Continuer la lecture →
Splashelec permet de barrer un voilier au joystick
La Région a sélectionné 14 projets associant des start-up et des structures diverses (hôpitaux, collectivités) afin d’expérimenter « grandeur nature » des solutions innovantes. On en retrouve logiquement dans l’agriculture, la pêche, les hôpitaux… mais pas que.
La Région Bretagne va aider, sous forme d’avances remboursables et de subventions, 14 projets portés par une entreprise et un « expérimentateur ». On y retrouve des collectivités territoriales, un lycée, des hôpitaux mais aussi des groupements professionnels dans la pêche ou l’agriculture.
Le soutien se monte à 784 000 euros et permettra à une start-up de tester un prototype avant sa phase de commercialisation, ou d’adapter un produit ou une technologie existante sur un nouveau marché.
Au total, ce sont 17 structures diverses (entreprise, centre hospitalier, lycée…) qui mèneront des expérimentations dans lesquelles les objets connectés et la gestion ou la détection à distance prédominent.
Le site a un an, et propose de la vente de dessins d’artistes graphiques et d’illustrateurs, avec la possibilité de passer des commandes personnalisées. Une start-up pas comme les autres, qui comme les autres cherche son modèle. Et commence à trouver sa place dans « l’écosystème ».
Les créateurs de start-up sont biberonnés au business plan, à la mise à l’échelle, à la levée de fond et à la preuve de concept. Celle de Nicolas Maszader n’a pas fait exception lors de son passage au Booster, l’accélérateur de la French Tech.
Mais aux investisseurs et autres business angels, il ne leur expliquait pas qu’il disruptait, qu’il diffusait over the top, il ne leur parlait ni d’IOT ni de blockchain. Non, il leur parlait… de dessins.
« Ils me regardaient bizarrement, bien sûr, car ils ont plus l’habitude de parler nouvelles technologies, blockchain, et des choses comme ça », raconte Nicolas Maszader, « quand je leur ait dit que je voulais revenir au papier, au crayon, à l’encre, ça a fait tout drôle, mais il y a eu un bon accueil de la part des professionnels et du public, car ce sont l’objet revient, comme le vinyle dans la musique »
L’objet, c’est un dessin original. A la plume, à l’encre, au crayon. Un croquis à la volée, une série contemporaine. Des visuels que les marques, les vitrines, les plaquettes utilisent de plus en plus, au-delà de l’édition.
« Nous faisons du service aux particuliers, avec des portraits par exemple » détaille Nicolas, « ou aux entreprises pour illustrer des événements ou dans le cadre de réunions avec de la facilitation graphique ».
Ces artistes, une trentaine d’auteurs, ont donc la côte, en attendant, à l’instar des peintres, de quelques photographes et d’une poignée de dessinateurs de BD, d’en avoir une.
Mais là n’est pas le pari de la Fabrique de dessins. Celui de vous rendre riche grâce à son « crew » : « comme je veux montrer des dessins en vrai, j’organise des rencontres, des événements » explique Nicolas Mazader.
Comme cette exposition dans un « bar à jeu » de Rennes durant le mois d’Inktober (tous les jours un croquis, un mouvement mondial).
L’expo est finie, car nous sommes en Movember, mais l’agenda de la Fabrique de dessins est à surveiller !