De plus en plus nous sommes incités lors de nos achats en ligne à faire des micro-dons à des associations ou des fondations.Avec la start-up rennaiseGuivers, installez uneextensionà Chrome,choisissezvotreassociation, et ensuite, n’y pensezplus!Continuer la lecture →
C’était une promesse faite au président Macron. Google ouvre en France, à Rennes, son premier atelier dédié à l’apprentissage du numérique.Continuer la lecture →
Qui ne s’est pas senti frustré de voirpasserun cycliste telle une fusée, et puis plus rien ?Dans les épreuves de plein air, suivre les coureurs à la trace était un défi que seules pouvaient s’offrir les plus grandes courses, comme le Tour de France.Jusqu’à la création de lastart-uprennaiseTech4race.
C’est le problème des courses en extérieur.Qui souvent, challenge aidant, ont lieu sur de grandes distances, et quelques fois en pleine nature.Littéralement, comme le dit l’expression, « perdues dans la pampa ».
Lorsque l’onveut soutenir un proche,onpatiente à un point du parcours peu ou prou accessible.Une demi-heure, une heure.Puis l’être cher passe.Un « tiensbon !« plustard, il estdéjàloin.Puis plus rien jusqu’à la ligne d’arrivée.
« Basiquement, un organisateur, ce qu’il veut, c‘est la géolocalisation. Mais ce qui lui manque, c‘est de pouvoir équiper tous les participants de leur course » explique Adrien Savary, le fondateur.
« Il existe des choses très performantes sur des très grandes courses, évidemment, mais les solutions techniques et les coûts qui y sont associés ne sont pas abordables » poursuit-il.
Grâce à ses capteurs robustes, légers etsubmersibles (les seuls au monde à ce jour), peu gourmands en énergie et communicants, la start-up rennaiseTech4raceveut relever le pari.Avec un ticket d’entrée de 5 à 7 euros par participant, cela devient abordable.
Nous donnons à voir ce qui n’est pas visible
Ainsi, le trail « laRennaise », dont vous n’avez peut-être jamais entendu parler, s’estoffertce service sur les deux jours de l’épreuve, leweek-enddernier, c’était au triathlon du Mont Ventoux « et le week-end prochain, nous équiperons certains participants du triathlon de Saint-Malo » annonce Adrien Savary.
Un service qui a pu donner de la visibilité à ces courses qui n’ont pas la chance d’être télévisées. « On donne à voir ce qui n’est pas visible et ça permet à des événements d’exister sur internet, sur les réseaux sociaux » constate Adrien Savary. Continuer la lecture →
Déménager, c’est un peu changer de vie.Et celapeut-être très stressant.Bemove, anciennementAriase, vous aide déjà à changer…d‘opérateur, de fournisseur d’énergie, et vous simplifie les démarches administratives.Continuer la lecture →
Opération inédite pour EDF. Après un appel à projet, le groupe fait appel à deux start-up pour imaginer des solutions afin de sécuriser les abords de l’usine marémotrice de la Rance. Des espaces, très dangereux en raison des courants extrêmement violents provoqués par les turbines du barrage.Continuer la lecture →
RETRANSMISSION sur écran , et en direct de l’Opéra Carmen place de l’Hôtel de ville à Rennes en juin 2017. @Laurent Guizard
L’Opéra de Rennes met en avant l’innovation depuis plusieurs années, en collaboration avec des entreprises de la métropole rennaise. C’est l’occasion de partir dans les valises d’un spécialiste de la réalité virtuelle au célèbre CES de Las Vegas, le salon de référence pour l’innovation grand public.Continuer la lecture →
C’est la semaine européenne des déchets. Afin d’éviter des marronniers qui rempliraient un centre de compostage entier, l’appli To Good to Go offre un sujet local et de saison. Grâce à elle, la Bretagne a économisé 8 500 repas.
L’appli To Good To Go plait aux Bretons. En tout cas aux Rennais et aux Brestois. Grâce à cette appli qui vous permet d’acheter, à moindre prix, des repas ou des denrées invendues chez des commerçants partenaires, 5 000 repas ont été économisés à Rennes, et 3 500 à Brest depuis son lancement en août.
Dans ces deux villes bretonnes, To Good To Go a convaincu des commerçants partenaires, 40 à Rennes et 24 à Brest, de mettre des produits à prix réduits en fin de service.
Grâce à l’application, on peut choisir qui de la viennoiserie, qui un petit repas, et l’acheter en ligne. Reste à venir chercher ses produits (svp, venez avec votre sac) à l’heure indiquée, en général ou heure de fin de service ou de fermeture.
« Cela me permet tout juste de payer ma matière première » m’a expliqué un boulanger chez qui j’étais passé prendre mon « panier », « mais par les temps qui coururent, c’est déjà pas si mal, et c’est toujours mieux que de jeter ».
Côté « client », on n’aura pas toujours le choix précis de sa commande, et les horaires ne sont pas forcément calés sur ceux de notre estomac. Mais là encore, le geste et les économies nous font faire ce petit pas de côté sur nos habitudes alimentaires.
L’appli To Good To Go est à classer dans les bonnes initiatives pour chasse le gaspi, tout comme Frigomagic, qui est très complémentaire, et qui vous aidera éventuellement à cuisiner les produits de votre panier surprise.
Les légataires de services publics (déchets, énergie, transport) doivent conserver et mettre à disposition leurs données. Avec son portail de la donnée ouverte, Rennes Métropole veut également associer entreprises, collectivité et habitants pour la gouvernance de ces données. Continuer la lecture →
L’expérience devait être inédite, « une première mondiale« , dixit le constructeur des lits connectés, Espace Loggia. De fait, elle cesse avant d’avoir commencé. Face au tollé provoqué par les étudiants, l’expérimentation de capteurs sur un panel de 10 lits pour prévenir des dégradations sur les lits de la cité étudiante rennaise, a été arrêtée par le CROUS.
Des objets connectés jusque dans nos lits ? Pas encore. Ou en tout cas pas pour les étudiants de la cité Maine1 gérée par le CROUS de Rennes, qui déplore des dégradations rapides des lits escamotables des chambres.
Une expérience qui a fait réagir certains étudiants, découvrant cette expérimentation dans la presse, pour qui « c’est de l’espionnage« . Pourraient-ils détecter plusieurs personnes sur le matelas ? Qui est là ? Qui n’est pas mal ?
Rien de tout cela selon le CROUS, dont l’objectif « est seulement de planifier l’entretien préventif et d’observer l’usure du lit, pas de sanctionner les élèves« .
Les capteurs, précise le constructeur Espace Loggia, sont placés sur la structure de ces lits escamotables qui se rabattent au plafond, et mesurent l’usure des câbles, l’état des fixations murales et la présence de parties déformées.
« Par exemple, on ne peut savoir s’il y a dix étudiants dans cette chambre, on veut juste savoir si ces pièces sont bien serrées » explique Paul Malignac, le directeur général d’Espace-Logia.
Une détection anticipée des besoins de maintenance comme cela se pratique sur beaucoup de machines-outil, de véhicules ou ascenseurs.
L’opération, qui devait se dérouler sur la base du volontariat, ne verra pas le jour. Le CROUS a demandé au constructeur de retirer les capteurs, qui jusque là n’étaient pas activés.
le droit de réponse de la PME Artisans IOT, concepteur des lits
Traitement interrompu, transfert du patient, décès : parfois un hôpital se retrouve avec des médicaments inutilisés et cherche à en faire profiter un autre établissement. La start-up malouine MaPui a lancé une plateforme d’échanges sécurisés. Continuer la lecture →