01 Mai

Européennes : le NPA présente sa liste pour le Grand Est

La liste du Nouveau Parti anticapitaliste pour le Grand Est a été présentée à Strasbourg, avec en première position Gaël Diaferia, un agent administratif âgé de 33 ans basé à Metz. Le NPA ne fait pas alliance avec le Front de Gauche et Lutte ouvrière pour ses élections et compte menée une campagne militante de terrain. Lors des dernières élections européennes, le NPA avait obtenu 5,65% des voix.

 

26 Avr

Lutte Ouvrière présente sa liste pour le Grand Est

Lutte Ouvrière

La défense des travailleurs, le combat contre le démantèlement des services publics, c’est sur ces thèmes que Lutte Ouvrière veut faire campagne. Un meeting se tiendra à Strasbourg le 11 Mai, mais ce samedi, c’est à Mulhouse que Nathalie Arthaud est venue présenter les 18 candidats qui vont représenter le parti dans le Grand Est de la France. Lutte Ouvrière ne vise aucun score. Cette campagne, c’est simplement pour faire entendre une voix discordante.

23 Avr

Européennes : le FN en tête des intentions de vote dans le Grand Est

Le Front national arrive en tête des intentions de vote pour les élections européennes du 25 mai dans la circonscription du Grand Est, juste devant l’UMP, lors que le PS parait distancé, selon un sondage Ifop publié mardi soir.

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 La liste du FN menée par Florian Philippot est créditée de 26% des intentions de vote, devançant d’une courte tête celle de l’UMP conduite par Nadine Morano (24%), selon ce sondage réalisé pour Europe 1, Le Figaro et LCI. La liste PS, menée par l’ancien leader syndicaliste de Florange Edouard Martin, ne recueille que 15,5% des intentions de vote. Elle est talonnée par celle d’EELV conduite par Sandrine Bélier (12,5%). L’alliance UDI-MoDem menée par Nathalie Griesbeck obtient 7,5% des intentions de vote, devant celle du Front de Gauche conduite par Gabriel Amard (6,5%). La circonscription Est pour les élections européennes rassemble cinq régions françaises: Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Lorraine et Franche-Comté, soit près de 6 millions d’électeurs inscrits. Lors des précédentes européennes en 2009, le candidat du FN dans cette circonscription, Bruno Gollnisch, n’avait obtenu que 7,6% des suffrages. Cette enquête d’opinion ne fournit pas de données sur le taux d’abstention. Elle a été réalisée en ligne et par téléphone du 15 au 19 avril auprès d’un échantillon de 666 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas. La marge d’erreur pour un échantillon de cette taille est de 2,3 point de pourcentage, de plus ou de moins, précise l’Ifop. (AFP)

 

Réactions de Florian Philippot, tête de liste FN Européennes Grand-Est et de Catherine Trautmann, N° 2 liste PS Européennes Grand-Est

17 Avr

EELV lance un « tour de France » pour les européennes

Européennes 2014 : les écolos débutent leur campagne

Contre l’euroscepticisme et pour sortir l’Europe « de l’impasse », les têtes de liste d’Europe Ecologie-Les Verts ont lancé jeudi à Strasbourg un « Tour de France » en 23 étapes autour d’une tente gonflable itinérante, au lendemain des adieux de leur chef de file historique Daniel Cohn-Bendit. « Si l’Union européenne est aujourd’hui dans une impasse, c’est parce que les majorités qui la gouvernent l’y ont conduite », a dénoncé l’un des porte-paroles d’EELV, l’eurodéputé Yannick Jadot, en visant le Parti populaire européen (PPE) où siège l’UMP, « parti des lobbies », et le Parti socialiste européen (PSE) où siège le PS, « parti des occasions manquées ».

L’objectif d’EELV, qui compte aujourd’hui 16 députés au Parlement européen, est d’obtenir un groupe « au moins aussi important » après les élections du 25 mai,
précisé Yannick Jadot. « Nous visons 10+X% », a-t-il ajouté. Un pari qu’il faudra toutefois réaliser sans le chef de file charismatique, qui a fait mercredi ses adieux au Parlement européen par un vibrant plaidoyer en faveur d’une Europe fédérale.
L’ex-héros de Mai 1968, « Dany le rouge » devenu « Dany le vert », vient de passer vingt ans au Parlement européen en se présentant tantôt sur les listes des Verts
français, tantôt sur celles des Grünen allemands. A 69 ans, il a décidé de jeter l’éponge, en invoquant le combat qu’il a dû mener contre un cancer de la thyroïde, les « limites physiques » du métier, et aussi « l’envie de faire autre chose ». Pour autant, il ne se privera pas de quelques apparitions lors de la campagne, notamment à Montpellier et à Lille. Et « le 31 mai, ciao ciao, je pars pour Rio, pour des reportages sur la Coupe du monde de football », se plaît-il à répéter aux journalistes.
Pour l’Europe sans être ‘euro-béats’

L’objectif sera « de parler d’Europe et d’écologie, avec un discours pro-européen, mais pas euro-béat », a précisé jeudi Sandrine Bélier, tête de liste dans le Grand Est. Contrairement à de nombreux eurosceptiques qui « brillent par leur absentéisme » au Parlement européen ou aux trop nombreux eurodéputés qui considèrent leur place à Strasbourg comme un « lot de consolation » par rapport à un portefeuille ministériel ou à un siège de député national, « les écologistes travaillent au Parlement européen », a déclaré à ses côtés Antoine Waechter, président du Mouvement écologiste indépendant (MEI). Pour la première fois, des candidats du MEI sont présents sur les listes d’EELV dans toutes les circonscriptions, s’est réjoui M. Waechter, se félicitant de cette « campagne unitaire ».

Au cours de ces 23 étapes dans tout l’Hexagone les candidats d’EELV entendent faire connaître leur projet européen et discuter avec les citoyens et les acteurs locaux. Chaque étape permettra d’aborder une problématique différente chère aux écologistes, souligne l’eurodéputée Michèle Rivasi, fondatrice du laboratoire indépendant sur la radioactivité Criirad, et qui espère renouveler en mai un premier mandat à Strasbourg. Ce tour de France passera par Hayange (Moselle) où se trouvent les hauts fourneaux fermés par ArcelorMittal, Lyon pour aborder les « grands projets inutiles » comme la liaison ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin, en Camargue pour évoquer la biodiversité ou au Tricastin (Drôme) et à Flamanville (Manche) pour évoquer le nucléaire. Des étapes sont également prévues Grenoble, Marseille, Bordeaux ou Saint-Ouen, pour finir à Paris le 25 avril, un mois jour pour jour avant le scrutin. Des concerts, repas et conférences de presse émailleront également ce parcours. (AFP)

15 Avr

Joseph Daul et Jean-Claude Juncker en campagne à la campagne pour le PPE

Joseph Daul et Jean-Claude Juncker

Joseph Daul et Jean-Claude Juncker

Joseph Daul vit cette semaine sa dernière session au parlement européen. Ce député alsacien et président du PPE, parti populaire européen, s’apprête à prendre sa retraite et revenir sur ses terres de Pfettisheim où il a commencé sa carrière comme agriculteur. Mais, période électorale oblige, il a tiré sa révérence en faisant campagne pour son parti le PPE et sa tête de liste européenne, Jean-Claude Juncker, à la ferme.

Nicolas Dupont-Aignan en campagne à Huningue

Pour Nicolas Dupont Aignan, député-Maire de l’Essonne et Président de Debout la République, l’Union Européenne n’est plus qu’une dissolution générale des peuples. Et pourtant, il est en campagne dans le cadre des élections européennes avec un programme : changer les règles et rendre sa souveraineté à la France. Mais pour porter ce message, c’est bien dans une ville-frontière qu’il s’est rendu, à Huningue, dans le Haut-Rhin.

 

14 Avr

Européennes : le « serment de Strasbourg » des centristes de la circonscription Est

Les candidats UDI-MoDem aux européennes feront campagne pour une « convergence sociale et fiscale » entre pays de l’UE, afin de lutter contre le dumping social, et plaideront pour que l’Europe ne soit plus vue comme un « bouc émissaire », a annoncé lundi le président par intérim de l’UDI Yves Jégo.

FRANCE-EU-VOTE-UDI-MODEM

« Nous voulons sortir du modèle qui consiste à faire de l’Europe le bouc émissaire de nos problèmes », a déclaré M. Jégo, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse à Strasbourg, aux côtés des deux candidats éligibles de la liste UDI-Modem dans le Grand Est, l’eurodéputée sortante Nathalie Griesbeck et le journaliste spécialiste des questions européennes Quentin Dickinson. Les centristes défendront la mise en place à moyen terme d’une « convergence sociale et fiscale », au moins entre pays de la zone euro, ceci afin de lutter contre le dumping social qui fait du tort à l’image de l’Europe, a souligné M. Jégo. « Nous devons aller à terme vers un SMIC européen », a-t-il ajouté.

 

Pour le député de Seine-et-Marne, les candidats UDI-Modem sont « les seuls » à défendre un positionnement résolument pro-européen, car pour eux « l’Europe ne doit pas être le marchepied d’une carrière ou une agence d’intérim pour battus », a-t-il souligné, en visant notamment les listes concurrentes de l’UMP et du PS. A gauche, la récente nomination d’Harlem Désir en tant que secrétaire d’Etat aux affaires européennes montre que « le PS a fait de l’Europe le refuge de ceux qui ont perdu au niveau national », a-t-il dit. Quant aux listes de l’UMP, c’est « le refuge des losers », avec des candidats « qui ne s’étaient jamais intéressés à l’Europe de près ou de loin » et qui « cherchent une indemnité et un fauteuil plutôt qu’un combat », a déclaré M. Jégo.

Avant cette conférence de presse, les candidats UDI-Modem de la circonscription Est (Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Compté, Lorraine) avaient participé, devant le bâtiment du Parlement européen, à une brève cérémonie symbolique pour défendre le siège strasbourgeois de l’institution, régulièrement contesté par des eurodéputés qui préfèreraient regrouper toutes les activités parlementaires à Bruxelles. Par un « serment de Strasbourg », les candidats se sont engagés solennellement, s’ils étaient élus, à défendre « sans relâche » et de manière « inconditionnelle » la présence « indiscutable » du Parlement européen dans la capitale alsacienne.

06 Avr

Europe Ecologie Les Verts : la liste Grand-Est conduite par Sandrine Bélier validée par le conseil fédéral

Le conseil fédéral du parti EELV a validé ce dimanche la liste menée par l’eurodéputée Sandrine Bélier pour les élections européennes du 25 mai prochain. Elle compte 4 candidats alsaciens, dont le Haut-Rhinois Antoine Waechter en deuxième position.

Sandrine Bélier

Sandrine Bélier

Cette liste baptisée « Europe Écologie – Donnons vie à l’Europe » regroupe les régions Alsace, Bourgogne, Champagne-Ardenne, Franche-Comté et Lorraine.
 
Dans un communiqué publié ce dimanche, Sandrine Bélier déclare : « Dans le Grand Est, l’écologie est rassemblée autour de personnalités engagées de longue date sur le terrain politique ou issues de la société civile. C’est une bonne nouvelle pour l’Europe que nous voulons construire avec les citoyens.
Je suis fière de conduire une liste qui rassemble des candidats issus de quatorze départements sur les dix-huit que compte la circonscription. Cette diversité témoigne de la force de l’engagement des écologistes sur l’ensemble de la circonscription et de notre capacité à assurer partout le lien entre l’Europe et les territoires.
Avec Antoine Waechter et l’ensemble des candidats validés aujourd’hui, nous sommes en ordre de marche. Dans les semaines qui viennent nous irons à la rencontre de nos concitoyens pour donner vie à l’Europe. Une Europe plus verte, mais aussi une Europe plus forte, plus citoyenne et plus solidaire.
 »

La liste compte 4 candidats alsaciens :
1. Sandrine BÉLIER, Bas-Rhin
2. Antoine WAECHTER, Haut-Rhin
7. Laura Chatel
16. Patrick BARBIER, Bas-Rhin

Voici la liste complète :
1. Sandrine BELIER,
2. Antoine WAECHTER
3. Patricia ANDRIOT
4. Philippe HERVIEU
5. Eliane ROMANI
6. Claude MERCIER
7. Laura CHATEL
8. Vincent HERBUVAUX
9. Anaïs HUBERT
10. Jean-Louis CANNELLE
11. Nadine CORTIAL
12. Julien VICK
13. Audrey ARIAPOUTRI
14. François LOTTEAU
15. Christine L’HEUREUX
16. Patrick BARBIER
17. Eva PEDROCCHI
18. Christophe DUMONT

 

05 Avr

Revoir l’interview d’Anne Sander dans le journal de midi

Anne Sander occupe la 3ème place de la liste UMP pour les élections européennes dans le Grand Est, dont la tête de liste est Nadine Morano. A 41 ans, elle est jusqu’à présent l’assistante parlementaire de Joseph Daul, le président actuel du PPE qui ne se représente pas.

Anne Sander

Anne Sander

Anne Sander parle des thèmes qui lui sont chers : l’économie, l’innovation et le rêve européen, mais commente aussi la collecte exceptionnelle de lait de la Banque alimentaire.