18 Oct

Numérique : le boom des écoles de code à Toulouse

Internet recrute à tour de bras en France et en Occitanie. Cependant, les entreprises peinent à embaucher des développeurs web. C’est ainsi qu’une nouvelle tendance voit le jour : les écoles de code. Les élèves y sont formés en quelques mois seulement.

© Wild Code School Toulouse

© Wild Code School Toulouse

Les écoles de code fleurissent un peu partout aux Etats-Unis, en Europe et à Toulouse.

Publiques ou privées, ces formations nouvelles générations, forment des développeurs web ou des codeurs de logiciel au niveau BAC+2. Tout se déroule en seulement 5 à 6 mois avec des journées de 8 heures de cours et un job assuré à la sortie.

Ces écoles de programmation veulent surtout répondre à une pénurie du secteur du numérique. Les startups françaises peinent à recruter des techniciens informatiques. Alors que les formations d’ingénieurs (BAC+5) se multiplient.

A Toulouse (3e ville française dans l’économie numérique), deux écoles de code viennent d’ouvrir leurs portes. La première s’appelle Simplon.co, une école de la deuxième chance où 24 étudiants venant tous d’horizon différents, se forment à chaque session. La seconde est une école privée : la Wild Code School. La formation existe déjà à La Loupe (Eure-et-Loire) depuis 2014 et vient de s’étendre, en 2016, dans 6 villes dont Bordeaux et Toulouse. Une dizaine d’élèves se forme actuellement sur le campus de la ville rose.

Découvrez les coulisses de ces écoles de code, nouvelle génération avec le reportage d’une de nos équipes de France 3 (Denis Tanchereau et Mathilde Laban) :


Le boom des écoles de code à Toulouse

Julien Leroy

17 Oct

Rodez accueille la secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire, pour promouvoir l’Open Data

La secrétaire d’Etat chargée du Numérique, Axelle Lemaire, est en visite à Rodez ce lundi 17 octobre matin.

© MaxPPP

© MaxPPP

Elle vient pour « la remise du rapport sur la généralisation de l’ouverture des données publiques dans les collectivités locales, prévue à l’horizon 2018 par la loi pour une République numérique » explique le communiqué de presse.

Ce rapport a été commandé en juillet 2016, par Axelle Lemaire et  Estelle Grelier (secrétaire d’État chargée des Collectivités territoriales) à l’association Open Data France.
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Née à Toulouse et présidée par l’élu Toulousain, Bertrand Serp, cette organisation a pour objectif de soutenir les collectivités engagées dans leur démarche d’ouverture des données publiques. D’ailleurs, la loi de la République numérique veut inciter les collectivités locales de plus de 3 500 habitants à s’ouvrir à l’open data.

Pour l’occasion, une démonstration des services numériques basés sur les données publiques de la ville de Rodez est prévue.

La dernière visite de la secrétaire d’Etat chargée du Numérique en Midi-Pyrénées remonte au 13 février 2015

Julien Leroy

07 Oct

Toulouse : la conférence Emtech expliquée…au grand public

Pour la deuxième année consécutive, Toulouse accueille les 6 et 7 octobre, cet événement unique en Europe. La conférence EmTech étiquetée comme « l’un des plus grands rendez-vous internationaux sur les technologies du futur » peut-on lire un peu partout dans la presse ou sur les communiqués de presse. Mais pourquoi ? votre blog s’est promené quelques heures dans les allées de la conférence. Ambiance.

© Julien Leroy

© Julien Leroy

 
De quoi ça parle ? 

EmTech est considéré comme la plus importante conférence mondiale sur les technologies du futur. Durant deux jours, des experts du monde entier viennent présenter, débattre et découvrir les dernières technologies en matière de hightech et d’innovation numérique. Les thématiques sont très diversifiées : smartcity, réalité virtuelle, intelligence artificielle, biotechnologie et économie collaborative.

« Ici, on trouve une synthèse des tendances actuelles au niveau international » me résume en quelques mots Arnaud Thersiquel, président de l’incubateur toulousain At Home. « L’innovation à l’échelle mondiale » complète Luc Penazzi, enseignant-chercheur à l’école des Mines d’Albi venu par curiosité pour trouver des idées. Parler du futur ! C’est l’une des marques de fabrique des conférences Emtech. Les visiteurs viennent d’abord écouter l’innovation de demain.

Qui vient parler ?

25 experts venus de France, d’Europe et des États-Unis, interviennent durant les 2 jours. « Emtech la seule conférence qui offre une telle concentration d’experts internationaux » estime Arnaud Thersiquel. Il est vrai que le plateau de speakers est impressionnant. « Cela permet d’écouter et de rencontrer des personnes que l’on n’a pas l’habitude de voir à Toulouse » complète notre entrepreneur. « C’est la ligue des champions ! » s’amuse Arnaud Thersiquel. 

« Le niveau est excellent » juge Roxanne Varza, l’une des intervenantes de cette édition Toulousaine. Directrice de Station F (le plus grand incubateur pour start-up au monde initié par Xavier Nel), cette Américaine de 31 ans a déjà participé à de nombreuses conférences tech dans le monde. « Cela me fait penser à la NipTech Conf  à Lausanne« , considéré également comme l’un des plus grands rendez-vous technologiques au monde. 

Qui organise ?

EmTech est organisé par MIT Technology Review, le plus ancien magazine de technologie du monde publié par le célèbre Massachusetts Institute of Technology (MIT). Basé à Cambridge aux États-Unis, le MIT est un institut de recherche et une université américaine spécialisée dans les domaines de la science et de la technologie. Et dans l’univers de l’innovation, le MIT est une référence mondiale. « C’est le MIT ! » me répond Edouard Forzy, président de la Mêlée Numérique, lorsque je lui demande pourquoi EmTech est si prestigieux. 

MIT organise chaque année une conférence Emtech sur chaque continent : Amérique, Europe, Inde et Asie. Toulouse est ainsi devenu, en 2015, la première ville européenne à accueillir l’événement. Et l’édition 2017 d’Emtech France se déroulera une nouvelle fois dans la ville rose avant de déménager.

Quelle ambiance ?

La conférence est relativement petite. Une grande salle de 400 places installée au cœur du Quai des savoirs de Toulouse. Face aux participants, une scène avec 3 écrans géants. Le tout accompagné d’un jeu de lumière et de caméras. Les speakers se succèdent. L’anglais est de rigueur.

A proximité, le hall du Quai des savoirs permet de se restaurer mais surtout d’échanger. L’anglais et le français se mêlent dans les conversations. Les participants peuvent ainsi rencontrer et prendre contact avec des représentants de grands groupes français et européens. Les noms sur les badges (Airbus, La Poste, Engie,…) permettent de constater que la conférence Emtech est également un lieu de rendez-vous incontournable pour les relations B to B

Julien Leroy

26 Sep

Coup d’envoi de la Mêlée numérique 2016, le plus grand salon dédié au numerique en Occitanie

L’édition 2016 de la Mêlée numérique débute ce lundi 26 septembre avec une nouvelle formule et un nouveau lieu. A découvrir jusqu’au 1er octobre au Quai des savoirs à Toulouse et sur… votre blog. Une série de reportage vous fera découvrir les coulisses de ce grand rendez-vous du high-tech.

© La Mêlée Numérique / Mélodie Cazenave

© La Mêlée Numérique / Mélodie Cazenave

Après une décennie au Diagora de Labège, le salon de  la Mêlée numérique change de dimension. L’un des plus grands salon du sud-ouest dédié au numérique n’a plus lieu au mois de juin sur 3 jours. La 16e édition va s’étendre sur une semaine, du 26 septembre au 1er octobre 2016 dans le cadre du premier festival de l’innovation de Toulouse : « Humans In Tech ». 

Ce nouveau cadre bouscule les habitudes. « La Mêlée numérique 2016 se déroule sur plusieurs lieux » précise Marie Ville, chargée de communication de l’événement. Rendez-vous ainsi au Quai des Savoirs, à la Cantine de Toulouse, à l’INSEEIHT mais aussi sur les allées Jules Guesde.

Au programme, la Mêlée numérique 2016 développera 3 grandes thématiques : Life, Business et City. Des ateliers, des conférences, des stands et des espaces partenaires rythmeront ces 6 jours d’innovation numérique. 

L’événement sera ouvert au grand public les 26 et 27 septembre avec un village de start-up installé sur les allées Jules Guesde.

Votre blog « Tout Ce Qui buzz vous » fera vivre durant toute la semaine, les coulisses de ce ce grand rendez-vous du high-tech. A suivre… 

>> Tout le programme sur le site officiel : www.meleenumerique.com

Julien Leroy

22 Sep

Coup d’envoi du festival de l’innovation à Toulouse : les temps forts à ne pas rater au « Human In Tech »

Le tout premier festival de l’innovation et du numérique de Toulouse « Human In Tech » débute ce jeudi 22 septembre. Durant 15 jours, différents événements autour du numérique, du high-tech et du digital sont prévus dans la ville rose. Voici les 4 temps forts à ne manquer.

© EmTech - Toulouse - Décembre 2015

© EmTech – Toulouse – Décembre 2015

Mise en place par La French Tech Toulouse, le premier festival « Human In Tech » (#HINT) se déroule du 22 septembre au 7 octobre. Il s’agit d’un ensemble d’évements consacrés à l’innovation et au numérique. L’idée est de fédérer tous les acteurs du secteur durant 2 semaines tout en s’ouvrant au grand public. 

Le programme est riche mais voici une petite sélection :

1Les Innovation Days – 22 & 23 septembre à Labège

Les Innovation Days, dont la 4e édition donne le coup d’envoi du Human In Tech, sont le rendez-vous annuel du secteur de l’Internet des Objets (IoT). L’événement est organisé par l’IoT Valley pour l’écosystème dédié à l’IoT.

Plus de 400 participants sont attendus : startups européennes, grands comptes et partenaires techniques leaders du secteur. Le programme se déroule sur deux jours : des conférences IoT, des keynotes de personnalités, des pitchs de startups ainsi qu’un show-room présentant les toutes dernières innovations technologiques des entreprises de l’IoT Valley.

Parallèlement, le projet du futur village numérique IoT Valley sera officiellement dévoilé. L’objectif est de créer un espace unique de 8 hectares dédié à écosystème des objets connectés.

2La Mélêe numérique – 26 septembre au 1er octobre à Toulouse

Après une décennie au Diagora de Labège, le salon de  la Mêlée numérique change de dimension et de lieu. L’un des plus grands salon du sud-ouest dédié au numérique se désormais sur une semaine et principalement autour du Quai des Savoirs situé sur les allées Jules Guesde à Toulouse.

Plusieurs temps forts rythmeront ces 5 jours. L’événement sera ouvert au grand public les 26 et 27 septembre avec un village de start-up qui feront tester leur innovation. Votre blog Tout Ce Qui buzz vous fera vivre cette semaine avec une série de reportage. A suivre.

3Une course de robot – 28 septembre à Toulouse

Pour la première fois dans la ville rose, sera organisée une course de….robots. Sur un circuit de 110 m installé sur les allées Guesde à Toulouse, des robotos roulants, pieton ou multipatte s’affronteront sur 2 manches. A découvrir. Plus d’info sur le site de la compétition : www.toulouse-robot-race.org.

4 Emtech France – 6 & 7 octobre à Toulouse

Bonne nouvelle pour Toulouse et les acteurs du numérique ! La conférence Emtech revient cette année en France et sera de nouveau organisée dans la ville rose. C’est l’un des plus grands rendez-vous international sur les technologies émergentes. Il clôturera la quinzaine de l’innovation. 

Durant deux jours, des experts du monde entier « seront au rendez-vous pour présenter, débattre et découvrir les dernières technologies en matière de hightech : réalité virtuelle, intelligence artificielle, biotechnologie et économie collaborative » explique le communiqué de presse.

Ce projet s’inscrit dans le cadre du cycle de conférences internationales EMTECH, organisé par le Massachusetts Institute of Technology (MIT).
Julien Leroy

13 Sep

La France (avec Toulouse) est le 2e pays d’Europe des levées de fonds pour les start-up

La France est désormais le deuxième pays d’Europe des start-up, derrière Londres. Les jeunes pousses français sont parvenues à lever 1 milliard d’euros lors du premier semestre 2016. L’écosystème toulousain a été l’un des contributeurs de ce record historique.

© Maxppp

© Maxppp

Après une année 2015 record avec 1,8 milliard d’euros levé, les start-up françaises poursuivent, cette année, leur forte croissance. Elles sont parvenues à mobiliser 1 milliard d’euros de capitaux entre janvier et juin 2016, selon l’étude du cabinet EY révélée par nos confrères des Echos.

La France devient ainsi la deuxième capitale d’Europe des start-up, dépassant Berlin. Au total, l’hexagone capitalise 16% des levées de fonds européennes pour 27 transactions. L’Angleterre est le seul pays à faire mieux avec 34% des montants levés pour 35 opérations.

Contribution des start-up toulousaines

Depuis 2015, les start-up toulousaines contribuent à cette engouement financier. L’an dernier, Sigfox, le spécialiste des objets connectés avait bouclé l’une plus importantes levées de fonds de France avec 100 millions d’euros.

En 2016, les jeunes pousses locales jouent moins gros mais continuent à attirer les investisseurs. SchoolMouv, le leader national du soutien scolaire en ligne, a annoncé au mois de juin, avoir mobilisé 1 million d’euros d’investissement. Et l’année pourrait se terminer par un levée de fond de Payname qui négocie entre 10 et 15 millions d’euros. La French Tech Toulouse ne s’est jamais aussi bien portée.

Les levées de fond restent aujourd’hui l’un des meilleurs moyens de financer une start-up après les business Angel ou le crowdfunding. C’est d’ailleurs la spécialité du toulousain Wiseed. La plateforme est l’un des leaders nationaux des investissements sur fonds propres.

Reportage de Corinne Lebrave (France 3 Midi-Pyrénées) :

La France (avec Toulouse) est la 2e capitale d’Europe des levées de fonds pour les start-up

Julien Leroy

25 Juil

Numérique : Tarbes et Toulouse obtiennent le label « Réseaux thématiques » de la French Tech

Le ministre de l’Économie, Emmanuel Macron et Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du numérique ont dévoilé ce lundi 25 juillet à Laval, la troisième vague de labellisation de la French Tech dont les lauréats des nouveaux « Réseaux thématiques French Tech ». Une annonce très attendue par les professionnels du numérique en France et en Occitanie.

La French Tech à Laval - 25 juillet 2016 (© French Tech Toulouse)

La French Tech à Laval – 25 juillet 2016 (© French Tech Toulouse)

 

Renouvellement de la French Tech Toulouse

Comme annoncé il y a quelques jours sur ce blog, le label French Tech a été renouvelé pour Toulouse. Après l’avoir obtenu en novembre 2014, il était improbable que la ville rose perde cette reconnaissance. Toulouse est la troisième ville française dans la filière du numérique avec 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs.

Par ailleurs, les 12 autres métropoles françaises labellisées French Tech, dont Montpellier, ont été également renouvelées pour une durée de 3 ans.

Lancé en novembre 2013, le programme « French tech » a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique. En effet, la France est à la pointe dans le secteur du numérique qui pèse 40 milliards d’euros. 

Tarbes rejoint la French Tech avec son réseau thématique sur l’énergie

Les acteurs du digital et les collectivités locales attendaient surtout l’annonce des lauréats du nouveau label baptisé « Réseaux thématiques French Tech ».

Il récompense les écosystèmes numériques spécialisées dans un secteur. L’opération permet également aux start-ups situées hors des grandes métropoles, de rejoindre le programme de la French Tech.

En Midi-Pyrénées, seuls Toulouse et Tarbes étaient candidats. Le dossier de la ville rose portait sur 5 thématiques : l’nternet des Objets, les systèmes autonomes, la e-santé, les industries créatives et le retail. Tandis que Tarbes souhaitait rejoindre la French Tech avec un projet ciblé sur la transition énergétique et baptisée « EnergyTech Hautes-Pyrénées ».

Au final, Tarbes a été sélectionné pour rejoindre le réseau thématique sur la transition énergétique. Les startups des Hautes-Pyrénées feront ainsi équipe avec 16 autres territoires en France dont Bordeaux, Montpellier,…

Quant à Toulouse, la ville rose est retenue dans les 5 réseaux thématiques où elle avait candidaté.

Julien Leroy

01 Juil

Deux Toulousains inventent « Frenchwork », le coworking au… restaurant

Lasser de travailler chez vous, seul ou besoin d’une salle de réunion improvisée ? Pourquoi ne pas se retrouver dans un….restaurant ou dans un salon de thé en dehors des heures de repas. C’est l’objectif de Frenchwork qui propose une sélection de lieux à Toulouse pour les travailleurs indépendants. Le service a été lancé ce vendredi 1er juillet.  

© FrenchWork

© FrenchWork

Le principe de Frenchwork est simple : « Bénéficier d’une sélection de restaurants où travailler en toute liberté en dehors des heures de repas » explique le toulousain Jérome Introvigne, l’un des deux fondateurs. 

Ce « cowokting à la française » propose ainsi des adresses de restaurants, bars ou salon de thé qui ouvrent en dehors des heures habituelles. « Entre 10h00 et 12h00 et entre 14h00 et 18h00 » précise Jérôme Introvigne. Chaque demi-journée se facture 10 euros, café compris.

Frenchword a été inauguré ce vendredi 1er juillet à Toulouse par deux toulousains entrepreneurs : Jérôme Introvigne et Sebastien Hordeaux. 5 restaurants de la ville rose sont déjà partenaires : Le Van Gogh, L’âne qui tousse, Les domaines qui montent, Aux petits frères et Les façonniers. Chacun est facile d’accès et équipé d’une terrasse et du wifi.

Le Airbnb des restaurateurs

Ce service de coworking au restaurant est destiné avant tout « aux travailleurs nomades, aux indépendants, aux coachs, aux entrepreneurs,… » énumèrent les deux concepteurs. A terme, ils visent également les télétravailleurs des grandes sociétés.

« De très nombreux travailleurs ne possèdent pas de bureau : 1,5 millions d’emplois non salariés, 1 à 3 millions de salariés nomades en France, des centaines de milliers de toutes petites entreprises et de start-ups » expliquent-ils.

Parallèlement, Frenchwork permet aux restaurateurs de compléter leur revenus en « louant » leur salles durant les heures creuses. En un mot, un Aibnb des restaurants.

Lancé d’abord à Toulouse, les deux concepteurs veulent s’étendre rapidement sur l’ensemble de l’hexagone. L’objectif est d’adhérer « une centaine de restaurants dans les 10 premières villes français ces prochaines mois » détaillent-ils. Ils espèrent ainsi convaincre « entre 3000 à 5000 coworkers la première année ». Une belle initiative à suivre.

>> Frenckwork : https://frenchwork.fr/

Julien Leroy

17 Mar

Le leader européen du crowdfunding, KissKissBankBank, s’installe (bien) à Toulouse

Exclusivité. Le leader européen du crowdfunding, KissKissBankBank, aura bien une agence à Toulouse. L’information nous a été confirmée ce jeudi, par son co-fondateur, Adrien Aumont. Un second bureau sera également inauguré à Montpellier. L’inauguration est prévue avant cet été.

© MaxPPP© MaxPPP
KissKissBankBank va se déployer dans la région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées (LRMP). La start-up parisienne s’apprête à ouvrir « un bureau à Toulouse et un autre à Montpellier«  confirme Adrien Aumont, co-fondateur de  la plate-forme de financement participatif. 

Il y a aura bien un bureau à Toulouse. Adrien Aumont, co-fondateur de KissKissBankBank

Le projet d’une implantation dans notre région avait déjà fuité le 15 mars dernier. Mais, aujourd’hui, KissKissBankBank apporte des précisions. « Reste à trouver la personne » qui se chargera du bureau toulousain précise Adrien Aumont. « Je suis en train de passer de nombreux entretiens »

Il s’agira de la deuxième implantation régionale de la plateforme parisienne, après Lyon en septembre 2015. L’objectif est de créer un réseau national de permanences afin de développer une « démarche de qualité auprès de nos utilisateurs » explique-t-il.

Notre région Midi-Pyrénées représente un part important dans les projets soutenus par le leader des plateformes de crowdfunding.  Au total, 767 projets ont été financés grâce à 3852 contributeurs (baptisé les « KissBankers ») régionaux.  

KissKissBankBank est le leader européen du crowdfunding. Depuis sa création en mars 2010, la plateforme a levé 46 millions d’euros pour près de 20 000 projets. La start-up compte aujourd’hui plus de 830 000 KissKissBankBank.
Julien Leroy

26 Août

A Toulouse, restez chez vous avec Tisséo

©  Tisséo

© Tisséo

Plus besoin de patienter dans les agences de Tisséo pour obtenir sa carte Pastel. Le service de transport en commun toulousain vient de lancer, ce mardi, un nouveau service en ligne : L’e-Agence

En quelques clics, vous pouvez effectuer, depuis votre domicile, toutes les démarches administratives de la carte Pastel Tisséo. Le service s’adresse à chaque personne ne disposant pas encore de la carte. Les dossiers sont traités en 5 jours maximum selon la direction. L’usager la reçoit directement dans sa boite aux lettres. 

>>> L’e-Agence est ouverte 24h/24 : cliquez ici