08 Déc

Sport : la startup Sportihome (le Airbnb des sportifs) signe un partenariat avec Décathlon

Exclusivité. Née à Montpellier en 2017, la startup Sportihome continue de grandir. La plateforme de location de logements entre sportifs vient de signer un partenariat avec Décathlon. La marque préférée des Français va désormais commercialiser les offres de la jeune pousse d’Occitanie.

© Alexis Sciard / MaxPPP]

Après la start-up toulousaine Cenareo avec Samsung, c’est au tour de Sportihome de conclure un partenariat avec Décathlon. Ces collaborations entre grands groupes et jeunes pousses innovantes prouvent que l’écosystème numérique d’Occitanie se porte bien.

Créée à Montpellier en 2017, Sportihome est un « airbnb » des voyageurs sportifs. L’application propose à la fois un guide des meilleurs spots dans le monde et la possibilité de loger chez des sportifs aussi passionnés que vous. A ce jour, la plateforme couvre 45 disciplines sportives, recense 6700 locations et revendique près de 30.000 utilisateurs.

Un service unique en France qui a convaincu très tôt, Décathlon. C’est pourquoi, l’entreprise française de grande distribution de sport et loisirs, vient de signer un partenariat commercial avec Sportihome. 

Désormais, certains magasins de l’enseigne vont proposer des offres de location Sportihome à leurs clients. 

« Offrir des services complémentaires autour du matériel de sport vendu dans nos rayons est un réel plus pour nos clients. Imaginez … vous achetez votre nouvelle paire de ski et repartez aussi avec votre réservation de logement à la montagne chez un local lui aussi passionné de ski ! » explique Philippe Cassan, directeur régional de Décathlon Occitanie.

L’offre commerciale sera disponible à partir du 14 décembre 2019 dans les Décathlon de Montpellier, Bordeaux, Strasbourg et Teste de Buch.

Sylvain Morel, cofondateur de Sportihome est ravi de pouvoir s’adosser à l’enseigne préférée des Français (Crédit : Sportihomme)

Sylvain Morel, cofondateur de Sportihome est ravi de pouvoir s’adosser à l’enseigne préférée des Français : « Cette idée de partenariat avec Décathlon nous l’avons eu dès le démarrage de Sportihome. Pour le lancer il nous fallait cependant avoir une offre suffisamment dense pour satisfaire leurs clients et les futurs voyageurs sportifs, c’est chose faite, ils vont adorer !« .

L’entrepreneur montpelliérain espère s’étendre aux autres magasins du groupe. 

En seulement 2 ans d’existence, Sportihome affiche plus de 4000 réservations pour un chiffre d’affaire de 500.000 €. La start-up est également passée de 2 à 10 salariés. 

Julien Leroy

17 Sep

Start-up : L’accélérateur WeSprint se transforme en Business Angel

Né en Occitanie, WeSprint change de stratégie. Après 3 ans d’existence et une cinquantaine de startups accompagnées, l’accélérateur veut devenir un Business Angel. Une nouvelle offre lancée ce mardi 17 septembre. Les candidatures sont ouvertes.

© WeSprint

Dans le vaste écosystème des structures qui accompagnent les startups innovantes, WeSprint dévoile, ce mardi 17 septembre 2019, sa nouvelle stratégie.

Implanté à Montpellier, Toulouse et Marseille, cet accélérateur va progressivement abandonner l’hébergement des jeunes pousses pour se transformer en investisseur.

« WeSprint propose de devenir le premier Business Angel des entrepreneurs innovants en investissant entre 25.000 € et 100.000 k€ en equity dans les startups les plus prometteuses » annonce Arnaud Laurent, CEO de WeSprint. 

La structure veut ainsi répondre aux besoins financiers immédiats des entrepreneurs.

« Nous avons vu beaucoup trop de belles startups mourir ou se retrouver en mauvaise posture à cause d’un manque de trésorerie. Les fonds d’investissement ne sont pas toujours bien adaptés pour les débuts d’une startup et les groupes de Business Angels pas toujours assez rapides dans leurs prises de décision et pas toujours en mesure d’accompagner sur les problématiques quotidiennes ensuite. Voilà pourquoi nous lançons cette nouvelle offre » précise Arnaud Laurent. 

L’objectif est de « devenir le premier Business Angel des entreprises innovantes ». 

WeSprint continuera à proposer une aide opérationnelle aux entrepreneurs grâce aux conseils des 25 mentors du réseau.

La nouvelle offre est ouverte à toutes les startups françaises qui souhaitent bénéficier de ce premier investissement. 

Lancé en 2016 à Montpellier, WeSprint revendique la première place des accélérateurs du Sud de la France, avec 50 startups accélérées en 3 ans. Labellisés French Tech, l’entreprise est partenaire du Startup Garage de Facebook pour l’Occitanie

Julien Leroy

01 Juil

Les 3 chiffres à retenir sur l’emploi numérique en Occitanie

© Bruno Levesque / MaxPPP

L’INSEE a dévoilé, ce vendredi 28 juin, une étude sur l’économie et l’emploi numérique en Occitanie. Voici les 3 chiffres clés à retenir.

197.000 emplois numériques

La région compte 97.600 emplois liés au secteur du numérique, soit 4,4 % de l’emploi régional. Des statistiques qui datent de 2016.

L’Occitanie se classe ainsi au 3e rang des régions françaises derrière l’Île-de-France et Auvergne-Rhône-Alpes.

Par ailleurs, l’emploi numérique progresse bien plus vite que l’emploi total (+ 10,6 % entre 2007 et 2016 contre + 6,0 %) ;

21 emploi sur 2 est situé à Toulouse

Sans surprise, les deux principales villes d’Occitanie concentrent 75% des emplois liés au secteur du numérique, soit 71.400 collaborateurs.

Toulouse est évidemment en tête de ce duo avec 51.500 emplois. La ville rose se classe comme la 3e ville de France après Paris et Lyon.

L’INSEE note que d’autres bassins d’emploi se développent, notamment autour de Nîmes (3700 emplois), Perpignan (2700) ou Tarbes-Lourdes (1700).

3Une région plus dépendante que ses voisines

En Occitanie, 45.400 emplois salariés du numérique dépendent d’un centre de décision situé hors de la région. Cela représente 66 % du secteur.

Par conséquence, l’Occitanie est plus dépendante que dans les trois régions limitrophes. Les taux de dépendance s’élèvent à 62 % en Auvergne-Rhône-Alpes et à 64 % en PACA et Nouvelle-Aquitaine.

>>> Etude complète de l’emploi du numérique en Occitanie par l’INSEE : cliquez ici

Julien Leroy

26 Mar

L’application qui évite les PV de stationnement disponible sur Toulouse et Montpellier

Seety (anciennement cPark) est une application qui permet d’éviter les amendes de parking en signalant le passage des agents de contrôle. Développée en Belgique, elle débarque ce mardi 26 mars dans 10 villes françaises dont Toulouse et Montpellier.

© JOSSELIN CLAIR / MaxPPP

En finir avec les amendes de stationnement. C’est le slogan de l’application belge Seety qui débarque ce 26 mars dans 10 villes françaises dont Toulouse et Montpellier.

« L’application Seety vous aide à éviter les amendes et à réduire vos dépenses de stationnement » précise le fondateur Hadrien Crespin.

Le service mobile repose sur une communauté d’automobilistes qui signale le passage des agents de contrôle et les voitures-radar. Une entraide qui permet d’éviter (au maximum) un PV de stationnement. Seety indique également les différentes zones de parking d’une ville (gratuit, à disque ou payant) avec les divers tarifs.

Lancée en Belgique et à Paris en 2018, l’application revendique 170.000 utilisateurs dont 60.000 dans la capitale française.

Après plusieurs mois d’attente, Seety débarque ce mardi 26 mars, dans 10 villes françaises supplémentaires : Bordeaux, Grenoble, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Starsbourg, Montpellier et Toulouse.

« Notre ambition est d’atteindre 500 000 utilisateurs d’ici la fin de l’année. Dans les mois qui viennent, nous allons progressivement lancer nos services dans toutes les grandes et moyennes villes de France avant de partir à la conquête du marché espagnol » espère Hadrien Crespin.

En attendant, l’application est déjà un calvaire pour les municipalités. Signaler un contrôle pour éviter le PV fait forcement polémique mais cela reste légal. A Paris, la mairie accuse les concepteurs de vouloir « détourner les règles ».

>> Plus d’info sur cette application anti-PV avec le reportage de France 3 Occitanie (Corinne Carrière et Eric Foissac) : 

Julien Leroy

16 Jan

Facebook lance son programme « Startup Garage » en Occitanie

Pour la première fois, Facebook France va déployer son programme d’accélération « Startup Garage » en région. Toulouse et Montpellier ont été choisis pour installer cet accompagnent destiné au secteur des données personnelles.

© Startup Garage Paris from Facebook

Après le Launchpad de Google à Toulouse en 2015, c’est au tour de Facebook de venir sur les terres d’Occitanie.

Le réseau social va déployer son programme « Startup Garage » dans 3 régions françaises : L’Occitanie, le Grand Ouest et Provence-Alpes-Côte d’Azur. Une première pour cet accompagnent né en 2017 à Paris et destiné aux start-up spécialisées dans le traitement des données personnelles. 

Au total, 20 entrepreneurs seront conseillés durant 6 mois, pour se professionnaliser et développer leur projet.

WeSprint Toulouse, partenaire officiel de Startup Garage

Pour installer ce programme d’accélération, Facebook va s’appuyer sur des incubateurs régionaux. En Occitanie, c’est WeSprint qui a décroché le partenariat.

Basée à Toulouse et Montpellier, cette structure aide des entreprises innovantes en les parrainant avec des mentors du secteur. Une recette qui a permis d’aider notamment Staffman (qui vient de lever 600.000 euros), Emprunte mon toutou ou Rugbynistère.

Les start-up intéressées ont jusqu’au 10 février pour déposer leur candidature.

>>>  Plus d’info sur le site de WeSprint Occitanie : www.wesprint.com/startup

Julien Leroy

07 Jan

CES 2019 : Las Vegas accueille une quarantaine de start-up d’Occitanie

La région Occitanie sera (évidemment) présente au plus grand salon mondial du high-tech. Le CES 2019 ouvre ses portes ce mardi 8 janvier à Las Vegas (Etats-Unis). Plus de 40 start-up de Toulouse à Montpellier sont du voyage.

CES 2018 © JAMES ATOA / MAXPPP

Une quarantaine de startup d’Occitanie participe au Consumer Electronics Show (CES) qui ouvre ses portes ce mardi 8 janvier. Il s’agit du plus grand salon mondial consacré au high-tech et au numérique. 

L’objectif des entrepreneurs est de se faire connaître, rencontrer des investisseurs et dénicher les nouvelles tendances.

Le CES de Las Vegas est la plus grande vitrine mondiale en matière d’innovation numérique avec 180.000 visiteurs, 7500 médias et 4500 exposants.Impossible de rater ce rendez-vous pour Occitanie, l’une des régions françaises les plus dynamiques du secteur.

Environ 40 entreprises de la « Tech Occitanie » seront du voyage. C’est un tiers de moins qu’en 2018, année record pour la French tech régionale.

Si certains sont des habitués du salon (Sigfox, Rubix,…), c’est l’heure du baptême pour de jeunes pousses. Notamment, pour l’Ariégeois Mobility Work (réseau social de la maintenance et de la réparation), le Tarnais Marienka (qui transforme tout type de surface en interrupteur) ou le Toulousain EyeLights et son casque de moto connecté

Depuis 4 ans, les startup françaises sont très attendues à Las Vegas. La French Tech est aujourd’hui l’une des principales attractions du CES. La délégation française est la 3e mondiale avec près de 421 entrepreneurs. Derrière les Etats-Unis et la Chine. 

>>> CES 2019 de Las Vegas : www.ces.tech

22 Mar

MedPics, le réseau social des médecins pour échanger sur des cas cliniques

E-santé. MedPics permet de rassembler le corps médical pour échanger leur expertise sur des cas cliniques anonymes. Cette application a été créée par une start-up de Montpellier. Elle compte aujourd’hui près de 50.000 professionnels.

© Medpics

Unique en France, MedPics est une application de partage de cas cliniques.

« Medpics est un véritable réseau social pour les médecins et professionnels de santé qui leur permet d’échanger entre confrères de cas cliniques tout en préservant l’anonymat des patients » explique le concepteur, le Dr Safia Slimani.

L’objectif est « d’améliorer leur formation ou perfectionner un diagnostic en se basant sur l’intelligence collective« .

MedPics propose ainsi des groupes de discussion autour de cas cliniques anonymes mais aussi une messagerie instantanée privée afin de poursuivre l’échange avec un confrère.

« Pour les médecins isolés dans les déserts médicaux, cela peut permettre de rompre la solitude et d’échanger avec des confrères pour émettre des diagnostics Pour les étudiants, cela leur permet de s’exercer et d’apprendre au contact de professionnels » précise le fondateur.

Depuis janvier 2018, la plateforme délivre des formations en e-learning agréés par l’agence nationale du développement personnel continu (ANDPC). MedPics peut également se transformer en messagerie interne pour un hôpital. En résumé, MedPics veut devenir le couteau suisse du professionnel de la santé.

Fondée en mars 2015 à Montpellier, la plateforme revendique près de 50.000 utilisateurs et plus de 15.000 cas cliniques.

L’idée est née dans la tête du docteur Safia Slimani, généraliste à Salon-de-Provence. Lors d’un week-end start-up de Montpellier, elle rencontre son associé : Jonathan Oleszkiewicz, ingénieur informatique. Depuis la jeune pousse compte 7 salariés.

>>> Pour télécharger l’application Medpics : www.medpics.fr

Julien Leroy

11 Mar

Montpellier : la start-up Vaonis invente un télescope aussi simple qu’un… iPhone

Baptisé « Stellina », ce télescope unique au monde, est doté d’un seul bouton. Il suffit de cliquer dessus pour le piloter directement avec un smartphone. L’utilisateur peut alors photographier les étoiles et les partager aussitôt sur les réseaux sociaux.

© Vaonis

© Vaonis

A Montpellier, la start-up Vaonis veut révolutionner le marché de l’astronomie grand public.

Pour cela, elle a imaginé un télescope connecté aussi simple qu’un iPhone !

Baptisé « Stellina », ce cube épuré est doté d’un seul bouton. Il suffit de cliquer dessus et le télescope se déplie automatiquement. Il se pilote directement avec une tablette ou un smartphone. Au bout de quelques minutes, l’appareil est prêt à photographier l’astre. Les photos sont à partager aussitôt sur les réseaux sociaux.

Destiné aux passionnés et aux novices d’astronomie, ce bijou technologique est également le plus petit télescope au monde. Avec ses 7 kg, il rentre facilement dans un sac à dos.

Cette innovation unique est née dans la tête de Cyril Dupuy. A 27 ans, cet ingénieur est un passionné des étoiles. Il est d’ailleurs le président du club d’astronomie de Castelnau-le-Lez, près de Montgolfier.

Après une levée de fonds de 1,7 million d’euros en décembre 2017 et une présentation au CES de Las Vegas, Vaonis espère en vendre 1000 exemplaires d’ici la fin de l’année.

Le premier modèle sortira au printemps au prix de 2100 euros.

>> Plus d’info en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – mars 2018  :

Julien Leroy

20 Déc

Noël numérique : idées de cadeaux high-tech et 100 % Occitanie

A quelques jours de Noël, c’est le moment de trouver des idées de cadeaux. Pour vous aider, voici une sélection d’objets high-tech et…100 % Occitanie, pour toute la famille.

© France 3 Toulouse

© France 3 Toulouse

Une station météo de poche

Si vous êtes un sportif, l’objet connecté « WEZR » pourrait révolutionner votre quotidien. Il s’agit d’une station météo de poche ultra-précise inventée par une start-up de Montpellier.

Plus petit qu’une balle de ping-pong, le capteur s’accroche à votre sac à dos ou à votre bâton de ski. Via votre smartphone, la station affiche la température, la pluie ou la direction du vent,…

Une gamelle connectée pour votre chat

Autre idée de cadeau avec « Catspad » : le premier distributeur connecté d’eau et de croquettes pour chat. Unique au monde !

Mise au point par des Toulousains, la gamelle permet de nourrir son compagnon avec de petites portions définies et pesées par un programme automatique.

Ne rien oublier avec un pense-bête connecté

Pour ne jamais oublier ses idées, vous pouvez offrir « Yuzz.it » !

Il s’agit d’un pense-bête connecté équipé d’un micro et d’un système de reconnaissance vocale. Vos inspirations quotidiennes sont ensuite enregistrées sur votre téléphone.

Analyseur pour spa et piscines

Pour terminer, les Catalans de « Flipr » proposent un analyseur connecté pour spa ! Cet assistant permet de contrôler le PH et la température de l’eau. De quoi simplifier les opérations d’entretien.

Passez de belles fêtes de fin d’année !!

>> Retrouvez ces idées de cadeaux en image avec ma chronique dans « 9h50 le matin Occitanie » sur France 3 – Décembre 2017  :

Julien Leroy

05 Déc

Occitanie : Que devient l’application « Sportihome », le Airbnb des sportifs ?

Née à Montpellier, que devient l’application Sportihome, le « Airbnb des sportifs » ? Un après son lancement, la plateforme séduit de plus en plus les passionnés de sports d’aventure.

© Sportihome

© Sportihome

Startupeurs, youtubeurs, web-série,… ils ont fait le buzz au moment de leur lancement. Mais que deviennent-ils quelques mois ou années après ? Sont-ils parvenus à transformer l’essai ? Votre blog #ToutCeQuiBuzz vous donne de leurs nouvelles.

Une application unique en France

Sportihome s’adresse à tous les passionnés de sport extrêmes : kitesurf, VTT, surf, randonnée, escalade, parapente,…

Créée à Montpellier, l’application est à la fois un « Google Maps » des meilleurs spots de sports d’aventure et un « airbnb » des voyageurs sportifs.

Sa première fonctionnalité est de « proposer un guide de spots renseignés et évalués par la communauté sportive » explique Sylvain Morel, l’un des deux fondateurs de Sportihome. A ce jour, plus de 900 spots sont recensés sur l’appli.

Mais l’innovation provient surtout de la deuxième fonctionnalité. Pour chaque spot, l’application propose des hébergement chez un particulier qui partage la même passion. Bref, un « airbnb » pour les voyageurs sportifs. Votre hôte peut d’ailleurs venir avec vous et partager le plaisir sportif.

Essai transformé !

Lancée en janvier 2017, Sportihome séduit. « A ce jour, nous comptons 11 644 membres, 1 431 logements et 907 spots » énumère Sylvain Morel. 

Un succès qui a permis à la start-up de recruter « 2 développeurs web en CDI, un en janvier, un autre en juin« . 4 nouveaux postes sont également prévus pour 2018.

La jeune pousse montpelliéraine prépare également une levée de fonds.

En attendant, l’application proposera d’ici quelques jours, un service de paiement en ligne afin de faciliter les hébergements. Sportihome vient aussi de signer un partenariat avec la fédération française de vol libre (FFVL) et ses 33.000 licenciés. De quoi prendre (encore) de la hauteur. 

 

Julien Leroy