La start-up toulousaine Sigfox poursuit sa conquête du marché mondial. Spécialiste des objets connectés, la société dirigée par Ludovic Le Moan veut lever 50 millions d’euros pour financer sa croissance. 27 millions d’euros ont déjà été levés et Sigfox devrait doubler son chiffre d’affaire cette année pour atteindre 6 millions d’euros.
Ces derniers mois, Sigfox s’est développé en Espagne, en Russie, en Angleterre et en Belgique. Mais aujourd’hui, la société basée à Labège veut partir à l’assaut du marché américain et asiatique. A terme, Sigfox veut devenir le premier réseau mondial des objets connectés. La société a d’ailleurs déjà reçu plusieurs offres de rachat mais les a jusqu’à présent déclinées selon le site web Frenchweb.
Jour J pour Toulouse, candidate au futur label national « French Tech ». Une délégation du secrétariat d’Etat à l’économie numérique est aujourd’hui dans la ville rose pour évaluer le dossier toulousain. Les experts de Paris vont auditionner les acteurs du secteur numérique et certains ambassadeurs du projet.
Lancé en novembre 2013, ce programme de labellisation a pour objectif de « construire un grand mouvement de mobilisation collective pour la croissance et le rayonnement des startups numériques françaises » explique le ministère à l’économie numérique. En effet, la France est à la pointe dans le secteur du numérique. Le label « French Tech » veut ainsi promouvoir les talents (entrepreneurs, ingénieurs, blogueurs,…) d’aujourd’hui et de demain. Les métropoles labellisées auront accès à des services et à une enveloppe de 200 millions d’euros pour les soutenir.
A Toulouse, le secteur du numérique représente 38 000 emplois et 3000 entreprises
Paris, Marseille, Bordeaux, Lyon, Montpellier, Grenoble, Nancy, Saint-Etienne sont également candidates. A Toulouse, le secteur du numérique représente 38 000 emplois, 3000 entreprises et plus de 2600 chercheurs. Midi-Pyrénées est ainsi la 3e région française dans l’industrie numérique, derrière l’île-de-France et Rhône-Alpes.
Après 7 mois de préparation, les acteurs toulousains retiennent leur souffle. Une première vague de labellissation est attendue pour fin octobre.
Deux jeunes frères et sœurs de Toulouse font actuellement craquer les stars avec leur reprises musicales postées sur YouTube. Lady Gaga les rencontrera d’ici quelques jours.
Samuel Atchouel (15 ans) et sa sœur Lucille (17 ans) sont passionnés par la musique et la chanson. Depuis mai 2013, ils forment le duo « in the Stairs » (dans les escaliers en français). Ils s’amusent à réaliser des reprises musicales de tubes planétaires de Madona, Katy Perry, Pink ou encore Lady Gaga.
Alternant les covers et les mashup (mélange de plusieurs titres en un seul), les vidéos sont ensuite tournées dans les escaliers (d’où le nom du groupe) de leur maison familiale à Toulouse. Depuis, la trentaine de vidéos mise en ligne sur leur chaîne YouTube, cartonne sur le web. Leur Mashup de Madona totalise plus de 43 000 vues. Les reprises de Lady Gaga attirent chacune plus de 22000 clics. « C’est surprenant, car nous faisons cela uniquement pour nous amuser » confie le duo toulousain dans Le Figaro.
Un succès virtuel mérité qui séduit les internautes mais aussi les stars. Belinda Carlisle, Cher,… les ont déjà félicité pour leur création. Récemment la star américaine, Lady Gaga a été séduite par les deux jeunes français. Elle vient d’ailleurs de les inviter à son prochain concert à Dublin le 17 octobre.
Une belle histoire qui provoque un emballement médiatique (radio, TV, presse,…) depuis une semaine. Samuel et Lucille n’en reviennent toujours pas mais garde la tête froide. S’amuser et chanter restent leurs objectifs. Le duo a même commencé à composer quelques chansons. A suivre…
>>> Mashup de Lady Gaga :
>>> Découvrir les vidéos et leur chaine YouTube en cliquant ici. >>> Page Facebook du duo :cliquer ici
Le musée accessible à tous. C’est l’objectif de la nouvelle application mobile du musée des Augustins de Toulouse qui propose désormais une version en langue des signes. Les visiteurs sourds et malentendants peuvent ainsi découvrir 21 chefs-d’œuvre majeurs traduits en LSF. Lancée il y a une semaine, l’application est disponible gratuitement sur Androïd et Apple. Le musée des beaux arts de Toulouse travaille depuis des années avec cette communauté très importante dans la ville rose. Des visites tactiles ou en LSF sont régulièrement organisées.
>> Pour télécharger l’application sur Android et Apple
La musique apaise les esprits. Au lendemain de la défaite surprise de Jean-Michel Baylet aux élections sénatoriales, des dizaines d’utilisateurs de Twitter ont voulu le consoler en lui chantant une petite chanson avec le hastag #bayletsong. L’initiative a été lancée par le Lab d’Europe 1.
Aidez-nous à consoler Jean-Michel Baylet avec le hashtag #BayletSong ! Exemple: BAYLET BAYLET LA BAMBA !
Site web « La guerre de 1914-1918 en Midi-Pyrénées »
Dans le cadre du centenaire de la 1ère guerre mondiale 1914-1918, le Conseil régional de Midi-Pyrénées vient de lancer un site web retraçant le conflit dans la région. La page propose une chronologie des évènements, une cartographie interactive mais surtout des chroniques. Ces dernières « ont pour objectif de faire découvrir la vie des habitants de Midi-Pyrénées, de présenter les principaux évènements ainsi que leurs conséquences sur la vie quotidienne en Midi-Pyrénées » précise l’équipe chargée du projet. Ces chroniques seront publiées mensuellement et jusqu’à l’anniversaire de l’armistice, en novembre 2018. Conçu par la Direction de la Culture et de l’AudioVisuel du Conseil régional, ce site est une belle initiative qui participe au devoir de mémoire.
L’Aveyron est à l’honneur sur le moteur de recherche « Bing ». Le Viaduc de Millau figure actuellement parmi les 8 images du monde choisies pour sa page d’accueil La semaine dernière, le département était également en une avec une photo du Rougier de Camarès. Crée par Microsoft, Bing est le 2e moteur de recherche mondial sur le web avec une part de marché de 3,7%. Certes, très loin de la suprématie de Google (90%).
Lors d’un billet en avril, je vous avais parlé de la « BleamCard », la première carte de visite interactive et connectée. Aujourd’hui, le projet toulousain devient réalité avec la commercialisation du service. A tester gratuitement.
Tester gratuitement le service… Depuis une semaine, il est possible d’acheter sa « BleamCard » à partir de 50 euros. Vous recevrez alors votre « Bleam » (un logo interactif personnel) à insérer sur une carte de visite ou sur n’importe quel support papier et numérique (site web, prospectus affiche,…). Un service innovant réservé aux professionnels mais que les particuliers peuvent tester gratuitement. En quelques minutes, il est possible de créer son « Bleam » pointant sur un compte Twitter, une page Facebook ou un site internet perso (cf. mon BleamTwitter ci-dessous).
Le Bleam, kézaco ? Le « Bleam » est un smart logo personnel inventé par la start-up Ubleam, basée à Labège près de Toulouse. Il suffit ensuite de le scanner avec son Smartphone pour accéder aussitôt à vos coordonnées téléphoniques et numériques (site web, blog, contenus commerciaux, photo du titulaire,…). Une carte de visite « alliant Print et digital » explique les co-fondateurs d’Ubleam, Samuel Boury et Olivier Mezzarobba. Ils espèrent ainsi révolutionner les 28 millions de carte de visite qui s’échangent chaque jour à travers le monde.
Vers la fin du Flashcode ? « Bleam » ressemble évidemment au fameux Flashcode. A terme, il devrait probablement le remplacer. En effet, il offre davantage d’informations (vidéo, coordonnées, photo,…) et le scan fonctionne sous tous les angles. Un vrai bonheur pour ceux qui ont déjà passé de longues minutes d’agacement à photographier un code QR !
Nouvelle épisode pour la web-série « Toulousains ! », réalisée par le duo de comédiens Fred&Melissa. Cette fois-ci, nos héros parlent de rugby féminin et de ses clichés. La vidéo a été mise en ligne ce matin. Reste à savoir si le sketch fera le buzz. A vous d’en juger en regardant la vidéo : cliquez ici
C’est le buzz de la journée. Uber a débarqué ce lundi matin sur Toulouse.
Cette application américaine pour Smartphone propose un service de transport à la demande. Uber met en relation des particuliers avec leur propre voiture qui vont transporter d’autres particuliers. Le trajet est ensuite facturé. L’apps existe déjà dans 200 villes à travers le monde. Une concurrence frontale avec … lire la suite