16 Jan

La Bonne Ame du Se-Tchouan

Du 29 janvier au 1er février, le théâtre de La Criée présente la nouvelle création de Jean Bellorini,  figure montante de la jeune génération théâtrale. En mettant en scène La Bonne Ame du Se-Tchouan de Brecht, il s’attaque à un « monument » du théâtre du 20ème siècle achevé en 1940 ; un texte d’interrogations face à l’existence de l’homme, un texte politique associé au mystère de la poésie…
©pologarat-odessa

©pologarat-odessa

Une fête théâtrale intense et profonde.

Jean Bellorini a rêvé un spectacle simple, drôle et terrible aussi. Une danse, un bal, porteur d’une grâce légère et d’une force violente. Des chansons et un esprit de fanfare porté par une troupe débordante et créative une grande famille de 18 comédiens et Macha Makeïeff pour en imaginer les costumes.

JEU

Participez pour gagner vos places pour une des représentations de la Bonne Ame du Se-Tchouan

Extrait

Toutes les infos sur le site de La Criée 

Jean Bellorini vient d’être nommé directeur du théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis (Centre dramatique national)

Presse

Créée à Zurich en 1943, La Bonne Ame du Se-Tchouan, appartient au cycle des grandes pièces écrites par Brecht en exil – Mère Courage, Maître Puntila, La Résistible ascension d’Arturo Ui. […] Il suffit qu’un jeune metteur en scène de 30 ans – Jean Bellorini – la revisite pour qu’elle retrouve ses couleurs de fable épique et lyrique, magnifique et bouleversante, désespérée et joyeuse. Voire de conte tragique et merveilleux. Le spectacle dure plus de trois heures. On ne les voit pas passer, incapable de résister à ce même bonheur déjà éprouvé lors des précédents spectacles de Jean Bellorini. Le bonheur de vivre des belles et grandes histoires racontées sur le mode naïf, riches d’images poétiques et de pure émotion. Ce qui n’interdit pas la réflexion. La définition du théâtre populaire ?

La Croix

Jean Bellorini dans l’Humeur Vagabonde de Kathleen Evin
Ecouter l’émission

15 Jan

Baron Samedi, la dernière création d’Alain Buffard

 

Le Pavillon Noir d’Aix-en-Provence a de tout temps soutenu le travail de ce chorégraphe dont on déplore la disparition depuis le 21 décembre dernier.
Inscrite dans la programmation depuis plusieurs mois, sa dernière création Baron Samedi sera jouée par sa troupe du 30 janvier au 1er février prochains.

Ni tout à fait danse, ni tout à fait théâtre, cette pièce radicale et musicale est construite autour de l’étrange personnage du Baron Samedi. Dans le panthéon vaudou, ce personnage favorise le passage de la vie à trépas avec son lot d’audace, d’obscénité parfois et d’outrances. Il porte le frac et le haut-de-forme et entraîne tout un monde cosmopolite à le suivre dans ses débordements.
Ici pas de transe pour les artistes, chanteurs, danseurs ou musiciens, mais une parade de joyeux déshérités,  hommes et femmes tapis dans l’ombre d’une société trouble, qui espèrent, pour quelques minutes, entrer dans la lumière…

Pour gagner vos places, participez à notre jeu

 

Entretien

« Alain Buffard aime transgresser les frontières de la danse pour inventer un univers ouvert à l’art contemporain, la vidéo et la performance.
Son parcours aux allures d’école buissonnière est jalonné de rencontres décisives : Alwin Nikolais qui lui enseigna la danse au CNDC d’Angers, Daniel Larrieu et Régine Chopinot dont il fut l’interprète, Claude Régy avec lequel il mit en scène Les Maîtres chanteurs de Wagner, la performeuse Anna Halprin à laquelle il consacra un film, 
My Lunch with Anna »…

Extrait de Self & Others (séquence Thriller) Ménagerie de Verre, Paris 2008

 

le site de la compagnie 

Pour aller plus loin, lire l’article de CultureBox

19 Déc

Mediterraneo : Retour sur tournage en Egypte

 

Depuis 20 ans, Mediterraneo vous propose chaque semaine de partir à la rencontre du monde méditerranéen. Découvrir ses richesses, sa diversité culturelle, ses réalités multiples, à travers des portraits, des regards et plonger au cœur de l’histoire sans cesse en mouvement. 

Une série de reportages au coeur d’une actualité internationale brûlante.

Yannick Aroussi et Christian Mathieu, journalistes-reporters pour le magazine, étaient en Egypte au mois de novembre pour y prendre le pouls d’un pays dont on entend ici l’écho, au gré d’événements plus ou moins médiatisés.
De la Sissimania qui saisit aujourd’hui une bonne partie des Egyptiens au problème des réfugiés syriens devenus personae non gratae depuis la chute du régime de Mohammed Morsi, ils dressent un portrait sans complaisance d’un pays en crise et nous livre une série de trois reportages qui seront diffusés en janvier.

 

Yannick Aroussi a bien voulu revenir avec nous sur ce travail et éclairer de son expérience les conditions de ce tournage en eau vive.

 

Yannick Aroussi, itw 1 par france3provencealpes

Extrait : Une idée de la « Sissimania »
Extrait par france3provencealpes


Yannick Arroussi, itw 2 par france3provencealpes

Le premier reportage consacré à la « Sissimania » sera diffusé dans Mediterraneo du 12 janvier sur  France 3, puis sur TV 5 et la RAI 3.

 

Pour aller plus loin :
Le général Al Sissi surfe sur une vague nationaliste Le Monde
Le drame des réfugiés syriens en Egypte L’express

16 Déc

La Criée reprend ALI BABA

Du 7 au 12 janvier 2014, reprise exceptionnelle de la dernière création de Macha Makéieff après une série de représentations au Théâtre national de Chaillot, au TNP de Villeurbanne et en tournée.

Le Théâtre de La Criée va résonner des bruits d’un monde rêvé par la dame de ces lieux, Macha Makéieff.
En se saisissant des contes des Mille et Une Nuits, elle dit son bonheur de travailler un genre où tout devient possible : du plus merveilleux au plus prosaïque.

Monter Ali Baba à Marseille a la résonance singulière, chaleureuse, pasolinienne, d’une appartenance vraie. Ali Baba est pour tous un personnage familier, un cousin, un voisin, une vieille connaissance dont l’histoire traverse toutes les littératures. C’est celle de la destinée inouïe d’un brave gars sans histoire, ramasseur de métaux, devenu richissime par hasard, ou plutôt par la grâce et la fantaisie, le merveilleux d’un conteur arabe oublié. Mais est-ce que l’argent enchante vraiment l’existence ?


Ali Baba-Macha Makeieff- Recréer l’innocence

 

La distribution

Atmen Kelif    Ali Baba
Thomas Morris    Qâssim Baba frère d’Ali, Frère Zlubia le savetier, un voleur
Shahrokh Moshkin    Ghalam Youssouf le chef des Voleurs
Canaan Marguerite    Zulma la femme de Qâssim, un voleur
Aurélien Mussard    Voleur acrobatique
Romuald Bruneau    Voleur acrobatique
Braulio Bandeira    Abdullah, le barbier, un voleur
Philippe Borecek    Musicien ambulant, un touriste
Philippe Arestan    Musicien ambulant, un voleur
Aïssa Mallouk    Aziz Baba fils d’Ali, un voleur
Sahar Dehghan    Morgiane, Schéhérazade

Production : Théâtre national de Marseille La Criée.
Coproduction : Marseille- Provence 2013, Capitale européenne de la culture ;
Théâtre Anne de Bretagne – Vannes
Théâtre Liberté – Toulon

11 Déc

Dans les coulisses de l’hypercommerce

Samedi 14 décembre 16:15  sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur
et en replay sur notre site web dès la fin de la diffusion.

Cette semaine, Chroniques du Sud – Coulisses – vous emmène dans le ventre de l’un des plus grands hypermarchés de France, Carrefour Vitrolles, temple de la consommation de masses. Vingt-mille m² de surface utile à deux pas de Marseille, deux millions et demi de clients par an, attention ! Gigantesque !

Vincent Desombre tourne depuis le début de la saison les volets coulisses de l’émission Chroniques du Sud. Après s’être concentré sur l’envers du luxe côté hôtellerie et gastronomie, le voici dans une sujet plus « popu » mais où tout se voit en XXL.

Entretien avec Vincent Desombre

vincent-portrait

PZ : Vous vous êtes plongé pour faire ce film dans l’un des plus grands hypermarchés de France. A l’heure où il est fréquent de se poser la question de l’hyper consommation, comment avez-vous perçu ce monde de la grande distribution? Sans complexe? Alimenté par une clientèle toujours fidèle au poste ?

VD : J’ai été en effet assez surpris de constater que la grande distribution n’est  pas aussi « has-been » que cela. On a beau, pour certains, faire nos courses dans des commerces de proximité qui affichent label équitable etc. ces grands supermarchés résistent très bien à cette tendance minoritaire, il faut le dire. Ce qui frappe au premier abord, c’est le gigantisme : 20 000 m², des chiffres toujours astronomiques et pour n’en citer qu’un : une tonne de bananes vendue tous les jours. En ce moment, 30 000 clients arpentent les rues de cette véritable ville. Il faut se défaire d’une idée un peu caricaturale que l’on a des hypermarchés où le client tient lieu de vache à lait. Ce n’est pas si simple que cela. Certes, l’hyper est une entreprise dont le but – on ne s’en cache pas –  est de vendre et d’augmenter le chiffre d’une année sur l’autre. Du simple vendeur au directeur, c’est la culture du chiffre décomplexée. Mais pour autant, les choses ont évolué et, si l’on pouvait dans les années 70 « fourguer » n’importe quelle marchandise à bas prix, il n’en est pas de même aujourd’hui. Il y a un réel souci de qualité et de traçabilité des produits. La viande, le poisson font l’objet d’une surveillance particulière. Le client est plus attentif qu’il y a 30 ou 40 ans et les grandes surfaces – a fortiori de cette taille – se sont adaptées. Parmi les 70 000 références présentes dans les rayons, la fourchette est large et chacun peut y trouver son « bonheur ».

PZ : Qui sont les clients de ces hyper marchés ? Des proies faciles ? Des amoureux du « magasinage » comme on dit au Québec ?

VD : C’est vous et moi. Il faut rappeler que selon un sondage, 9 français sur 10  font leurs courses en grande surface. Ce n’est donc pas anecdotique. On est dans la logique du : « on fait le plein  pour la semaine ». J’ai remarqué pas mal de personnes âgées et d’ailleurs, j’ai rencontré et suivi pendant le reportage un couple de retraités qui fréquentait cet endroit depuis 42 ans, année de sa création. Ils se souvenaient avec émotion de leur première visite : on leur avait donné un plan pour qu’ils ne se perdent pas dans les rayons. Eh bien ces gens-là, ils font attention mais en même temps ils sont cœur de cible et en sont conscients. Le jour où je les ai suivis, ils étaient venus pour acheter de la pâte à pizza pour l’anniversaire de leur petite-fille ; ils sont repartis le caddie rempli. En fait, ils se font plaisir en faisant leurs courses et se lâchent un peu financièrement.Tentés tout le temps mais en même temps consentants.
La meilleure preuve de leur objectivité tient dans une citation que m’a livrée monsieur : « Comme dit Oscar Wilde, je résiste à tout sauf à la tentation ».

PZ : Vous a-t-on facilité les choses à Carrefour-Vitrolles ?

VD : On nous a ouvert les portes très facilement. Au départ, on devait travailler avec un autre groupe qui a tardé à nous donner sa réponse. C’était un jour oui, un jour non. Là, la réponse a été immédiate. Avec les précautions d’usage, à savoir la présence d’une attachée de presse à nos côtés mais on ne peut pas dire qu’ils aient empêché quoi que ce soit. En revanche, forts d’une mauvaise expérience l’an passé avec un autre média qui les avaient piégés pour tenter d’obtenir des images choc, ils ne nous ont pas permis d’aborder les questions liées à la sécurité, à l’argent, aux caméras de surveillance.

PZ : Qu’est-ce-qu’on apprend en plongeant dans les coulisses de ce grand Barnum ?

VD : Ce qui me plaît dans mon métier, c’est la rencontre avec les gens. Et là, je dois dire que j’ai rencontré la fameuse « France qui se lève tôt ». Ils sont 600 employés qui travaillent pour certains dès 3h00 du matin pour des salaires pas vraiment mirobolants. Il y a une pression constante mais qu’ils intègrent eux-mêmes, c’est-à-dire qu’ils sont dans la culture de la performance à l’américaine. En même temps, ils ne sont pas malheureux et trouvent leur équilibre là-dedans. Et il y a des indices de cette « bonne santé » : beaucoup d’employés sont là depuis longtemps -20, 25 ans, parfois – et ont une véritable possibilité d’évolution. Le responsable des produits frais, par exemple, l’un des gros postes de l’enseigne, a débuté comme poissonnier il y a 20 ans. 
En fait, ce sont de vrais bosseurs. Ils remontent les manches. C’est l’esprit de la « boutique ».

 

Propos recueillis par Pernette Zumthor

 

28 Nov

The animals and Children took to the streets

Théâtre de La Criée, du 12 au 15 décembre 2013
Théâtre Musical à partir de 9 ans
Tentez de gagner votre place pour la soirée du 12 décembre

 Un univers baroque et déjanté à découvrir d’urgence

Il était une fois une étrange demeure du nom de Bayou Mansion, un immeuble perdu au milieu de nulle part, dans un quartier de banlieue abandonné à son triste sort. Il était une fois un conte que l’on feuillette comme un livre d’images animées, projetées sur des écrans avec d’étranges personnages bien vivants.

The-Animals.6408360

 

Mise en scène & texte Suzanne Andrade
Film, animation et design Paul Barritt 
Musique Lillian Henley 
CostumesSarah Munro & Esme Appleton 
Voix du tuteur James Addie.
Avec Sue Appleby, Lewis Barfoot et Eleanor Buchan

 

Une découverte Avignon 2012

Révélée en France au Festival d’Avignon 2012, la compagnie britannique 1927 revitalise l’esprit du fabuleux.
Tout un univers composé de dessins, musiques et chansons pour ce conte social d’un grand raffinement.
Une œuvre que chaque spectateur peuplera de ses souvenirs et de ses références. Pour certains, ce sera Tim Burton ou Méliès, pour d’autres Roald Dahl ou Dickens, Fritz Lang ou Kafka, Les Triplettes de Belleville ou L’Opéra de quat’sous… D’une précision toute magique, toujours entre sourire et larmes, ce spectacle pose poétiquement et très politiquement, la question de l’espoir possible dans un monde désenchanté. Un moment de grâce et d’originalité subversive à partager entre petits et grands.

Pour les anglophones, un extrait du spectacle et l’interview de Suzanne Andrade, la metteur en scène. Vidéo tournée à Edimbourg en 2011.

 

Quelques propos lus dans la presse

Rodés dans les cabarets et les restaurants de Londres « Un jour, Paul Barritt, qui était professeur de philosophie pour gagner sa vie mais illustrateur à ses heures, a entendu Suzanne à la radio, et lui a écrit pour lui demander de la rencontrer. Le duo – et non le couple – a créé son premier spectacle, Between the Devil and the Deep Blue Sea, déjà en combinant théâtre et image animée. « Il était composé de scènes que nous avions rodées dans des cabarets ou des restaurants, raconte la jeune femme. Dans ces soirées, votre »numéro » passe au milieu de ceux de rockers ou de magiciens, devant des gens un peu éméchés. C’est une école. »

Suzanne Andrade et Paul Barritt ont alors créé leur compagnie, 1927, qu’ils ont nommée ainsi, eux les passionnés de cinéma muet, en référence à l’année où est sorti Le Chanteur de jazz, premier film parlant. Ils ont fait venir avec eux la pianiste Lillian Henley, qui est aussi comédienne, et la comédienne Esme Appleton, qui est aussi costumière, et ils ont conçu The Animals…, qu’ils ont joué d’abord dans des lieux alternatifs du sud et de l’est londonien, avant d’être bien vite repérés par les institutions théâtrales, le National Theater et le Young Vic en l’occurrence. » lire l’intégralité…
Fabienne Darge, envoyée spéciale à Avignon pour Le Monde en 2012

« La rencontre entre Tim Burton et Alexander Rodchenko, entre Fritz Lang et Charles Dickens, entre le cinéma muet du début du XXème siècle et le roman graphique du XXIème siècle : une parabole glorieusement subversive, d’une intelligence à décrocher la mâchoire »

The Guardian

 

25 Nov

Chroniques du Sud à Sainte-Agnès dans le 06

Samedi 30 novembre 16:15  sur France 3 Provence-Alpes et Côte d’Azur
et en replay sur notre site web dès la fin de la diffusion.

 

Carine Aigon, productrice et animatrice du volet Découverte de l’émission voulait prendre de la hauteur, les drones ne lui suffisant plus…
Qu’à cela ne tienne ! c’est dans le village le plus haut perché d’Europe qu’elle est allée planter son piolet de découvreuse.

sainte_agnes_1299832802

Ce village de Saint-Agnès, non seulement se niche à 750 mètres d’altitude, mais il se paie le luxe d’un panoramique époustouflant sur la grande Bleue.
De quoi nous rendre jaloux de ses quelque 200 âmes qui, elles, ont l’air de nager dans le bonheur !

J’ai tendu mon micro à Carine qui a eu le coup de foudre pour ce bout de paradis.


Carine Aigon, interview pour Chroniques du Sud par france3provencealpes

 

Dès votre arrivée à Saint-Agnès dans les Alpes-Maritimes, vous ressentirez une vraie douceur de vivre. Laissez-vous guider à travers le village par ses habitants.
Avec Jean-Claude Rosier vous prendrez de la hauteur en le rejoignant au château fort du village. Puis, au détour des ruelles, poussez la porte de la boutique de Frédéric Pelissier, maître-verrier et de sa compagne Chrystine, plasticienne-coloriste. Un univers ou se mêlent la lumière et l’ombre …..
Avec Bruno Ray, vous pénétrerez  dans le fort de Saint-Agnès, un fort de la ligne Maginot : 2000 m2 creusés à même la roche.

Carine AIGON vous a préparé encore bien  d’autres surprises.
Alors, moteur ! action ! ça tourne samedi à 16h15 sur France 3

 

20 Nov

Fos-sur-Mer fête ses 50 ans

Deux rendez-vous à ne pas manquer sur nos antennes
à l’occasion de l’anniversaire du port de Fos-sur-Mer

Jeudi 21 novembre 12:00 et 19:00
Deux pages spéciales présentées par Jean-Louis Boudart
en direct depuis le port  
Ses invités du 19/20 :
Frédéric Pasqual, directeur général de Geodis Logistics Sud
Jean-Claude Terrier, président du directoire du GPMM (Grand Port Maritime de Marseille-Fos)

Samedi 23 novembre 16:15
Dans l’émission Chroniques du Sud

Dans les Secrets du port de Fos
un documentaire signé Charlotte Penchenier 
co-produit par France 3 et Mars Productions

 

Extrait
Dans les Secrets du port de Fos extrait par france3provencealpes

Des quais à perte de vue, des cheminées d’usine, des cuves de pétrole et des pipe-lines, un entremêlement de routes, de canaux
et de voies ferrées… Nous sommes sur le Grand Port Maritime de Marseille-Fos. Plus précisément sur les bassins ouest, dans le
golfe de Fos. Un immense territoire de 10 000 hectares, véritable plaque tournante : pétrole, charbon, bauxite, voitures, containers….
près de 80 millions de tonnes de marchandises transitent ici chaque année. Une fois les bateaux déchargés, camions et trains
prennent le relais pour acheminer les denrées. Un monde de matelots et d’ouvriers, d’ingénieurs et de dockers… Ce sont eux que nous allons suivre, au plus près de
leur quotidien. De la gestion du trafic maritime à la manutention dans les entrepôts, ils nous expliqueront leur fonction, souvent ultra spécialisée. Nous verrons comment cette chaîne humaine complexe fonctionne, selon une partition toujours recommencée, pour que les marchandises circulent sans jamais s’arrêter…
Bienvenue dans les coulisses du premier port de commerce français.

 

14 Nov

Grand débat public : inscrivez-vous!

Vous souhaitez assister au premier grand débat des municipales à Aix-en-Provence ?

Envoyez-nous vos noms et prénoms à cette adresse avant le 9 décembre 2013.
Attention, les places sont limitées !

logo-municipales-fond-blanc540_300

Vendredi 13 décembre 2013 à 16:00, l’émission La Voix est libre se délocalise à la bibliothèque Méjanes.
Thierry Bezer pour France 3 Provence-Alpes et Jean-Laurent Bernard pour France Bleu Provence recevront
sur le plateau tous les candidats en lice pour ces élections municipales.

Bibliothèque Méjanes
Les infos pratiques

RSS