novembre 2015

Leonid / Tram des Balkans samedi 21 novembre à 20h00 à l’Heure bleue de Saint-Martin d’Hères

Leonid

Après 13 années de route comme musicien avec le groupe Sinsemilia, désormais sur scène, Léonid est un duo bien singulier. Une paire de cousins qui ne font qu’ un.
Un orchestre à deux dirigé par une complicité sans faille et un goût commun pour le travail bien fait.
Guitare, chant, percussions Fafa « Léonid » Daïan Percussions, choeurs, accordéon, Samples, claviers Rémi D’Aversa Son Benoît Perez Lumières Victor Maillardet

Tram des Balkans

Violaine Cochard (clavecin) et Tram des Balkans (pop ‘n’ trad) s’associent pour une création surprenante. Toccatram est une oeuvre inédite, façonnée par des compositions originales et des interprétations très personnelles de pièces baroques. Un concert « World barock », une errance ardente à travers l’Europe et ses siècles d’histoire.
Clavecin Violaine Cochard Clarinettes, chant Vincent Westphal
Violon, chant Diego Meymarian Accordéon, trompette, chant
Vincent Gaffet Contrebasse Sylvain Lacombe Percussions Mathieu Cervera
Production Les Entêtés Production Co-production Travail et Culture St Maurice l’exil, Cité de la musique de Romans, Aide à la résidence Théâtre La Mouche de St Genis Laval, Théâtre de Die Soutien Région Rhône-Alpes, ADAMI, DRAC Rhône-Alpes

Marcel kanche / Chanson Inclassable – samedi 21 novembre à  20h30 au Train Théâtre

Guitares épaisses, voix rugueuse, écriture vertigineuse, Marcel Kanche est un cas unique dans l’univers volatile de la chanson contemporaine. Artisan discret de la chanson depuis bientôt une trentaine d’années, il tisse une oeuvre singu­lière, en marge des modes futiles et autres courants éphémères.

Il est apparu un jour au grand jour avec la chanson « Qui de nous Deux », un succès pour M, une expérience nouvelle pour cet expert en art du décalage, qui en avait posé les mots. Puis avec « Divine Idylle », chantée par Vanessa Paradis. Puis avec Bashung, Dominique A ou Gérard Manset…

Résolument en marge, aux franges de l’expérimental, c’est de ce côté-ci qu’on le retrouve avec un dixième album profond et littéraire « Epaisseur du vide ». Deux ans après s’être penché sur le répertoire de Leo Ferré, il revient avec un spectacle en création, des musiques et des textes dessinés à la maison et des complices de toujours.

Un artisan précieux du verbe et des mots qu’il polit. Séance de rattrapage pour ceux qui ne l’auraient pas encore rencontré sur scène.

Écris-moi un mouton par la compagnie Arnica Vendredi 20 novembre à19h30 au Théâtre de Vienne – + 12 ans
Un spectacle autour des liens franco-algérien

La compagnie Arnica nous propose un parcours d’écriture sur les traces laissées par la guerre d’Algérie aujourd’hui. Une rencontre poétique entre un texte et un questionnement politique profond sur le monde dans lequel nous vivons. La rencontre avec des personnes d’origine algérienne a constitué à la manière d’un terreau fertile, le point de départ de cette création. Fabriqué à force de souvenirs, d’évocations et d’images en noir et blanc, Écris-moi un mouton est un spectacle mémoire qui dessine les nombreux liens qui unissent la France et l’Algérie.

« Le Récital » avec Pascal Gallet – Musiques de films et classique – Vendredi 20 novembre à 20h30 à l’Auditorium de Seynod

Pascal Gallet, pianiste français, concertiste et soliste international, est originaire de Chambéry. Ce virtuose fit sa première apparition télévisuelle à 10 ans. Il est aujourd’hui, le seul pianiste au monde à avoir enregistré  l’intégrale des œuvres pour piano du compositeur français André Jolivet, et entre autres,  à avoir enregistré un album Liszt sur le piano Steingraeber de 1873 ayant appartenu à Liszt lui-même !

À chaque enregistrement, la qualité pianistique et la sensibilité de son jeu donnent à ses interprétations une dimension incommensurable où se mêlent imagination, profondeur et virtuosité.

Claire DITERZI «69 battements par minute» – samedi 14 novembre à 20h00 à l’heure bleue de Saint-Martind’Hères

Diterzi chante une histoire, la sienne, qu’elle dévoile comme jamais dans une mise en abyme permanente. “69 Battements par minute”, ce sont seize chansons peuplées de rêves et de démons, seize chansons qui marient l’essentiel et le dérisoire. Un album qui rend euphorique. In Telerama le 5/03/2015 chant, guitare Claire Diterzi guitare Christophe Rodomisto batterie, machines

David Aknin basse, clavier Antoine Simoni régie Cédric Grouhan son François
Gouverneur lumières Vincent Idez mise en scène Alexis Armengol production Astérios Spectacles Une coproduction Astérios Spectacles – Les Treize Arches,
scène conventionnée de Brive – Théâtres Sorano/Jules Julien – Toulouse – L’heure bleue, scène Rhône-Alpes de Saint- Martin-d’Hères – Theâtre de Verre de Chateaubriant

LE FEU SACRÉ DE DOBET GNAHORÉ !

Dobet Gnahoré, Chanteuse, compositrice, danseuse, percussionniste samedi 14 novembre au théâtre de Privas

Chanteuse, compositrice, danseuse, percussionniste et superbe interprète des chansons dont elle écrit les textes, Dobet Gnahoré trouve sur scène, dans sa relation avec le public, l’espace idéal dans lequel elle peut donner la mesure de ses multiples talents !
Mêlant les langues et les rythmes du continent africain qu’elle chérit, avec énergie, drôlerie, douceur, colère ou ironie et une présence scénique ensorcelante, Dobet Gnahoré vous entraînera dans un soirée magique aux couleurs de l’Afrique !
éblouissante de beauté et d’énergie, sa voix et son charisme, nourris de plusieurs années de travail musical, chorégraphique et théâtral, font l’unanimité auprès du public !

Les Misérables par le Théâtre du Kronope au Théâtre de la Renaissance d’Oullins – Vendredi 13 et Samedi 14 novembre à 20h00 Dimanche 15 novembre à 15h00
Adaptation par Christiane Craviatto, mis en scène par Guy Simon

Le cinéma comme le théâtre se sont maintes fois emparés de l’œuvre de Victor Hugo, Les Misérables, tant elle se prête à une vivante incarnation. Le théâtre du Kronope se risque à son tour, dans une version très expressive fondée sur l’art du masque et sur l’engagement du corps. Derrière l’outrance des personnages et des costumes, grotesque et savoureuse, le drame et l’amour avancent à visage découvert. Nous retrouvons alors les figures emblématiques de ce gigantesque roman, le forçat, la prostituée et l’enfant, l’implacable maltraitance des plus vulnérables par les détenteurs de pouvoir et de l’ordre. Bassesse et grandeur de la condition humaine, destins croisés des uns et des autres sur fond de grande Histoire. Une nouvelle occasion de renouer avec cette œuvre éternelle et décisive.