Janvier 2016

M’appelle Mohamed Ali  par la compagnie Falinga – Théâtre – vendredi 29 janvier – 20h30 à la Coloc de Cournon d’Auvergne

Le comédien Etienne Minoungou est l’initiateur du plus ambitieux festival de théâtre d’Afrique de l’Ouest. Dieudonné Niangouna, lui, est un auteur congolais qui fut associé au dernier festival d’Avignon. Tous deux revisitent le mythe de Mohamed Ali en mettant en scène le boxeur du siècle. M’appelle Mohamed Ali est bien plus qu’un spectacle sur la boxe. C’est une oeuvre de résistance, qui interroge les rapports entre l’Afrique et l’Occident et croise les deux époques : celle de Mohamed Ali et celle d’Etienne Minoungou. Ce spectacle est un véritable combat, marqué par l’urgence et la nécessité de la lutte, “se battre avec l’impossible”, “boxer la situation” pour changer l’Histoire.
Ce texte a reçu le Prix littéraire des lycéens en 2015.

Candide, si c’est ça le meilleur des mondes… par la compagnie Drôle de Bizarre /Mise en scène Maëlle Poésy – Jeudi 28 janvier à 19h30 & Vendredi 29 janvier à 14h00 au théâtre de Privas

 C’est à un grand voyage théâtral que nous convient les talentueuses jeunes pousses de la Compagnie Drôle de Bizarre en adaptant pour la scène le plus célèbre des contes romanesques et philosophiques de Voltaire.

Vous serez très surpris de découvrir que ce Candide, écrit par Voltaire il y a plus de deux cent cinquante ans, garde toute son actualité. Il dénonce déjà avec humour et virulence les obscurantismes, les fanatismes, les excès de l’injustice et les ravages de l’intolérance.

Vingt mille lieues sous les mers / Percussions Claviers de Lyon / musique images – jeudi 28 janvier à 20h00 à découvrir dès 9 ans à la Rampe à Echirolles

Après Le Coq d’Or présenté sur la saison 2013-2014, Les Percussions Claviers de Lyon font battre le cœur du célébre Nautilus.
Une version fidèle, une traversée de l’œuvre qui s’attache à son caractère haletant et poétique. Sur scène, le récit s’actualise dans une forme illustrée spectaculaire.

Joue à Tom Waits par L’Orchestre d’hommes-orchestres (Québec), Concert Cabaret – Vendredi 29 janvier à 20h00, au Théâtre de La Renaissance à Oullins.

Armé du répertoire riche en couleurs de Tom Waits, L’Orchestre d’hommes-orchestres nous propose un événement digne d’un spectacle de foire ou d’un cirque musical. Cet orchestre d’affairés se joue des compositions de Waits en utilisant près de cent objets, inventant sur scène de nouveaux instruments qu’ils martèlent et caressent au cœur de tableaux vivants et déraillés. Livrant un puissant hommage à l’univers de Tom Waits, les joueurs demeurent fidèles à son œuvre, mais en font aussi un terrain de jeu pour tous. Revisitant les arrangements et mélangeant les styles, les quatre multi-instrumentistes délirants de ce collectif coqueluche de la ville de Québec jouent l’un devant l’autre, l’un par-dessus l’autre, s’échangent les instruments et les voix, se mettent les doigts entre les cordes, les bâtons dans les roues, la corde au cou.

AXELLE RED / The songs (Acoustic) nouvel album – jeudi 28 janvier à 19h30 à l’Espace Albert Camus de Bron

Fin 2015, Axelle Red a entamé une tournée francophone avec un nouvel album. Dépouillées de toute fioriture, ses chansons parleront encore plus à notre imagination.
Une chevelure de feu et un tempérament non moins ardent, Axelle Red parcourt les scènes internationales depuis une vingtaine d’années. La chanteuse reprend en toute simplicité ses tubes avec ce premier album acoustique. Ses compositions transpirent la soul, mêlent des accents de pop ou de folk-rock. Mais sa marque de fabrique demeure incontestablement sa voix chaleureuse identifiable en quelques mesures.

Juliette + Roméo = AESD / Scopitone & Cie / Théâtre d’objets – Mercredi 27 janvier à 15h30 au théâtre du parc d’Andrézieux-Bouthéon

Le titre du spectacle – étrange formule dont on devine qu’elle évoque un calcul amoureux – donne le ton : AESD pour Amour éternel sans divorce. Après avoir égratigné les contes avec brio, Scopitone & Cie continue de revisiter les classiques à l’aide de ses outils de prédilection : théâtre, manipulation d’objets et mouvement chorégraphié …
Les deux artistes livrent une version décalée de l’une des histoires d’amour les plus célèbres de tous les temps, un hommage à Shakespeare réalisé avec irrévérence et intelligence, qui ravira autant les petits que les grands !

Le petit chaperon rouge par la Compagnie Divergences – Mercredi 27 Janvier 18h00 à l’Espace 600 de Grenoble –  dès 5 ans

Une danse funeste faite de fascination, d’attraction, de jeu, de perfidie, de peur et d’angoisse. Un loup mi-animal mi serial-killer et un petit chaperon en sweat à capuche pour confronter l’enfance à ses fantasmes et à ses peurs, avec puissance, jubilation et hypnotisme… miam !

 Hugh Coltman, Shadows : songs of Nina Simone – Mardi 26 janvier à 20 h 30 au sémaphore de Cébazat

 Après avoir écumé les plus grandes scènes avec son groupe The Hoax, le songwriter anglais a prolongé une brillante carrière solo aux couleurs pop folk. En se frottant au jazz depuis quelques années, Hugh Coltman revient à ses premières amours ! Avec son hommage à Nat King Cole, l’englishman n’en finit plus de nous séduire.

Après le succès de ses deux albums solo Stories From The Safe House et Zero Killed, et deux années en tournée en tant qu’invité du pianiste de jazz Eric Legnini, le plus français des chanteurs britanniques a décidé de rendre hommage à ce musicien-chanteur hors pair et indirectement, à sa mère.

« Nat King Cole fait partie de mes références. Une star connue pour ses tubes, dont on a tendance, hélas, à oublier les autres chansons, les moins populaires, ainsi que ses musiciens brillantissimes. J’aime ces harmonies riches, proches du pathos, oui, mais jamais larmoyantes. »