07 Jan

La première formation universitaire à l’impression 3D voit le jour en Bretagne

Avec la première formation universitaire à l'impression 3D

Avec la première formation universitaire à l’impression 3D

L’impression 3D étend son développement jusque dans les centres de formation. La compétence d’imprimeur 3D est désormais un plus, pour, par exemple, rejoindre une enseigne de bricolage. A Ploemeur, l’une des premières formations spécifiques en France a vu le jour. Continuer la lecture

30 Juil

Alors, on en est où de la 4G en Bretagne ?

la carte du haut-débit mobile, établie par Francetvinfo

la carte du haut-débit mobile, établie par Francetvinfo

L’Arcep, l’autorité de régulation des Télécoms, a eu la bonne idée de publier les données d’une étude exhaustive sur la couverture des réseaux 2G, 3G et 4G en France, tout opérateur confondu. Francetvinfo en a fait une carte. Et en Bretagne, on en est où avec ce haut-débit du téléphone mobile ? Continuer la lecture

10 Avr

A Ploemeur, des stages pour fabriquer soi-même ses panneaux solaires

construire son chauffe-eau solaire en trois jours, c'est possible

construire son chauffe-eau solaire en trois jours, c’est possible

L’économie d’énergie par le Do It Yourself, ça s’apprend. Un centre de formation de Ploemeur en a même fait un de ses concepts:  se familiariser en quelques avec les outils permettant d’économiser l’énergie, tels que des panneaux solaires à monter soi-même. Continuer la lecture

05 Mar

Des algues, des coquille d’huîtres, et puis quoi encore pour imprimer en 3D ?

Des écailles d'huîtres sont en gros plan.

Des écailles d’huîtres en gros plan.

L’impression 3D ne finit pas de nous étonner. Tout le monde a vu passer cette vidéo d’une maison imprimée en 3D en Chine, d’autres auront peut-être goûté à ces pâtes de création originale. En Bretagne, c’est avec des algues ou des coquilles d’huître que l’on va créer des filaments originaux. Et puis quoi encore ? Continuer la lecture

05 Fév

Avec le projet Solenn, Lorient est à l’épreuve de la transition énergétique

ENERGIE-ELECTRICITE-TECHNOLOGIES

Le pacte énergétique breton devient concret. ERDF va distribuer au début de l’été 10 000 de ses compteurs intelligents Linky dans l’agglomération de Lorient, dans le cadre du pacte énergétique breton. Avec 12 partenaires dont le Lorient Agglomération et l’ADEME, l’objectif est de faire faire des économies d’énergie, et, côté distributeur, de mieux gérer l’offre d’électricité. Continuer la lecture

26 Nov

Trois (non, quatre ) manières de partager sa voiture en Bretagne

Koolicar : la petite carte qui facilite les échanges entre pariculiers

Koolicar : la petite carte qui facilite les échanges entre particuliers

Il s’appelle Koolicar, et après Bordeaux, Cannes, Niort, Vincennes ou Versailles, ce service d’auto-partage inédit débarque à Lorient. Avec Koolicar, les particuliers mettent à la location leur véhicule, mais un boîtier appelée la « koolbox » dispense les loueurs de se rencontrer. Ce projet, qui fût expérimenté sous l’égide de l’Ademe à Bègles, dispense les arguments habituels pour l’auto-partage: la voiture est trop chère pour un français sur 5, le budget annuel avoisine les 5000 euros, et après tout, ai-je bien besoin d’un véhicule pour des déplacements essentiellement urbains?

Le point de différentiation, selon Koolicar, c’est qu’avec la carte magnétique dont sont équipés les abonnés, plus d’échanges de clés, et pas de contraintes pour un état des lieux ou un rendez-vous. l’emplacement exact de la voiture est indiqué par sms, et à la restitution, les nombre de kilomètres et les heures comptées également.

C’est donc une troisième manière de partager sa voiture, ou de s’en passer. Des services qui selon une journaliste de Rue89 qui a testé Koolicar, Citiz et Drivy, sont complémentaires, et qui existent également en Bretagne.

City Roul

Le boîtier de Koolicar à Lorient est identique, en tout cas dans ses fonctions, à celui de City Roul à Rennes. L’entreprise, gérée aujourd’hui par une SEM de Rennes Metropole, Citédia, propose depuis 2008 des véhicules en libre-service. Les seize emplacements dans la ville sont fixes, et l’on redépose le véhicule là où on l’a pris. Avec Koolicar, qui sinon fonctionne exactement de la même manière (y compris sur les tarifs), les emplacements des véhicules seront peut-être plus variés. J’ai été personnellement abonné deux ans (2011-2013), sans autre véhicule, et la disponibilité d’un véhicule relativement près de chez soi était problématique le week-end et le mercredi.

Drivy, ouicar, buzzcar et les autres

L’argument de l’auto-partage n’est pas passé à côté des web-entrepreneurs, dont les services sont légions sur la toile. Tous proposent la palette classique de l’intermédiation. Ils mettent en relation les particuliers, et fournissent contrat et assurance pour la location. Olivier Razemon, spécialiste transport au Monde, en a testé un. Et est arrivé in fine à son mariage au fond des bois. A Rennes, le moteur de recherche de Ouicar propose une cinquantaine d’annonce, une trentaine à Lorient. Pas besoin d’abonnement dans ses services, mais une relation de confiance doit s’installer avec le loueur.

Et bien sûr le covoiturage

Pour faire régulièrement Rennes-Paris, ou Rennes-Albertville (et oui), j’ai le sentiment que le co-voiturage est en train de s’imposer comme la solution d’auto-partage numéro 1 en France. En tout cas pour les trajets points à point. On trouve des covoit’ avec des étudiants ou de jeunes actifs, mais pas que. Les 40-55 ans, qui ne lâcheront pas leur sacrée voiture comme ça, se plaisent à agrémenter leur trajet (« sur les conseils de mon fils« ) tout en allégeant leur porte-monnaie.