24 Mar

L’open-data en Bretagne: une appli pour mieux circuler à Rennes

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La ville de Rennes et l’open-data ont ceci en commun: ce sont tout deux un vaste chantier. Quoi de plus logique, donc, de voir (enfin) sortir une appli sur les travaux en temps réel. C’est le printemps de la donnée ouverte en Bretagne: avec le lancement d’une plate-forme ouverte pour les commandes publiques.(#teaser, à lire dans l’épisode 2 ) Continuer la lecture

16 Mar

Archives, médias du futur: France 3 se met au workshop

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France3 Bretagne et ses éditions numériques vont plancher dans le cadre du Hylab consacré aux archives 2.0, ou « comment lira-t-on demain ?«  Deux jours de « workshop« , un mode de collaboration entré dans les mœurs de la smart-économie et de l' »open-innovation ». À Lyon, France3 Rhône-Alpes va se pencher sur les médias du futur. Vaste question !

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31 Jan

A Rennes, LoRa Fabian va faire causer (les données)

L’internet des objets, c’est bien beau, mais encore faut-il les réseaux pour les faire communiquer. Outre la question des plateformes pour regrouper différents services (entre une montre et une machine à laver, par exemples), celle des protocoles, il y la question des réseaux.

Sur le plan domestique, pas de soucis, la box et le wifi font l’affaire. Sur le plan individuel, le smartphone et son réseau (3G, 4G) font le job. Mais quid des multiples données qu’une ville intelligente digne de ce nom se doit d’avoir? Places de parkings disponibles, décibels émis, comptages des fluides et autres données collectées par des capteurs? Continuer la lecture

05 Jan

E-santé: deux start-up bas-normandes au CES 2015

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La France est le deuxième pays le plus représenté au Consumer Electronic Show de Las Végas, « the place to be » pour les start-up. Parmi les quelque 120 entreprises françaises présentes, deux start-ups bas-normandes, et partenaires, comptent se faire remarquer dans le domaine de e-santé.

Bodycap, qui commercialise des solutions innovantes permettant le suivi continu de données physiologiques chez un patient, était déjà présente au CES 2014. « Nous y avons gagné en visibilité, en crédibilité » explique Fabrice Verjus, son fondateur, « mais surtout, nous avons pu entrer en contact avec des grands comptes Français. On n’arrive pas à les voir en France, mais ils sont plus abordables au CES« . C’est ainsi qu’Anipill®, un capteur encapsulé dans une gélule à ingérer destinée à l’animal, à pu être proposée à un grand laboratoire.

L’objectif de cette start-up née de la collaboration avec l’université de Caen Basse-Normandie (unité INSERM U1075), le CHRU de Caen et NXP est de faire certifier en 2015 l’équivalent pour l’homme. La solution mesure notamment la température intracorporelle et la transmet à un médecin traitant, ou a un coach sportif, puisque le monde du sport de haut-niveau est également ciblé. « Ce n’est clairement pas évident de faire changer d’appareil de mesure à la profession, mais nous avons affaire aujourd’hui à un personnel hospitalier rajeuni et plus technophile » explique Fabrice verjus. « D’autre part, il y a un besoin : de plus d’informations, et de plus de solutions ambulatoires« . Qui ne nécessitent pas de mobiliser une journée entière un électro cardiogramme, par exemple.

Deux start-ups pour le bien-être des seniors

En démonstration cette année à Las Vegas, « In great shape », un système visant à stimuler l’activité physique des seniors.

Quoi de plus que ces capteurs et autres montres qui disent tout de nos impressionnants exploits de joggeurs ? Fabrice verjus le concède d’ailleurs volontiers, « il y a de très bonnes montres d’activités, certains médecins travaillent avec, mais elles ne sont pas communicantes« .

Là, Bodycap fournit un capteur mesurant la fréquence cardiaque, la température du corps, des données sur l’activité « mais pas de manière dégradée comme le ferait un bracelet« , et l’autre start-up normande, Ob’do, « permet une analyse croisée de ces données« .

Elles peuvent remonter jusqu’au coach d’un sportif de haut-niveau, ou à celui de l’équipe de foot de Caen qui est partenaire, « et qui peuvent analyser ces données. »

Ces deux start-up dépassent l’usage dans le cadre du bien-être pour toucher à celui de la santé. « Nous voulons également toucher les prescripteurs comme des mutuelles ou des associations qui font faire du sport aux personnes âgées » explique Fabrice Verjus, « et là, on se rapproche du médical. »

Mais Fabrice Verjus ne fait pas partie du voyage pour Las Vegas. Après une levée de fond de 400 000 euros auprès de Go Capital Amorçage, un fond d’investissement du grand-ouest dont le siège est à Rennes, il prépare un deuxième tour de table pour assurer le développement de Bodycap. Même lorsqu’on est docteur en électronique, on ne peut pas être partout à la fois.

 

18 Déc

Le ski intelligent ? C’est de saison

Des skis face au soleil

le data-ski, c’est pour bientôt ?

Vous skiez ? Des étudiants d’une école de commerce vous proposent de répondre à un questionnaire sur nos pratiques aux sports d’hiver. Questionnaire classique avant l’élaboration d’une « proco » (prouf of concept, pour les intimes).

Leur projet a l’ambition de faire de la « data gliss ». Leur produit, une « puce reliée à un pad qui permet d’avoir en temps réel des données comme la géolocalisation, la vitesse, le temps d’attentes aux remontées mécaniques », lit-on sur le questionnaire. En résumé, une nouvelle appli qui n’aura rien de révolutionnaire.

Si. Un service est tentant: le temps d’attente aux remontées mécaniques.

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