29 Jan

Chap’nGo, l’application pour partager les bonnes adresses entre… vrais amis !

Imaginez un « Tripadvisor » personnel alimenter par vos amis. C’est le concept de l’application « Chap’nGo ». Née à Toulouse, elle permet de partager, avec vos proches, toutes vos bonnes adresses de restaurants, de bars, d’expositions ou de boutiques. 

© France 3 Toulouse

Chap’nGo est un réseau social personnel à mi chemin entre Tripadvisor et Facebook.

Il permet de partager les bonnes adresses…. uniquement à ses proches : du restaurant à la boutique en passant par le bar ou l’exposition culturelle à ne pas rater. Le concept est d’avoir des recommandations écrits par vos amis. Cela permet d’éviter les avis achetés ou bidonnés.

D’autant plus que 35 % des avis postés sur internet sont trafiqués selon la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes). Pourtant, les Français sont champions des avis sur internet. Plus d’un million de recommandations sur les commerces locaux sont postés chaque année et 88% des internautes se disent influencés par ces recommandations.

Ce partage de bons plans entre vrais amis a déjà séduit plus de 5000 utilisateurs en l’espace d’un an. Entièrement gratuit, Chap’nGo aimerait étendre son offre aux professionnels de santé, aux avocats et aux banques.

Créée en 2018 à Toulouse par Olivier de Guyenro, la startup est hébergée chez At Home. Avec 4 salariés, elle prépare également une seconde levé de fonds de 750.000 euros.

Découvrez Chap’nGo avec le reportage de Julie Valin et Thierry Villeger

Julien Leroy

19 Juin

Adopte ma tomate, un site de rencontre pour les… amoureux du jardinage

Née à Toulouse, la startup « Adopte ma tomate » veut être le Airbnb des jardins. La plateforme met en relation les propriétaires avec les mains vertes en manque d’espace.

© Adopte ma tomate

Adopte ma tomate est un site de rencontre pour les… amoureux du jardinage.

Née à Toulouse en novembre 2017, la plateforme met en relation les propriétaires de jardins avec les mains vertes en manque d’espace.

« Adopte ma tomate facilite le co-jardinage urbain par la mise en relation entre les propriétaires de jardins qui n’ont pas le temps ou ne peuvent plus s’en occuper et les personnes qui souhaitent jardiner mais n’ont pas de jardin » explique Octavia Ivan, la fondatrice. 

Ainsi, les jardiniers amateurs peuvent trouver un carré de terre près de chez eux, qu’il soit potager, fleuri ou fruitier. Des ateliers (payants) sont également proposés à la communauté.

Parallèlement, ce « Airbnb » des jardins veut « re-végétaliser la ville » espère sa conceptrice. Elle souhaite également « Favoriser la production locale, le lien social (..) Et surtout collaborer à la préservation du savoir-faire des gestes du jardinage« . 

7 mois après son lancement, Adopte ma tomate revendique 300 passionnés et une dizaine de jardins entretenue dans la ville rose.

Aujourd’hui, la jeune pousse lance une campagne de financement participatif pour développer son idée.

Elle aimerait également décliner le concept dans les entreprises. Des contacts sont d’ailleurs en cours. Ce modèle économique BtoB devrait permettre d’assurer l’avenir de la start-up. En attendant, la mise en relation des jardiniers amateurs se fait gratuitement. L’application est seulement payante pour les propriétaires.

Imaginé par une jeune roumaine

Adopte ma tomate a été imaginé par Octavia Ivan.

Arrivée sur la ville rose, la jeune roumaine de 35 ans cherchait à cultiver ses propres légumes.

« J’ai grandi à la campagne et je passais mes vacances d’été dans le jardin de mes parents. Une fois à Toulouse une question m’est venue : pourquoi ne pas jardiner chez un de mes voisins ? J’ai découvert que je n’étais pas la seule à me poser cette question et c’est comme ça qu’Adopte ma tomate est née explique l’entrepreneuse. 

L’idée s’est concrétisée en juin 2017 lors de la première édition de Wo’Mixcity. Ce hackathon, organisé par les Digital Girls, veut favoriser la mixité dans le secteur de l’innovation. Adopte ma tomate a décroché la seconde place avant d’intégrer l’accélérateur toulousain Momentum. Le projet continue de pousser. 

>>> Plus d’info sur www.adoptematomate.com

Julien Leroy

04 Juin

L’application qui évite les PV de stationnement, va débarquer à Toulouse

« cPark » est une application qui permet d’éviter les amendes de parking en signalant le passage des agents de contrôle. Développée en Belgique, elle vient de débarquer à Paris avant un déploiement à Toulouse en septembre. La polémique est déjà lancée.

© MAXPPP

« En finir avec les amendes de parking » est le slogan prometteur de cPark, une application née en Belgique. 

Le service mobile repose sur une communauté d’automobilistes qui signale le passage des agents de contrôle et les voitures-radar. Une entraide qui permet d’éviter (au maximum) un PV de stationnement. cPark va jusqu’à alerter le conducteur si un agent de stationnement est repéré près de sa voiture.

Arrivée à Paris au début du mois de juin, l’application fait (déjà) un carton. « Plus de 20.000 téléchargements en l’espace de 3 jours » assure Hadrien Crespin, le fondateur de cPark.

Il est vrai que le stationnement est devenue problématique pour les conducteurs français depuis la forte hausse des tarifs de PV en janvier 2018.

Arrive sur Toulouse

cPark va être déployer dans 3 autres villes françaises : Marseille, Lyon et Toulouse.

L’arrivée dans la ville rose est programmée « d’ici la fin de l’été » me confie Hadrien Crespin. Le temps de constituer une communauté d’utilisateurs

Une application qui fait polémique

Signaler un contrôle pour éviter le PV. Le service fait forcement polémique même si cela reste légal.

Mais à Paris, la mairie accuse les concepteurs de vouloir « détourner les règles ».

Exemple avec ce reportage de nos confrères de France 2 :

Julien Leroy

12 Fév

Palmarès 2018 du label « ville Internet » : 11 communes d’Occitanie primées pour leur site web

11 villes et villages d’Occitanie ont été labellisées, ce jeudi 8 février, lors du palmarès 2018 des « Villes Internet ». La communauté de communes de Sète obtient, pour la première fois, les 5 @. 

@ Ville internet

@ Ville internet

En Occitanie, 11 collectivités locales ont été primées lors du palmarès 2018 des Villes Internet dévoilé le 8 février à Montrouge. 

Cette année, il n’y a pas de nouveau promu. Les villes et villages de notre région conservent ou retrouvent leur label.

La belle surprise vient de agglomération de Sète, dans l’Hérault, qui décroche pour la première fois la note maximale (5 @). Un résultat obtenu en partie grâce à Frontignan. La deuxième ville de cette communauté de communes est elle-même labellisée avec 4 @.

A noter que 5 communes d’Occitanie confirment leur 4 étoiles numériques. A savoir : Castanet-Tolosan (près de Toulouse), Tarbes, Frontignan et 2 villes audoises : Castelnaudary et Floure.

Une Ville Internet c’est quoi ?

Depuis 1999, l’association des Villes Internet décerne annuellement son célèbre label national « Territoires, Villes et Villages Internet » en attribuant des arobases (de 1 à 5 maximum) aux sites internet des collectivités locales.

L’objectif est de gratifier les villes et les communautés de communes les plus audacieuses en matière de numérique et de qualité de services en ligne proposés à ses citoyens. En 17 ans, 1080 collectivités locales ont été récompensées.

>> Palmarès 2018 des « villes Internet » en Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées :

En Midi-Pyrénées (5) 

  • Carbonne (Haute-Garonne)  : @
  • Noe (Haute-Garonne) @@
  • Ladevèze-Rivière (Gers) : @@@
  • Castanet-Tolosan (Haute-Garonne) @@@@
  • Tarbes (Hautes-Pyrénées) @@@@

En Languedoc-Roussillon (6)

  • Sainte-Marie (Pyrénées-Orientales)  : @@
  • Sainte-marie La-mer (Hérault) @@
  • Trèbes (Aude) @@@
  • Frontignan la Peyrade (Hérault) @@@@
  • Castelnaudary (Aude) @@@@
  • Floure (Aude) @@@@
  • Séte agglopôle méditerranée @@@@@

Julien Leroy

17 Oct

Lancement à Montpellier de Teazit, l’application qui vous met (immédiatement) dans l’ambiance d’une soirée

Avant d’aller au cinéma, vous regardez la bande annonce ? Faîtes pareil pour vos soirées ou vos sorties en ville. C’est le concept original de Teazit. Lancée pour la première fois à Montpellier, l’application permet de se projeter dans l’ambiance d’un événement grâce à des vidéos postées par des utilisateurs déjà présents sur les lieux.

© Teazit

© Teazit

Avant de sortir dans un bar ou dans une soirée, visionnez des vidéos postées par des utilisateurs déjà présents sur les lieux. C‘est le concept d’une nouvelle application lancée à Montpellier : Teazit.

Une fois téléchargée sur votre smartphone, l’application géolocalise des événements recommandés qui se passent autour de vous en temps réel. Vous pouvez ensuite affiner votre recherche en fonction de votre envie : street art, concert, soirée, mode, business, sport,… 

Pour chaque événement, l’utilisateur peut s’immerger avec des teasers vidéo de la communauté. « Teazit permet de se faire une idée de l’ambiance d’un lieu avant de s’y rendre » précise son fondateur, Emilien Colombain.

L’idée de cette application collaborative gratuite lui est venue lors de ses voyages professionnels. “Je voulais profiter de mon temps libre dans les villes où j’étais de passage pour faire d’autres choses, découvrir et vivre de bons moments. Mais je ne trouvais pas d’informations sur ce qui se passait autour de moi pour me permettre de me projeter dans les événements avant de m’y rendre » raconte cet ancien coach pour pilotes de formule 1.

Lancement national à Montpellier

Teazit est basée à Montelimar dans la Drôme mais l’application a été lancée officiellement à Montpellier ce mardi 12 octobre. « Car c’est une ville dynamique » précise l’équipe de la start-up.

Un déploiement est en cours sur la ville de Lyon. A terme, toutes les grandes villes seront couvertes. Teazit espère également séduire les professionnels de la nuit et du spectacle.

>>> Info et téléchargement : www.teazit.fr

 

Julien Leroy

05 Mai

Les 20 villes de Midi-Pyrénées les plus suivies sur Twitter

Montauban la nuit - © Patrick Batard, Office de Tourisme de Montauban

Montauban la nuit – © Patrick Batard, Office de Tourisme de Montauban

Toulouse, Montauban et Aurignac sont les 3 premières villes de Midi-Pyrénées les plus suivies sur le réseau social Twitter. Selon une étude du site eTerritoire publié ce mardi 28 avril, Toulouse arrive (sans surprise) en tête avec 80 500 abonnés. Suivi de Montauban (1342) et d’Aurignac en Haute-Garonne (1245).

Cahors, Auch, Noueilles, Lavaur, Montastruc et Millau complètent le TOP 10 de ce classement original.

Les 10 premières villes de Midi-Pyrénées du classement : 

  1. Toulouse – @Toulouse – 80500
  2. Montauban – @villemontauban – 1342
  3. Aurignac – @Aurignac_Europe – 1245
  4. Cahors – @Ville_de_Cahors – 899
  5. Auch – @villedauch – 661
  6. Noueilles – @mairienoueilles – 582
  7. Lavaur – @MairiedeLavaur – 418
  8. Montastruc – @MontastrucLaC – 390
  9. Millau – @MairiedeMillau – 376
  10. Carmaux – @Carmaux_Tarn – 371Pour découvrir la suite : cliquez ici