16 Jan

La start-up toulousaine CityMeo lève 2,5 millions d’euros pour ses écrans connectés

Basé à l’IoT de Labège, la startup CityMeo annonce ce mardi 16 janvier, avoir bouclé une levée de fonds de 2,5 millions d’euros. La jeune est spécialisée dans les écrans de communication connectés.

© Citymeo / Février 2017

© Citymeo / Février 2017

Les écrans connectés de CityMeo séduisent.

La jeune pousse de Labège près de Toulouse, annonce ce mardi 16 janvier, une levée de fonds de 2,5 millions d’euros.

Un tour de table bouclé avec CapHorn Invest. Il s’agit d’un fonds d’investissement indépendant français dédié aux jeunes PME françaises. C’est la seconde levée de fonds de la société après celle de 2015.

La somme va permettre d’accélérer le développement à l’international, notamment en Allemagne et au Royaume-Uni. 

Née en 2012, CityMeo veut révolutionner l’affichage des écrans dans les magasins et les entreprises. Elle a conçu un boitier qui permet de créer, gérer et diffuser des contenus sur des écrans physiques, depuis un ordinateur, tablette ou smartphone. Une offre qui s’adresse à la fois aux régies publicitaires, aux réseaux de point de vente et à la communication internet des grands groupes. 

L’idée a germé dans la tête de 4 diplômés de l’ENSEEIHT à Toulouse, David Keribin, Josselyn Hermitte, Antoine Lubineau et James Packer. En 2013, ils sont repérés lors du Startup Week-end #35 et intègre l’accélérateur de l’IOT Valley à Labège.

Aujourd’hui, la société compte 18 salariés, 5000 écrans déployés dans 7 pays et des gros clients tels que Leclerc, Elior et Veolia. 

Julien Leroy

01 Déc

A Toulouse, suivez un chantier du centre-ville sur….Facebook

© Eurovia

© Eurovia

Suivre le chantier de sa rue sur….Facebook. C’est l’idée développée à Toulouse par une société de BTP, Eurovia.

Cette filiale du groupe Vinci est en charge du réaménagement de la rue Bayard à Toulouse. Débuté le 24 août, le chantier dure un an, jusqu’à septembre 2017. Des travaux d’envergures qui entraînent des problématiques pour les riverains, les commerçants et la circulation routière.

C’est ainsi qu’Eurovia a crée une page Facebook « Chantier rue Bayard » afin « d’informer de l’objet et du déroulement de ce chantier de rénovation« . Des informations et des photos sont postées chaque semaine. Quelques riverains n’hésitent pas à liker ou à commenter. 

Même si la page est suivie par seulement 66 internautes, cette initiative de communication est une idée originale et inédite. C’est d’ailleurs une première pour des travaux publics à Toulouse.

Julien Leroy

14 Jan

Les Hautes-Pyrénées dans le TOP 10 des départements les plus suivis sur Facebook

© Conseil Général des Hautes-Pyrénées

Le Pic du Midi – © Conseil Général des Hautes-Pyrénées

Les Hautes-Pyrénées est le 7e département de France le plus suivi sur Facebook selon le dernier baromètre mensuel de décembre 2014, établi par l’Institut Edgar Quinet. La page du Conseil général des Hautes-Pyrénées compte 24 695 fans, loin devant la Haute-Savoie, leader du classement avec 70 063 « amis ». Une belle surprise pour les community manager tarbais.

Ceux de la marie de Toulouse peuvent également se féliciter. Le compte Twitter de Toulouse se classe à la 2e position des villes de France les plus suivies sur ce réseau social. La ville rose gagne même une place en doublant Bordeaux. Fin 2014, @Toulouse compte 60 153 abonnés, soit une augmentation de 8,4% par rapport à novembre.

>> Palmarès complet : www.edgar-quinet.fr/barometredecembre201/

Julien Leroy

01 Déc

Toulouse : le faux piratage du site du TFC ne fait pas rigoler tout le monde

© France 3 / Le yéti du faux piratage

© France 3 / Le yéti du faux piratage

Finalement, le piratage du site officiel du TFC (Toulouse football club) de jeudi dernier était un…canular. Les dirigeants du club toulousain l’ont reconnu hier. D’ailleurs, le yéti, qui affirmait dans une vidéo être le responsable de la cyberattaque, a donné le coup d’envoi du match TFC-Lorient au Stadium.

Lors de la cyberattaque du site, certains s’étaient inquiétés de la sécurité du site et de ses données. C’était notamment le cas de Xavier Mouton-Dubosc, spécialiste de la cybersécurité à Toulouse, interviewé sur ce blog. D’autres avaient émis des doutes sur la véritable identité du yéti pirate. Finalement, les seconds ont eu raison. Jusqu’à preuve du contraire…

Car, qui croire ? La direction du club toulousain avait reconnu officiellement le piratage lors d’une conférence de presse. Le TFC avait menacé de porter plainte. Pour finalement revenir sur ses aveux 48 heures plus tard. Un coup montée qui n’a pas fait rigoler tout le monde à Toulouse et sur les réseaux sociaux. « Un coup de pub particulièrement stupide qui jette le doute sur eux » résume Xavier Mouton-Dubosc.

Reste à espérer que la mauvaise blague s’arrête là sinon on pourra rebaptiser la célèbre fable « Le garçon qui criait au…Yéti ».

Julien Leroy